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156 Cards in this Set
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Définition NUTRITION
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science déterminant provision matériel nécessaire aux ¢ et à l'organisme pour sa survie.
Équilibre permet de prévenir et améliorer différents pronostics. |
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6 catégories de nutriments
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protéines
sucres lipides fibres alimentaires vitamines minéraux eau |
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Définition MACRONUTRIMENT
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élément ou composé organisque des aliments nécessaire à la survie (P, L, G)
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% de l'alimentation composé de macronutriments ?
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98%
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% de calories de chacun des macronutriments dans notre alimentation
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P : 15-30%
G : 40-55% L : 28-38% |
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Définition CALORIE
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unité de mesure par estimation de la chaleur dégagée par oxydation de l'aliment.
Aucune dans l'eau. |
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Définition MICRONUTRIMENT
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molécule organique ou élémentaire nécessaire au développement (vitamines, minéraux, oligoéléments)
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% de l'alimentation composé de micronutriments ?
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2%
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Rôles micronutriments
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PAS D'ÉNERGIE
Rôles biochimiques, de cofacteur, d'antioxydant. |
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Définition OLIGOÉLÉMENT
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Micronutriments existant sous forme de trace ou ultra-trace.
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Définition élément TRACE
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élément présent en mg/kg
Essentiel à la vie Déficit = anomalies de fonction |
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Quels sont les éléments trace essentiels ?
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Mg, Fe, Zn, Mn, Mb, Cr, Se, Co, F
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Définition élément ULTRA-TRACE
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élément présent en mcg/kg
Sûrement essentiel Besoin ?? |
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Quels sont les éléments ultra-trace ?
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Nickel, Vanadium, Silicium, Arsenic, Bore, Cadmium
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Définition PROTÉINE
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molécule d'a.a.
Nécessaire structure et régulation cellulaire et hormonale. Structure des os, Ac, muscles, peau. |
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Sources de protéines animales
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viande
poisson oeufs produits laitiers |
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Sources de protéines végétales
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céréales
noix légumineuses |
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1g de protéines = ? Kcal
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4 Kcal
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Définition LIPIDE
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Indispensable bon fonctionnement organisme :
Mb plasmique Syst. circulatoire Syst. hormonal Syst. immunitaire Syst. nerveux Regroupe : a.gras, TG, phospholipide, glycolipide... Généralement insoluble dans l'eau et soluble dans solvants organiques non polaires |
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1 g de lipide = ? Kcal
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9 Kcal
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Sources de gras saturé
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graisses animales (lait, fromage, beurre, viande, lard...)
huile de coco huile de palme... |
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gras saturés solides ou liquides T ambiante ?
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solides
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Définition acide gras mono-insaturé ?
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acide gras qui contient une double liaison C-C
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Qu'est-ce que l'hydrogénation ?
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transformation des liaisons doubles d'un acide gras insaturé en liaison simple = acide gras saturé (GRAS TRANS possible)
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Sources gras mono-insaturé
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huile d'olive, avocat...
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Définition acide gras poly-insaturé
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a. gras contenant plusieurs liaisons doubles
Oméga 6 Oméga 3 TOUS DEUX ESSENTIELS ORGANISME |
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Sources OMÉGA 6
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plupart des huiles végétales
graines huile de cassis oeufs certaines viandes selon alimentation de l'animal |
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Sources OMEGA 3
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certains poissons gras (saumon)
huile de krill lin noix graines huile de citrouille |
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à quoi servent les gras essentiels ?
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consitution et intégrité mbs cellulaires
bon fonctionnement syst. cardiovasculaire, cérébral, hormonal, inflammatoire |
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Parmi les Oméga 3, lequel est essentiel ?
Sources ? |
l'acide alpha-linoléNique (a.a.l.)
huile et graine de lin huile de canola huile de soya |
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Parmi les Oméga 6, lequel est essentiel ?
Sources ? |
l'acide linoléique (a.l.)
huile de maïs huile de tournesol huile de soya huile de carthame huile de pépins de raisin certains poissons |
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Origine gras trans
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hydrogénation partielle des huiles insautrées (mono- ou poly-)
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Qu'ont de particulier les gras trans du point de vue de la stabilité ?
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se conservent mieux et résistent mieux à la chaleur (pâtes et biscuits plus croustillants, p. ex.)
