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20 Cards in this Set

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Les muscles striés ou squelettiques

Contraction en réponse à un signal d'un neurone somatomoteur.

Composition du tissus musculaire

Cellules musculaires, gaines de tissus conjonctif, vaisseau sanguin et neurofibres.

Composition du sarcomère

Ségement de myofibrille. Unité contractile composée de myofilsments de prot contractiles.


Actine et myosine.


Chaque sarcompre s'étend d'un disque Z à un autre disque Z.



Disque Z : entre


Bande I : isotopique, diffusion homogène de l'actine.


Bande A : anisotropique, diffusion inégale de la lumière.


Zone H : myosine.


Ligne M : milieu.

La titine

Longue protéine,élastique, permet aux muscles de reprendre leur longueur de repos.

La nébuline

Grosse prot, non élastique, permet aux filaments d'actine de s'aligner correctement.

Finalements épais

Grand nombre de molécules de myosine dont les têtes dépassent.

Filaments minces

2 bruns de sous unités d'actine enroulé sur eux mêmes ainsi que des protéines de régulation, la troponine et la tropomyosine.

Contraction musculaire

Étape 1 : la fibre musculaire est stimulée par un neurotransmetteur.


1. PA.


2. L'Ach libérée se lie au récépteurs du sarcolème.


3. La perméabilité du sarcolème change.


4. Dépolarisation locale de la membrane.


5. La Dépolarisation déclenche un PA dans le sarcolème.



Étape 2 : le couplage excitation-contraction se produit.


6. PA parcours la totalité du sarcolème.


7. PA se déplace le long des tubules transverses.


8. Le réticulum sarcoplasmique libère du Ca++ qui se lie à la troponine et les sites de liaison de la myosine sur l'actine sont exposés.


9. Les têtes de myosine se lient à l'actine-> la contraction commence.

Le cycle des ponts d'union

La myosine tire les filaments minces vers le centre du sarcolème.



1. Formation des ponts d'union.


2. Phase active.


3. Détachement des têtes de myosine.


4. Mise sous tension de la têtes de myosine.

Comparaison synapse et jonction musculaire

L'unité motrice

Un neurone peut innerve plusieurs fibres mais les fibres ne peuvent être innervées que par un seul neurone.


Pour un mouvement fin il y aura peu d'unité motrices.


Pour mouvement plus grossier il y aura un plus grand nombre d'unité motrice.

Réponse du muscle aux changements de fréquences de stimulation

Stimulus unique : secousse unique, le muscle se contracte puis se détend.


Fréquence de stimulation faible : tétanos incomplet.


Fréquence de stimulation élevée : tétanos complet.

Les modes de contractions

Isotonique : crée de force et déplace une charge.


- action centrique :le muscle se raccourcis.


- action excentrique : le muscle s'allonge.


Isométrique : genère de la force sans mouvement.

Voies de régénération de L'ATP durant l'activité musculaire.

La phosphorylation directe : réaction de coupé de la créatine. Pas d'utilisation d'O2.


Voies anaérobiques : glycolyse et formation d'acide lactique. Pas d'utilisation d'O2.


Voies aérobiques : acide pyruviques, acides gras et acides aminés avec utilisation d'O2.

3 types de fibres musculaires

1. Fibres oxydatives à contractions lente (de type 2)


Ex : activités de d'urgence et maintient de postures.



2. Fibres oxydatives à contractions rapides.


Ex: sprint et marche.



3. Fibres glycolyques à contractions rapides.


Ex: mouvements puissants et intenses de courtes durées.

Causes de la fatigue musculaire

Fatigue centrale.


Fatigue périférique.

Les éléments élastique en série

Les muscles contiennent des fibres élastiques dans les tendons et les autres tissus conjonctifs qui attachent les muscles aux os.



Contraction isométrique : les sarcolmères de raccourcissent mais pas les muscles. Ils génèrent une force ce qui permet aux muscles de ne pas changer de longueur.



Contraction isotonique : les sarcolmères se raccourcissent davantage et le muscle doit se raccourcir.

Le contrôle de la motricité

L'activité musculaire coordonnée et adéquate dépend de messages afférents de provenances diverses.



Niveau simple : un message provoque de façon réflexe l'activité musculaire qui permet de fuir le stimulus douloureux.



Niveau complexe : le système de commande motrice doit disposer d'informations en temps réel sur la position du corps et les différentes parties du corps les unes par rapport aux autres pour finir ou corriger un mouvement.

Récepteurs de la motricité

Visuels, vestibulaires, cutanés.



Musculaire : les fuseaux neuromusculaires. ( ce sont des fibres spécialisés logés dans une capsule de tissu conjonctif et qui sont sensibles à la longueur du muscle)



Articulaire : les organes tendineux de golgi. ( ce sont des terminaisons nerveuses de neurones afférents qui sont en enchassé dans les faisceau de tissu conjonctif du tendon et qui sont sensibles à la force produite)

Fonctionnement du fuseau neuromusculaire

Détection d'un muscle étiré.



Utilité de la coactivation.