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14 Cards in this Set

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Attaque panique
une période bien délimitée de crainte ou de malaise intense ds laquelle au minimum 4 des sx suivants sont survenus de façon brutale et ont atteint leur acmé en moins de 10 min:
(1) palpitations, battements de coeur ou ccélération du rythme cardiaque
(2) transpiration
(3) tremblements ou secousses musculaires
(4) sensation de souffle coupé ou impression d'étouffement
(5) sensation d'étranglement
(6) douleur ou gêne thoracique
(7) nausée ou gêne abdominale
(8) sensation de vertige, instabilité, tête vide ou impression d'évanouissement
(9) déréalisation(sentiment d'irréalité) ou dépersonnalisation (être détaché de soi)
(10) peur de perdre le contrôle ou de devenir fou
(11) peur de mourrir
(12) paresthésies (sensations d'engourdissement ou de picotements)
(13) frissons ou bouffées de chaleur
Agoraphobie
A. Anxiété au fait de se retrouver dans des endroits ou des situations où il pourrait être difficile de s'échapper ou dans lesquelles on pourrait ne pas trouver de secours en cas d'Attaque de panique soit inattendue soit facilitée par des situations spécifiques ou bien en cas de sx à type de panique. Les peurs agoraphobiques regroupent typiquement un ensemble de situation caractéristiques incluant le fait de se trouver seul en dehors de son domicile, d'être dans une foule ou une file d'attente, sur un pont, ds un autobus, un train ou une voiture
B. les situations sont soit évitées soit subies avec une souffrance intense ou bien avec la crainte d'avoir une Attauqe de panique ou des sx à type de panique ou bien nécessitent la présence d'un accompagnant
C. L'anxiété ou l'évitement phobique n'est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel une phobie sociale, une phobie spécifique, un trouble obsessionnel-compulsif, un État de stress post-traumatique ou un trouble anxiété de séparation
Agoraphobie
A. Anxiété au fait de se retrouver dans des endroits ou des situations où il pourrait être difficile de s'échapper ou dans lesquelles on pourrait ne pas trouver de secours en cas d'Attaque de panique soit inattendue soit facilitée par des situations spécifiques ou bien en cas de sx à type de panique. Les peurs agoraphobiques regroupent typiquement un ensemble de situation caractéristiques incluant le fait de se trouver seul en dehors de son domicile, d'être dans une foule ou une file d'attente, sur un pont, ds un autobus, un train ou une voiture
B. les situations sont soit évitées soit subies avec une souffrance intense ou bien avec la crainte d'avoir une Attauqe de panique ou des sx à type de panique ou bien nécessitent la présence d'un accompagnant
C. L'anxiété ou l'évitement phobique n'est pas mieux expliqué par un autre trouble mental, tel une phobie sociale, une phobie spécifique, un trouble obsessionnel-compulsif, un État de stress post-traumatique ou un trouble anxiété de séparation
Trouble panique sans agoraphobie
A. A la fois (1) et (2)
(1) attaques de panique récurrentes et inattendues
(2) au mions une des attaques s'est accompagnée pendant un mois (ou plus) de l'un (ou plus) des sx suivants:
(a) crainte persistante d'avoir d'aures attaques de panique
(b) préoccupations à propos des implications possibles de l'attaque ou bien de ses conséquences(perte de contrôle, crise cardiaque, devenir fou, etc.)