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Les acides gras trans existent-ils de façon naturelle ?
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Oui, dans le lait !
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*** Définition SUCRE RAPIDE
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sucre à index glycémique (IG) supérieur à 50.
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Exemples de sucres rapides
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sucreries, sorbets, pain blanc, riz blanc, frites
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Définition SUCRE COMPLEXE
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sucre lent, ayant IG inférieur à 50
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Exemples de sucre lents (complexes)
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flocons d'avoine, pain complet, lentilles, pâtes, etc.
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1g sucre = ? Kcal
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4 Kcal
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Qu'est-ce que l'index glycémique (IG)
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basé sur effet de la glycémie durant les 2h post-prandiales de l'aliment. Compare le pouvoir glycémiant directement lors de la digestion.
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Comment se fait le calcul de l'index glycémique ?
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en considérant la courbe de glycémie durant les 2hres postprandiales, et en considérant la surface sous la courbe. Comparée à celle du glucose pur.
CG = IG * M gl./ m alim. Voir tableau aliments |
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Pourquoi les sucres à IG élevé sont-ils néfastes pour la santé ?
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créent un pic d'Insuline
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Types d'enquêtes en nutrition
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enquêtes nutritionnelles (alimentaires)
Études de prévalence Études cliniques |
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Comment se fait une enquête alimentaire ?
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Niveau colectif (production VS consommation)
Rappel de 24 hres (qu'avez-vous mangé depuis 24 h?) |
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Comment se fait une étude de prévalence ?
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Population VS malade
Comparaison de diverses populations (ex : on s'est aperçu qu'en demandant de diminuer les lipides, les gens augmentent leurs glucides en compensation !) |
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Quels sont les types d'études cliniques ?
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prospective (meilleure !!! On fixe les conditions au départ, on peut tout doser durant l'évolution !)
rétrospective expérimentale (in vitro, in vivo) |
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Définition BESOINS NUTRITIONNELS
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Processus par lequel est analysé l'info provenant de données diététiques, biochimiques, anthropométriques et cliniques pour évaluer l'état de santé en relation avec la disposition de nutriments et les besoins en énergie et/ou macro- et/ou micronutriments
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Types de "besoins nutritionnels"
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Besoin moyen estimatif (BME)
Apport nutritionnel recommandé (ANR) Apport suffisant (AS) Apport maximal tolérable (AMT) Étendue des valeurs acceptables pour les macronutriments (EVAM) Besoin énergétique estimatif (BÉE) VOIR GRAPHIQUE |
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Valeur moyenne estimée de l'apport quotidien en nutriments permettant de combler les besoins de la moitié des sujets en bonne santé d'un groupe donné selon étape de vie et sexe
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Besoin moyen estimatif (BME)
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apport nutritionnel quotidien moyen permettant de répondre aux besoins de la quasi-totalité (97-98%) des sujets en bonne santé d'un groupe donné selon...
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Apport nutritionnel recommandé (ANR)
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apport quotidien moyen recommandé d'un nutriment en fx d'apporximations observées ou déterminées expérimentalement ou d'estimations de l'Apport de nutriments observé chez un ou pluieurs groupes en bonne santé.
UTILISÉ SI ANR IMPOSSIBLE À FIXER |
Apport suffisant (AS)
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apport nutritionnel quotidien le plus élevé qui n'entraîne vraisemblablement pas de risques d'effets indésirables sur la santé chez plupart des membres du groupe.
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Apport maximal tolérable (AMT)
Plus apport > AMT, plus risque effets ind. +++ |
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intervalles d'apports fixés pour chaque source d'énergie alimentaire. Vise à réduire risque de mal. chroniques et à permettre un apport suffisant en nutriments essentiels.
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Étendue des valeurs acceptables pour les macronutriments (EVAM)
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apport énergétique alimentaire moyen censé maintenir l'équilibre énergétiquechez les individus en bonne santé. Établi selon âge, sexe, poids, taille, niv. activité
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Besoin énergétique estimatif (BÉE)
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Formules BÉE
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Femme : 387 - (7,31 x âge) + CA x (10,9 x poids) + (660,7 x taille)
CA : 1,00 sédentaire 1,14 faiblement 1,27 actif 1,45 très actif Homme : 864 - (9,72 x âge) + CA x (14,2 x poids) + (503 x taille) CA : 1,00 sédentaire 1,12 faiblement 1,27 actif 1,54 très actif |
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Caractéristiques guide alimentaire
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10 langues
dernier : 2007 normes selon ANREF, mais recommandations basées sur choix alimentaires et non nutriments 4 groupes VOIR IMAGE |
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Définition MALNUTRITION
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état nutritionnel qui s'écarte de la normale définie par les physiologistes et qui est la conséquence d'une alimentation mal équilibrée en qté ou qualité.
