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38 Cards in this Set
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Changement d’apparence (causé par lacroissance musculaire et osseuse) |
-Le cartilage se transforme en masse osseuse plus rapidement
-Les os durcissent = enfant plus solide (Protection des organes internes) |
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La santé |
-Capacité accrues des systèmes respiratoires et circulatoire -Système immunitaire est en plein développement |
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Rôle du cerveau |
-Maturation du cerveau et du système nerveux est responsable des changements physiques entre 4&6
-Favorisent le développement d’habiletés motrices qui font appel aux grands et petits muscles |
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LIEN ENTRE DÉVELOPPEMENT DU CERVEAU ET DÉVELOPPEMENT PHYSIQUE |
= DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR |
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Développement du cerveau : |
- Développement de la densité des synapses dans le cortex préfrontal (4ans) -95% de son volume maximal à 6 ans -3 à 6 ans, croissance se produit dans les régions frontales (responsable pour la planification et l’organisation des actions) |
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Corps calleux : |
-Relie les hémisphères -Myélinisation (permet transmission plus rapide et meilleure intégration des informations) -Jusqu’à l’âge de 15 ans - Coordination des informations s’améliore |
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Habiletés motrices : |
-4 à 6 ans Dev. du cerveau permet une meilleure coordination entre ce que l’enfant veut faire et ce qu’il est capable de faire -Développement moteur s’actualise entre l’âge de 2/3 ans à 7/8 ans -L’enfant peut avoir des difficultés à maîtriser ces habiletés si elles ne sont pas exercées entre 5-7 ans -Rarement prêts à pratiquer un sport organisé avant 6 ans |
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La motricité globale (les 4 actions) |
1.Actions de locomotion : Déplacement du corps d’un endroit à l’autre Ø Marcher,courir, grimper, sauter, glisser 2.Actions de changement de position : orientation et postureØ Se tourner, se balancer, se redresser 3.Actions de transmission de force : Ø Pousser, tirer, lancer, frapper, soulever, donner uncoup de pied 4.Actions d’équilibration ou de stabilisation : Ø Rester debout, s’accroupir, se pencher, se tenir surun pied |
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Les 3 stades : |
Stadeinitial –Stadeintermédiaire -Stadefinal |
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Motricité fine : |
-Meilleuremaîtrise de la motricité fine = meilleures habiletés aux activitésquotidiennes, un sentiment de compétence et d’autonomie et un estime de soi EXEMPLE : Mangeravec une cuillère, se laver ses mains, se brosser les dents -Coordinationœil main -Maturationdu cerveau permet des actions plus complexes (dessins) |
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L’évolution graphique : |
-STADEPICTURAL commence à émerger (3-5 ans) -Passage de formes abstraites à lareprésentation d’objets réel |
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Latéralité manuelle = Latéralité = |
Préférence pour l’utilisation d’une main plutôt que l’autre (évident vers 3ans) Dominance d’unedes parties paires du corps (mains, pieds, yeux) |
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Développement du cerveau : |
-Ledéveloppement de cerveau résulte de l’interaction entre des facteursgénétiques, épigénétiques et environnementaux -Matièregrise diminue (traite l’information)
-Matièreblanche augmente (établit connexions et transmet l’information) |
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1 La fonction symbolique |
• Caractéristiqueprincipale du stade préopératoire. |
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2. La compréhension de la causalité |
• Compréhensiongénérale des relations fonctionnelles élémentaires entre les objets et lesévénements |
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3. La classification |
• Lacapacité d’identifier les similitudes et les différences. |
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4. La maîtrise des nombres |
• Vers5 ans, l’enfant est capable de réciter dans l’ordre les chiffres jusqu’à20 |
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5. Les limites de la pensée préopératoire |
· La centration:la tendance à se concentrer sur un seul aspect d’une situation en négligeanttous les autres Aussilimitée par l’irréversibilité de la pensée: empêche l’enfant decomprendre qu’une opération sur un objet peut être faite en sens inverse pourrevenir à son état initial |
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Les théories de l’esprit • La prise de conscience de la pensée: |
de 3 à 5 ans, l’enfant commence àcomprendre que les pensées se passent dans la tête, elles sont réelles ouimaginaires, présentes les yeux fermés et les oreilles bouchées, actiondifférente de celles de voir, parler outoucher (Flavell et al, 1995 dans Papalia et Feldman, 2014).Toutefois, l’enfant de cet âge croit que l’activité mentale a un début et unefin. • Lemensonge est un signe de développement cognitif. • Lamaturation du cerveau est nécessaire pour son développement – l’activiténeurologique du cortex préfrontal est particulièrement importante. |
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Le traitement de l’information 3.1 Le développement de la mémoire |
- sensorielle (temporaire) - de travail (courtterme – informations traitées et actives – environs 7 éléments – contrôlée parl’attention) à long terme
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La formation des souvenirs • 3 types de mémoires à long terme: |
- Générique:vers 2 ans, scénarios de routines familières servant à orienter lecomportement. - Épisodique:conscience d’avoir vécu une expérience particulière dans un lieu et tempsdéterminé. - Autobiographique: 3 à 4 ans, réfère aux événements vécus par une personne (histoire desa vie) – liée au concept de soi et au développement du langage. |
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L’influence des parents et du milieu |