(c) changement de comportement important en relation avec les attaques
B. absence d'agoraphobie
C. les attaques de panique ne sont pas dues aux effets physiologiques directs d'une substance ou d'une affection médicale générale
D. les attaques de panique ne sontpas mieux expliquées par un autre trouble mental, tel une phobie sociale, une phobie spécifique, TOC, ESPT, trouble de l'anxiété de séparation
Trouble panique avec agoraphobie
A. A la fois (1) et (2)
(1) attaques de panique récurrentes et inattendues
(2) au moins une des attaques s'est accompanée pendant un mois (ou +) de l'un (ou +) des sx suivants:
(a) crainte persistante d'avoir d'autres attauqes de panique
(b) préoccupations à propos des implications possibles de l'attaque ou bien de ses conséquences
(c) changement de comportement important en relation avec les attaques
B. présence d'agoraphobie
C. les attaques de panique ne sont pas dues aux effets physiologiques directs d'une substance ou d'une affection médicale générale
D. les attaques de panique ne sont pas mieux expliquées par un autre trouvle mental tel une phobie sociale/spécifique, un toc, ESPT, trouble d'anxiété de séparation
Agoraphobie sans antécédent de trouble panique
A. présence d'agoraphobie liée à la peur de développer des sx de type panique
B. N'a jamais satisfait aux critères du trouble panique
C. la perturbation n'est pas due aux effets physiologiques directs d'une substance ou d'une affection med gen.
D. si une affection médicale générale associée est présente, la peur décrite dans le critère A est manifestement excessive p/r à celle habituellement associée à cette affection
Phobie spécifique
A. peur persistante et intense à caractère irraisonné ou bien excessive, déclenchée par la présence ou l'anticipation de la confrontation à un objet ou une situation spécifique
Bé l'exposition au stimulus phobogène provoque de façon quasi systématique une réaction anxieuse immédiate qui peut prendre la forme d'une attaque panique liée à la situation ou facilitée par la situation (chez les enfants, l'anxiété peut s'exprimer par des pleurs, des accès de colère, des réactions de figement ou d'agrippement)
C. le sujet reconnaît le caractère excessif ou irrationnel de la peur (chez l'enfant peut être absent)
D. la situation phobogène est évitée ou vécue avec une anxiété ou une détresse intense
E. L'évitement, l'anticipation anxieuse ou la souffrance dans la situation redoutée perturbe de façon importante les habitudes de l'individu, ses activités professionnelles ou bien ses activités sociales ou ses relations avec autrui ou bien le fait d'avoir cette phobie s'accompagne d'un sentimen de souffrance important
F. chez les individus de moins de 18 ans, la durée est d'au moins 6 mois
G. L'anxiété, les attaques de panique ou l'évitement phobique associé à l'objet ou à la situation sécifique ne sont pas mieux axpliqués par un autre trouble mental tel un TOC, un ESPT, un trouble de l'anxiété de séparation, une phobie sociale ou un trouble panique avec agoraphobi ou une agoraphobie sans atcds de panique
- type animal
- type environnement naturel (hauteur, eau, orage, etc.)
- type injection-accident-sang
- type situationnel (transports publics, ponts, ascenseurs, avions
- autre
Phobie sociale
A. une peur persistante et intense d'une ou plusieurs situations sociales ou bien de situations de performance durant lesquelles le sujet est en contact avec des gens non familier ou bien peut être exposé à l'éventuelle observation attentive d'autrui. Le sujet craint dagir de façon embarrassante ou humiliante (nb: chez les enfants on doit retrouver des éléments montrant la capacité d'avoir des relations sociales avec des gens familiers en rapport avec lâge et l'anxiété doit survenir en présence d'autres enfants et pas uniquement ds les relations avec les adultes