SOUS-ALIMENTATION SUR-ALIMENTATION MAUVAISE ASSIMILATION |
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Maladies reliées à la nutrition
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Obésité
Anorexie Diabète Dyslipidémies HTA Hyperuricémies Cancers (favorisés si glucides +++) Infections Intolérances alimentaires et allergies alimentaires Maladies cœliaques Maladies inflammatoires de l'intestin |
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Caractéristiques des besoins nutritionnels en situation aiguë
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Après analyse de l'état et du dossier
Rôle primordial diététiste dans PRÉVENTION, TRAITEMENT, RÉMISSION, INTERACTION MÉDICAMENT/ALIMENT |
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Définition NUTRITIONNISTE
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Spécialiste des troubles et maladies de la nutrition.
Spécialiste de la nutrition humaine à l'échelle des populations. |
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Caractéristiques counseling nutritionnel
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La diététiste/nutritionniste pose un counseling nutritionnel pour modifier le comportement et améliorer l'état nutritionnel et la santé d'un individu.
Activité complexe, exigeant capacité de synthétiser et d'appliquer des connaissances tirées des sciences fondamentales, cliniques et béhaviorales. |
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Quel facteur rend la nutrition complexe ?
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Besoin de base, plaisir, activité sociale, traitement et/ou prévention...
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Outils et méthodes en nutrition
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Tour de taille = GRAISSE VISCÉRALE ABDOMINALE
102 cm (40 po) H 88 cm (35 po) F Mesures anthropométriiques % de gras et/ou muscle Évaluation besoins en terme d'énergie, de macro- et micro- nutriments. Analyse des mesures biochimiques, physiques et cliniques |
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Définition malnutrition Kadhri
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État qui suit une période prolongée de prise inadéquate d'un ou + nutriments essentiels
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** Caractéristiques malnutrition Kadhri
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Problème commun
Augmente coûts soins de santé Séjours hospitaliers plus longs Plus de complications Guérison ralentie Augmentation mortalité et morbidité |
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Causes malnutrition Kadhri
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Prise alimentaire inadéquate
Malabsorption Mal digestion Augmentation de l'excrétion Incapacité métabolique à utiliser les nutriments Utilisation inadéquate de suppléments, NE, NP |
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Décrire Prise alimentaire inadéquate
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anorexie, nausées, vomissements, examens, dépression, confusion,
dysphagie, traitements pharmacologiques..etc. |
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Décrire Malabsorption
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atteinte au grêle, voies biliaires, pancréas, traitements.
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Décrire Augmentation de l'excrétion
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diarrhées, fistules digestives, atteinte rénale, traitements.
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Critères de dépistage malnutrition Kadhri
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10% ↓ poids involontaire sur 2-3 mois
< 75% du poids santé transthyrétine < 100 mg/L histoire apport insuffisant > 5-7 jours. |
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Qu'est-ce que la malnutrition protéino-énergétique (MPÉ)
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Déplétion de la masse maigre du corps
Déficit mixte, très fréquent à l ’hôpital Déclenché par un stress métabolique aigu chez un patient chroniquement dénutri. Combinaison: - ↓ calories - ↓ protéines |
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*** Facteurs de risque malnutrition Kadhri
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Δ poids involontaire
NPO ≥ 5 jours nausées, vomissements ↓ appétit Maladies chroniques, cancer, alcoolisme Interactions médicaments-nutriments Mauvaise dentition Besoins métaboliques ↑ (chirurgie, trauma, brûlures) IMC ↑ ou ↓ |
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Signes cliniques malnutrition Kadhri
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Perte de poids ou obésité
Masse musculaire diminuée Réponse immunitaire ↓ Mauvaise guérison des plaies Lésions cutanées |
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Méthodes de classification de la sévérité de la malnutrition Kadhri
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1- Degré de perte de poids:
% = poids actuel/poids usuel x 100 2- Histoire nutritionnelle 3- Indice de masse corporelle (IMC) 4- SGA: évaluation subjective globale Pas d’outil parfait |
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Éléments histoire nutritionnelle
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Santé générale
Habitudes alimentaires Allergies Médicaments Fonction intestinale Changements récents des habitudes alimentaires Appétit Poids Niveau d’activités |
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IMC - catégories
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< 16: malnutrition sévère
16 - 20: malnutrition modérée 20 - 24.9: poids santé 25 - 29: surpoids 30 - 34,9: obésité classe I 35 - 39,9: obésité classe II 40 +: obésité classe III |
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IMC bémols
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IMC < 20 peut être normal pour certains
patients IMC 25 + n’exclut pas une MPE donc dur de classifier sur la base de l’IMC |
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SGA : Subjective global assessment, éléments et scores possibles
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A- Histoire
B- Examen Physique C- SGA – score subjectif A: bien nourri B: modérément mal nourri (ou suspicion) C: sévèrement mal nourri |
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Traitement malnutrition ? Caractéristiques particulieres
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SOUTIEN NUTRITIONNEL !
