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23 Cards in this Set

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« Joies du Soir » – Les Contemplations – Victor Hugo


Le poète se détourne de la lumière. Il cherche des révélations dans la nuit.


Rupture avec la conception traditionnelle de la nuit – C'est une nature pleine de vie.


Généralisation « nous » qui souligne la capacité du pote de parler au nom de tous.


Son regard tourné vers l'au-delà, le poète entre en communications avec des réalités abstaites.

« Le Rossignol dans la nuit » – Samuel Taylor Coleridge


STC refuse la lecture traditionnelle du chant du rossignol – celui de la mélancolie.


Il faut se mettre à l'écoute des voix de la nature. On ne la domestique pas.

« Ô gouffre ! » – Victor Hugo


La position de l'homme dans l'univers est comme au fond d'un gouffre, dans le noir.


Il faut employer ses sens pour percevoir. La nuit nous oblige à tourner surtout vers la

« Minuit de glace » – S. T. Coleridge


Le poète dans son cottage est isolé par rapport à la nature. L'homme n'a aucune place dans la nature nocturne.


La seule communication est avec une petite pellicule qui danse autour du feu. C'est un signe de la fragilité du lien folklorique avec la nature.


Le poète projette son expérience sur l'avenir de son fils => Projection de la vision poétique.

« Je sors seul » – Lermontov


Communication idéalisée entre des éléments naturels. L'homme n'y participe pas ; Il est exclue.


« L'étoile parle à l'étoile »


Poésie lyrique : « Je » : Le poème raconte l’expérience du poète.

« Je suis fait d'ombre et de marbre » – Victor Hugo


Dimension auto-poétique où le poète parle de son rôle. La fonction poétique est elle-même digne de devenir un sujet de poésie.


Métaphore de l'escalier : le poète est l'intermédiaire entre deux espaces différents. Il relie les ténèbres au monde du réel. Il ne relie pas le divin avec l'homme, mais les ténèbres, le monde des mystères.

« Les mages » & « Je suis Jean » – Victor Hugo


Le poète se compare à des figures savantes et religieuses. C'est lui qui communique directement avec dieu, ce qui rend la poésie sacrée.


=> Une autorité nouvelle du poète. L'écrivain devient une figure sacrée et intouchable.

« Première Hymne » – Hymnes à la nuit – Novalis


La lumière est « l'âme de la vie ». La nuit est associée à des éléments négatifs. C'est un espace vide et mort.


Ce vide permet au poète de remplir la nuit de ses propres représentations intérieurs.


À travers une progression où le poète introduit les pronoms « je » et « tu », il se tourne ainsi vers la nuit. Il établit un dialogue à la nuit, avec la nuit.


La nuit est ce qui permet paradoxalement au poète de voir. Elle permet au poète d'émettre sa propre lumière : le rend actif et voyant.


Le poète s'adresse, à fin, à Sophie, sa bien aimée décédée. Il cherche à travers la poésie à rétablir une communication avec elle.

« Hymne 5 » – Novalis


La nuit est un monde connaissable, et vivant.


La rationalisation nous éloigne de la nature. Il faut résister au « progrès » pour revenir à un monde folklorique.

« Le Bateau fantôme » – Lermontov


Traits stylistiques de la ballade avec une différence qui est la référence historique précise qui contraste avec la matière folklorique.


Dans ce poème il s'agit de donner un caractère folklorique à des événements historiques. Napoléon est associé à un registre surnaturel.


Cette combinaison du réel avec la fantastique est typique du poète-barde. Le poète-barde se sert des élaborations fantastiques pour créer un discours socio-culturel.

« La Complainte du vieux marin » – S. T. Coleridge


Un titre qui pousse dans le folklore « rime of the ancient mariner »


Flexibilité du symbole et l'inutilité se son interpretation. La nature n'est pas redevable à l'homme.


Albatros = > Objet sans allégorie.


« Hymne 3 » – Novalis


Expérience traumatique qui est la mort de sa fiancée Sophie. Cette expérience permet au poète d'examiner le deuil et le monde d'une perspective générale.


Le passage du jour à la nuit, le changement de temps et de pronoms suggère une vérité générale.


La bien-aimée devient une abstraction générale qui peut se référer à n'importe quelle vie.

« Paroles dans l'ombre » – Hugo


La nuit est présentée dans un cadre traditionnel. C'est une scénette domestique, tout à fait le contraire d'un espace de révélations profondes.

« Un soir que je regardais le ciel »


Échange de parole entre l'homme et sa femme. Le poète contemple les événements de la nature et la fonction poétique. La femme lui reproche d'être perdu dans ses contemplations.

« Le Pont »


La nuit est présentée comme un espace effrayant qui n'est en aucune mesure maitrisé par l'homme. Il n'y voit rien.

« À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt »


Après l'experience individuelle du deuil, la nuit apparaît comme un monde brouillé. Le poème démontre le trajet personnel du poète.


Les deux cavaliers se perdent dans leur conservation et ils oublient d'interoger la nature qui les entoure. Ils n'arrivent pas à transformer la nature en parole articulée => révélation manquée.


« Hermann » => « Monsieur Homme »

« L'Ondine » – Lermontov


Créature de folklore : un personnage typiquement négatif. Elle est ici liée à la mort dans sa relation avec le chevalier.


Lermontov donne une voix à ce personnage qui typiquement n'en aurait pas.


L'Ondine est une représentation d'un monde folklorique auquel l'homme n'a typiquement pas accès.

« L'Ange » – Lermontov


Le poète est présenté en position de contemplation. Il se confère un rôle limité.


L'ange représente une visite du divin.


Dans la première partie du poème il n'y a pas d'interaction entre le monde du divin et celui de l'homme.

« L'Apparition » – Hugo

Le poète a une posture contemplative. La nuit révèle la vraie nature de cette vision poétique.

« La Harpe Éolienne » – Coleridge


Le poète remet encore en question la fonction poétique.


Le poème se déroule en forme de conversation entre le poète et sa femme.


Pour Coleridge, la nature paraît harmonieuse, et légère. Tout se mélange.


Est-ce que c'est le poète qui influence la nature, ou bien le contraire ?


La harpe éolienne => Un instrument joué par la nature, le poète s'y compare.


Ou, peut-être que c'est la vision nature qui est transformée par la vision du poète.

« Kubla Khan » – Coleridge

Le poète a composé et puis oublié un chez d’œuvre, à l'aide de drogues et d'un état de rêve.

« L'attente » – Lermontov


Rédigé en français, ce poème présente le sommeil, et donc le rêve, comme l'espace de la révélation poétique.


« Tout-à-coup, tremblant, je m'éveille:
Sa voix me parlait à l'oreille,
Sa bouche me baisait au front. »

« Le Songe » – Lermontov


Idée de plusieurs univers et la généralité de la poésie.


C'est le poète qui apparaît dans les deux cas, guerre et joie