B. l'exposition à la situation sociale redoutée provoque de façon quasi systématique une anxiété qui peut prendre la forme d'une attaque de panique liée à la situation ou bien facilitée par la situation (nb: chez les enfants, l'anxiété peut s'exprimer par des pleurs, des accès de colère, des réactions de figement ou de retrait ds les situations sociales impliquant des gens non familiers
C. le sujet doit reconnaître le caractère excessif ou irraisonné de la peur (chez enfant, ce caractère peut être absent)
D. les situations sociales ou de performance sont évitées ou vécues avec une anxiété et une détresse intense
E. L'évitement, l'anticipation anxieuse ou la souffrance ds la situation redoutée sociale ou de performance pertubetn de façon importante les habitudes de lindividu, ses activités professionnelles, ou bien ses activités sociale ou ses relations avec autrui, ou bien le fait d'avoir cette phobie s'accompagne d'un sentiment de souffrance important
F. Chez les individus de moins de 18 ans, la durée est d'au moins 6 mois
G. la peur ou le comportement d'évitement n'est pas lié aux effets physiologiques directs d'une sub ni à une affection med gen. et ne son pas mieux expliqués par un autre trouble mental
H. Si une affection médicale générale ou un autre trouble mental est présent, la peur décrite en A est indépendante de ces trouble; ex: le sujet ne redoute pas de begayer, de trembler dans le cas d'une maladie de Parkinson ou de révéler un cmoportement alimentaire anormal ds l'anorexie mentale ou la bouliie
* spécifier si type généralisé: si les peurs concernent la plupart des situations sociales (démarrer ou soutenir des conversations, participer à de petits groupes, avoir des rendez-vous, parler à des figurer d'autorité, se rendre à des soirées) NB: envisager également un dx additionnel de personnalité évitante
TOC
A. Existence soit d'obsession ou de compulsions:
- obsessions définies par 1-4
(1) pensées, impulsions ou représentations récurrentes et persistantes qui à certains moments de l'affection, sont ressenties come intrusives et inappropriées et qui entraînent une anciété ou une détresse importante
(2) les pesées, impulsions ou représentations ne sont pas simplement des préoccupations excessives concernant les problèmes de la vie réelle
(3) le sujet fait des efforts pour ignorer ou réprimer ces pensées, impulsions ou représentations ou pour neutraliser celles-ci par d'autres pensées ou actions
(4) le sujet reconnaît que les pensées, impulsions ou représentations obsédante s provienetn de sa propre activité mentale (elles ne sont pas imposées de l'extérieur)
- Compulsions définies par
(1) comportement répétitifs ou actes mentaux que le sujet se sent poussé à accomplir en réponse à une obesssion ou selon certaines règles qui doivent être appliquées de manière inflexible
(2) les comportements ou actes mentaux sont destiné à neutraliser ou à diminuer le sentiment de détresse ou à empêcher un événement ou une situation redoutés; cependant, ces comportements ou ces actes mentaux sont soit sans relation réaliste avec ce qu'ils se proposent de neutraliser ou de prévenir, soit manifestement excessifs
B. A un moment durant l'évolution du trouble, le sujet a reconnu que les obsessions ou compulsions étaient excessives ou irraisonnées (nb: ceci ne s'applique pas aux enfants)
C. les obsessions ou compulsions sont à l'origine de sentiments marqués de détresse, d'une perte de temps considérable ou interfèrent de façon significative avec les activités habituelles du sujet, sonc fonctionnement pro ou ses activités ou relations sociales habituelles