le SEUL traitement de la malnutrition le SEUL moyen de prévenir la malnutrition |
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Définition soutien nutritionnel
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Mesure prise pour fournir les nutriments
par voie orale, entérale ou parentérale : éventail de moyens En équipe interdisciplinaire |
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Objectifs du soutien nutritionnel
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Identifier les patients @ risque
Calculer les besoins Choisir la voie appropriée Assurer un suivi de la prise alimentaire die Assurer un suivi des effets Modifier le traitement si nécessaire |
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Définition nutrition entérale
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Alimentation liquide administrée par la voie digestive, oralement (PO) ou par l’intermédiaire d’un tube
PAS UN GAVAGE !!! |
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Objectifs nutrition entérale
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Prévenir la détérioration de l’état
nutritionnel Corriger un état nutritionnel insatisfaisant Préserver l’intégrité structurale et fonctionnelle du tube digestif ** |
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Par quoi diffèrent les formules de NE ?
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Source et
concentration des: protéines glucides lipides Le contenu en: vitamines E eau fibres La saveur |
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Formes de formulations
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Polymérique
Monomérique ou élémentaire |
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Formule périphérique
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Macronutriments intacts, besoin que capacités digestives et absorptives soient intactes !
Maison : malaxeur Commerces : Nutren, Jevity, Ensure, Resource, etc. |
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Formule monomérique
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élémentaire : protéines sont hydrolysées
ou sous forme d ’acides aminés Quand la capacité de digestion ou d’absorption est réduite entérite radique atrophie de la muqueuse grêle syndrome de l’intestin court fistules Palatabilité: Servir froides , paille Dépourvues de lactose et de fibres $ coûts plus élevés Faibles en lipides: < 15 % énergie (sauf peptamen) |
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Comment choisir formule de NE ?
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• État du tube digestif
• Pathologies présentes • Besoins nutritionnels • Durée envisagée formules spécialisées • Hyperglycémie • Insuffisance rénale • Insuffisance hépatique • Insuffisance respiratoire FORMULES MODULAIRES • PROTEINES 1. Poudre • GLUCIDES 1. Poudre 2. Liquide • LIPIDES 1. Liquide |
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Indications NE ***
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Aucun critère absolu
Besoins non comblés depuis 5 à 7 jours On prévoit NPO 5 à 7 jours avec tractus GI fonctionnel |
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Contre-indications NE ***
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Occlusion intestinale (mécanique)
Iléus (obstruction fonctionnelle) Fistules à haut débit (> 500 mL par jour) Pronostic ne justifiant pas un traitement nutritionnel intensif Ischémie GI Vomissements et diarrhées sévères et pancréatite aiguë mais en voie de ne plus l'être |
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Voies d'administration NE
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Voie naso gastrique
Voie naso duodénale ou naso jéjunale Stomie: gastrostomie (PEG – ouverte) Stomie: jéjunostomie Faire suivre X-Ray |
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Voie nasogastrique NE
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Fréquente et simple
Tolérée, si tubes souples et de petit calibre Chez les personnes avec: capacités digestives normales alertes et coopératives « gag »: réflexe présent risque d’aspiration faible motilité gastrique normale |
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Jéjunostomie NE
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(+) contourner une
obstruction ou une dysmotilité haute (+) éviter inconfort nasal et visuel des voies (-) irritations cutanées (-) infections cutanées (-) requiert intervention chirurgicale |
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** Complications NE
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Gastro-intestinales
Métaboliques Techniques Infectieuses |
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Complications métaboliques NE
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Troubles
électrolytiques ↓ ↑ Na ↓ ↑ K ↓ ↑ P ↓ ↑ Mg Hyperglycémie éviter excès énergétique ↓ quantité glucides |
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malabsorption et NE
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syndrome de l’intestin court: short bowel