• La façon des parents de stimuler leur enfant aaussi une grande influence sur ce développement: une attitude parentalesensible, chaleureuse et aimante, généralement ouverte (comportement del’enfant), offrant une liberté d’explorer et de s’exprimer, utilisant unlangage et des techniques qui encouragent l’autonomie et la créativité desenfants et ayant recours à la lecture, l’enseignement et au jeu pour favoriserleur développement. Le résultat est un enfant émergent (curiosité, créativitéet intérêt). Aide à franchir la zone proximale dedéveloppement |
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Le développement du langage Augmentation du vocabulaire et progrès en syntaxe |
• 3 ans: 1000 mots • Étenduerapide du vocabulaire grâce à la catégorisation rapide: processus detraitement de l’information permettant d’intégrer un nouveau mot après l’avoirentendu seulement une ou deux fois dans une conversation |
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Retards de langage
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• Albert Einstein • Facteurs contribuant: problèmesauditifs, malformations de la tête ou du visage, naissance prématurée, facteurssocioéconomiques, autres retards développementaux et l’hérédité. Les garçonssont plus susceptibles de parler tardivement. La plupartdes enfants se rattrapent |
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L’évolution de la conscience de soi |
• N’estpas encore en mesure d’adopter un regard nuancé sur son concept de soi. |
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1.1 Le concept de soi: |
Ensemble des représentations qu’une personnepossède au sujet d’elle-même. |
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L’image de soi: |
• l’imageque le jeune enfant se fait de lui-même fondée sur des caractéristiquesextérieures telles que les traits physiques. • *Versl’âge de 7 ans seulement, l’enfant peut faire preuve de nuances et de réalismedans sa description de lui-même. • *Processusémotionnel en cause = reconnaît maintenant qu’il peut expérimenter des émotionsconflictuelles et faire preuve d’autocritique sur ses forces et ses faiblesses. |
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L’estime de soi |
• la valeur positive ou négative qu’une personnes’accorde à elle-même. • Indicateursd’un bon estime de soi dans la petite enfance: se sentir bien dans son corps, être fier d’être un garçon ou une fille, croire en ses capacités, avoir lesentiment d’être aimable, être à l’aise en compagnie des autres et avoirconfiance que ses besoins seront reconnus et comblés dans un avenir rapproché |
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4 éléments favorisant l’estime de soi |
1- sentimentde sécurité 2- L’identitépositive 3- sentimentd’appartenance 4- sentimentde compétence |
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La compréhension et la régulation des émotions |
L’enfant qui comprendses émotions est capable de mieux les contrôler et d’être plus sensible àcelles des autres. La régulation des émotions guide lecomportement de l’enfant et développe sa capacité de bien s’entendre avec lesautres |
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Le développement de l’identité du genre Définition: |
La représentation qu’une personne se fait d’elle-même, selon son appartenance àun sexe et dans une société donnée. |
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Les rôles et les stéréotypes sexuels |
• Présentsdans TOUTES les sociétés. Doublestandard à l’égard des deux sexes: attentes de la société qui diffèrent enfonction du sexe de la personne. Stéréotypes sexuels: généralisation portant sur la masculinité et la féminité. • Leparent est un modèle et son attitude peut renforcer ou décourager descomportements qui sont associés ou non à leur genre. |
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La théorie psychanalytique (Freud) |
• Ledéveloppement de l’identité de genre passe par le processus d’identification:processus par lequel un jeune enfant adopte les caractéristiques, croyances,attitudes, valeurs et comportements du parent du même sexe que lui. |
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La théorie du schème du genre de Bem: |
• l’enfantse socialise en fonction des rôles appropriés à son sexe en se représentant ceque signifie être une fille ou un garçon. L’androgynie – personnalitépossédant des caractéristiques féminines et masculines serait la personnalitéla plus saine. |
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Les théories du développement de l’identité de genre Le rôle des parents dans la lutte des stéréotypes sexuels véhiculés dans la société selon Bem: |
• Nedoivent pas se confiner en tant qu’adultes dans des tâches traditionnelles oudes attitudes stéréotypées. • Offrirà l’enfant la possibilité de choisir des jeux qui ne sont pastraditionnellement associés à son sexe (ex: camion aux filles et poupées auxgarçons). |
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Les théories du développement de la personnalité La théorie psychosexuelle de Freud |
Le stade phallique (3-6 ans): • troisièmestade du développement psychosexuel, caractérisépar le déplacement de la libido vers les organes génitaux et au cours duquell’Enfant perçoit la différence sexuelle selon la présence ou l’absence dupénis. • Expérimentela masturbation
• Développeune curiosité sexuelle |
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La théorie psychosociale d’Érikson Crise de l’initiative versus la culpabilité: |
• Troisièmecrise du développement psychosocial au cours de laquelle l’enfant de 3-6 ansdoit réaliser l’équilibre entre le désir d’atteindre des buts et les jugementsmoraux liés à ce qu’il veut faire. • Permetde développer le sens de l’initiative et le courage, nécessaire à l’adaptation. |
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Le développement social |
• Lesaspects les plus importants de l’amitié sont: faire des activités ensemble,s’apprécier, s’aider mutuellement, habiter à proximité et fréquenter la mêmeécole. • Comportementprosocial: comportement volontaire à l’égard d’autrui et dont l’objectif est lebénéfice de l’autre. • Altruisme:comportement pouvant impliquer un sacrifice personnel et qui a pour but d’aiderles autres, sans égard à ses propres intérêts et sans espoir de récompense. |