D. Si un trouble de l'axe 1 est aussi présent, le thème des obsessions ou des compulsions n'est pas limité à ce dernier
E. la perturbation ne résulte pas des effets physiologiques directs d'une substance ni d'une affection med gen.
* spécifier si avec peu de prise de conscience: si la plupart du temps durant l'épisode actuel, le sujet ne reconnaît pas que les obsessions et les compulsions sont excessives ou irraisonnées
État de stress post-traumatique
A. le sujet a été exposé à un événement traumatique dans lequel les deux éléments suivants étaient présents
(1) le sujet a vécu, a été témoin ou a été confronté à un événement ou à des événements durant lesquels des individus ont pu mourir ou être très gravement blessés ou bien ont été menacés de mort ou de grave blessure ou bien durant lesquels son intégrité physique ou celle d'autrui a pu être menacée
(2) la réaction du sujet à l'événement s'est traduite pas une peur intense, un sentiment d'impuissane ou d'horreur. (nb: chez les enfants, un comportement désorganisé ou agité peut se substituer à ces manifestations)
B. L'événement traumatique est constamment revécu, de l'une (ou plusieurs) des façons suivantes
(1) souvenirs répétitifs et envahissant de l'événement provoquant un sentiment de détresse et comprenant des images, des pensées ou des perceptions (nb: chez les jeunes enfant peut survenir un jeu répétitif exprimant des thèmes ou des aspects du traumatisme
(2) rêves répétitifs de l'événement provoquant un sentiment de détresse (nb: chez les enfants, il peut y avoir des rêves effrayants sans contenu reconnaissable)
(3) impression ou agissements soudains somme si l'événement traumatique allait se reproduire(incluant le sentiment de revivre l'événement, des illusions, hallucinations et des épisodes dissociatifs, y compris ceux qui survienet au réveil ou au cours d'une intoxication nb: chez les jeunes, des reconstitutions spécifiques du traumatisme peuvent survenir)
(4) sentiment intense de détresse psychique lors de l'exposition à des indices internes ou externes évoquant ou ressemblant à un aspect de l'événement traumatqiue en cause
(5) réactivité physiologique lors de l'exposition à des indices internes ou externes pouvant évoquer ou ressembler à un aspect de l'événement traumatique en cause
C.évitement persistant des stimulus associés au traumatisme et émoussement de la réactivité générale (ne préexistant pas au traumatisme) comme en témoigne la présence d'au moins trois des manifestations suivantes:
(1) efforts pour éviter les pensées, les sentiments ou les conversations associés au traumatisme
(2) efforts pour éviter les activités, les endroits ou ls gens qui éveillent des souvenirs du traumatisme
(3) incapacité de se rappeler d'un aspect important du traumatisme
(4) réduction nette de l'intérêt pour des activités importantes ou bien réduction de la participation à ces mêmes activités
(5) sentiment de détachement d'autrui ou bien de devenir étranger p/r aux autres
(6) restriction des affects
(7) sentiment d'avenir bouché
D. présence de sx persistants traduisant une activation neurovégétative (ne préexistant pas au traumatisme) comme en témoigne la présence d'au moins deux des manifs suivantes:
(1) difficultés d'endormissement ou sommeil interrompu
(2) irritabilité ou accès de colère
(3) difficultés de concentration
(4) hypervigilance
(réaction de sursaut exagérée
E. perturbation dure plus d'un mois
F. La perturbation entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, pro ou autres
* spécifier si aigu (moins de 3 mois) ou chronique ( 3 mois ou +)
** survenue différée si le début des sx survient 6 mois après le facteur de stress
État de stress aigu
A. le sujet a été exposé a un événement traumatique dans lequel les 2 éléments suivants étaient présents:
(1) le sujet a vécu o a été témoin ou a été confronté à un événement ou à des événements durant lesquels des individus ont pu mourir ou être gravement blessés ou bien ont été menacés de mort ou de grave blessure ou bien durant lesquels sont intégrité physique ou celle d'autrui a pu être menacée
(2) la réaction du sujet à l'événement s'est traduite par une peur intense, un sentiment d'impuissance ou d'horreur (nb: chez les enfants, un comportement désorganisé ou agité peut se substituer à ces manifs)
B. durant l'événement ou après avoir vécu l'événement perturbant, l'individu a présenté 3 ou + des sx dissociatifs suivants:
(1) sentiment subjectif de torpeur, de détachement ou une absence de réactivité émotionnelle
(2) une réduction de la conscience de son environnement
(3) une impression de déréalisation
(4) de dépersonnalisation
(5) une amnésie dissociative (incapacité à se souvenir d'un aspect important du traumatisme)
C. l'événement traumatique est constamment revécu de l'une ou + des manières suivantes: images, pensées, rêves, illusions, épisodes de flash back récurrents ou sentiment de revivre l'expérience ou souffrance lors de l'exposition à ce qui peut rappeler l'événement traumatiqu
D. évitement persistant des stimulus qui éveillent la mémoire du traumatisme (pensées, sentiments, concesations, activités, gens, endroits)
E. présence de sx anxieux persistants ou bien manifestations d'une activité neurovégétative (difficltés lors du sommeil, irritabilité, difficultés de concentration, etc.)
F. la perturbation entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, pro ou autres ou altère la capacité du sujet à mener à bien certaines obligations comme obtenir une assistance nécessaire ou mibiliser des ressources personnelles en parlant aux membres de sa famille de l'expérience traumatique
G. La perturbation dure un minimum de 2j et un max de 4 semaines et survient dans les 4 sem suivant l'événement traumatique
H. la perturbation n'est pas due aux effets physiologiques directs d'une substance ou une affection médicale gen, n'est pas mieux expliquée par trouble psychotique bref et n'est pas uniquement une exacerbation d'un trouble de l'axe 1 ou 2 préexistant
Anxiété généralisée
A. anxiété et soucis excessifs survenant la plupart du temps durant au moins 6 mois cocernant un certains nombre d'événements ou d'activité (travail ou les performances scolaires)
B. la personne éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation
C. l'anxiété et les soucis sont associés à 3 ou + des 6 sx suivants (dont au moins certinas sx présents la plupart du temps durant les 6 derniers mois (nb: un seul item est requis chez l'enfant)
(1) agitation ou sensation d'être survolté ou à bout
(2) fatigabilité
(3) difficultés de concentration ou trous de mémoire
(4) irritabilité
(5) tension musculaire
(perturbation du sommeil
D. l'objet de l'anxiété et des soucis n'est pas limité aux manifestations d'un trouble de l'axe 1, ex:anxiété ou préoccupation d'avoir un attaque panique, gêne en public (phobie sociale), contamination (TOC), être loin de son domicile (anxiété de séparation) etc. et l'anxiété et les préoccupations ne surviennet pas exclusivement au cours d'un ESPT
E. L'anxiété, les soucis ou les sx physiques entraînent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionel ou autres
F. la perturbation n'est pas due aux effets physiologiques directs d'une substnce ou une affection médicale gen. et ne survient pas exclusivement au cours d'un trouble de l'humeur, d'un trouble psychotique ou d'un TED
Anorexie mentale
A. refus de maintenir le poids corporel au niveau ou au-dessus d'un poids minimum normal pour l'âge et pour la taille
B. peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, alors que le poids est inférieur à la normale
C. Altération de la perception du poids ou de la forme de son propre corps, influence excessice du poids ou de la forme corporelle sur l'estime de soi, ou déni de la gravité de la maigreur actuelle
D. chez les femmes postpubères, aménorrhée, c-a-d absence d'au moins 3 cycles menstruels consécutifs (une femme est considérée comme aménorrhéique si les règles ne surviennent qu'après administration d'hormones, ex: oestrogènes)
* spécifier
Type restrictif: le sujet n'a pas de manière régulière présentéde crises de boulimie ni recouru aux vomissements provoqués ou à la prise de purgatifs
** Avec crises de boulimie/vomissements ou prise de purgatif: le sujet a de manière régulière, présenté des crises de boulimi et/ou recouru aux vomissements provoqués ou à la prise de purgatifs
Boulimie
A. survenu récurrente de crises de boulimie. une crise de boulimie répond aux deux caractéristiques suivantes:
(1) absorption en une période de temps limitée (ex: moins de 2h) d'une qté de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période de temps similaire et ds les mêmes circontances
(2) sentiment d'une perte de contôle sur le comportement alimentaire pendant la crise (ne pas pouvoir arrêter de manger ou ne pas pouvoir contrôler ce que l'on mange)
B. comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que: vomissements provoqués, emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments, jeûne, exercice physique excessif
C. les crises de boulimie et les comportements surviennets tous deux, en mouenne, au moins 2 fois par semaine pendant 3 ois
D. l'estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle
E. le trouble ne survient pas exclusivement pendant des épisodes d'anorexie mentale
* type avec vomissement sou prise de purgatifs: le sujet a régulièrement recours aux vomissements provoqués ou à l'emploi abusif de laxatif, diurétiques, lavements
** type sans vomissements ni prise de purgatifs: le sujet a recours à d'autres comportements compensatoires inappropriés tels que le jeûne ou l'exercice physique excessif, mais n'a pas eu régulièrement recours aux vomissements provoqués ou à l'emploi abusif de laxatifs, diurétiques ou lavements