syndrome troubles infectieux, inflammatoires et immunologiques médicaments radiation fistule à haut débit > 500 ml /jour NE agressive aide à stimuler l’adaptation du tube digestif et diminue la dépendance sur la NP long terme |
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Syndrome de l'intestin court définition
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état de malabsorption suite à
une résection massive du grêle qui peut impliquer et les micronutriments et les macro-nutriments |
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Définition NP
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Alimentation administrée par une voie autre que la voie digestive, généralement par voie intraveineuse
Centrale ou périphérique Partielle ou totale |
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Objectif NP
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maintenir
ou d’améliorer l’état nutritionnel et métabolique des patients qui, pendant une période de temps, ne peuvent être nourris de façon adéquate par voie entérale |
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V ou F : la nutrition parentérale n'est pas un médicament
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Faux
Standards de la FDA quant à la stérilité, l’efficacité et l’innocuité Interactions possibles: rôle de la/du pharmacien(ne) |
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***Indications NP
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Impossible d’avoir la liste absolue d’indications
Jugement, discussions, cas par cas Équipe Multidisciplinaire Dépend de: variabilité de l’atteinte sévérité de la pathologie malnutrition pré-existante support autour du patient **** Patient dénutri ou à risque de l’être, qui ne peut pas (ou ne devrait pas) s’alimenter suffisamment pour maintenir ses réserves. Besoins non comblés depuis 5 - 7 j NPO prévu pour 5 - 7 j Échec de nutrition entérale |
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Contre-indications NP ***
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Système digestif fonctionnel et utilisable
Risque > effets bénéfiques Besoins < 5 jours Support nutritionnel non désiré |
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Clientèle visée NP
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Malabsorption
Motilité Obstruction mécanique Post-op avec malnutrition Hypermétabolisme Pédiatrie / néonatalogie |
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Voies d'Administration NP
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Un accès veineux
La présence d’un cathéter dans le système vasculaire Des solutions stériles et stables |
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Accès veineux NP
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Périphérique
Central Court-terme Moyen-terme |
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PICC line
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PICC =Peripherally inserted central catheter
Cathéter flexible inseré dans une veine périphérique de façon à ce que le bout (tip) soit positionné dans une localisation centrale = veine cave supérieure =voie centrale Technique stérile Lieu propice pour des procédures interventionnelles en radiologie avec : fluoroscopie ou échographie Sédation au patient La peau des membres supérieurs est désinfectée Une petite aiguille est inseree dans une veine du bras Wire est placee a travers laiguille et laiguille est enlevee Un catheter est place par-dessus le wire et occasionne un plus gros passage On retire le wire On confirme que le bout du cathéter est bel et bien dans la VCS veine cave supérieure PAR RADIOLOGIE Si sous écho ou fluroscopie pas besoin de confirmation |
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NP - voies centrale VS périphérique
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NPP nutrition parentérale périphérique
• évite l’insertion de cathéter central • courte période: une dizaine de jours • appropriée pour une période de transition brève • osmolalité maximale: 850 mOsm/L • complications: thrombophlébite inflammation et oblitération de la veine NPC - Nutrition parentérale centrale o dilution rapide d’une solution concentrée en nutriments vu que flot rapide o accès de choix: veine cave supérieure o souvent: PICC line (long-terme Peripherally Inserted Central Catheter) |
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Composition solution NP ***
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Macronutriments:
acides aminés glucides lipides Électrolytes Micronutriments: vitamines éléments de trace |
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Solutions disponibles NP
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Les solutions peuvent être séparées ou prémélangées
(D + AA ± L). Avec ou sans électrolytes. Micro nutriments toujours ajoutés à la dernière minute pour stabilité. |
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Formules séparées, modulables
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des automates préparent les mélanges:
(+)possibilité d’ajuster les recettes aux besoins spécifiques de chaque patient (-) besoin de temps technique @ la pharmacie |
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Formules prémélangées
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(+) facilité pour petits centres
(-) adapter le patient à la formule (!) |
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NP - glucides
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Dextrose: 3,4 kcal/g vs 4 kcal / g (glucose)
Différentes concentrations: 2,5 - 70% avec ou sans électrolytes, avec ou sans a.a. Concentrations > 10% réservées : voie centrale |
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NP- a.a.***
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Substrats pour la synthèse des protéines
Conséquences Catabolisme diminué Meilleure fonction hormonale Guérison tissulaire améliorée Préserver la masse maigre: LBM Lean Body Mass- Concentrations variables: 3- 20 % Souvent: 5% = 5 g dans 100 mL Insuffisance rénale: pas de restriction (dialyse) Energie: 4 kcal/ gramme*** Besoin: 0.8 g / kg Besoin patients: 1,5 g / kg / jour 1- 2 g / kg / jour Classification ** Essentiels Semi- essentiels Non - essentiels Ratio essentiels: non-essentiels |
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8 acides aminés essentiels:
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Leucine (LEU)
Isoleucine (ILE) Valine (VAL) Thréonine (THR) Méthionine (MET) Phénylalanine (PHE) Tryptophane (TRP) Lysine (LYS) |
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Acides aminés semi-essentiels
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Histidine (HIS)
Arginine (ARG) Tyrosine (TYR) Cystéine (CYS) |
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Acides aminés non-essentiels
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Alanine (ALA)
Asparagine (ASN) Aspartate (ASP) Glutamate (GLU) Glutamine (GLN) Proline (PRO) Sérine (SER) Glycine (GLY) |
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NP - lipides **
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Concentrations: 10 % - 20 %
Donnés séparés ou tout en 1 (les trois ensemble) Donnés à tous les jours ou 2 fois/ semaine Source concentrée d’énergie: 9 - 10 Kcal / g*** Source d’acides gras essentiels Huile de soja, surtout w-6 pro inflammatoires Concept d’immunomodulation |
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Calories chaque constituant NP ***
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Protéines 4 Kcal / g
Dextrose 3.4 Kcal / g Lipides 10 % 1.1 Kcal / ml Lipides 20 % 2.0 Kcal / ml soit 10 Kcal/ g Glucose 4 Kcal / g Lipides 9 Kcal / g Alcool 7 Kcal / g |
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Définition Kcal
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quantité d’énergie requise pour élever d’un degré celsius un kilo d’eau
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Autres constituants NP
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Eau :1 ml / kcal
Electrolytes Vitamines: selon les ANREF vitamine K (selon INR) en injection séparée Eléments de trace Zinc Sélénium Cuivre Chrome Manganèse |
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Complications NP
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(a) Techniques et septiques
(b) Gastro-intestinales (c) Métaboliques Emphase: (a) complications reliées au cathéter (b) complications hépatiques (c) complications reliées aux macro nutriments |
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Complications techniques NP
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Pneumothorax, hémothorax, chylothorax
Hématome local Embolisme gazeux Thrombose Phlébite Sepsis (+ fq) Occlusion |
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Complications gastro-intestinales
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Stéatose (fatty liver)
Choléstase Atrophie gastro-intestinale |
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Que faire face à une dysfonction hépatique ?
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1. Autres causes possibles
2. Recalculer les calories totales: 3. NP intermittente (oxydation de lipides vsCHO)... Permet une période de jeûne 4. Stimulation entérale |
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Complications métaboliques
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Balance hydrique
Na, K, Mg, Ca, P: hyper ou hypo Glucose: hyper / hypo glycémie Hypertriglycéridémie Hyper alimenter: excès de calories |
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Qu'est-ce que le syndrome de réalimentation ?
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Complication métabolique associée à
l’administration agressive de nutriments en présence de malnutrition Augmentation mortalité et morbidité |
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Caractéristiques syndrome de réalimentation
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Déficit P, Mg, K extracellulaire et/ou
intracellulaire chez patient dénutri. Réalimentation agressive: ↑insuline ↑aldostérone ↑ADH Rétention H2O et Na Production CO2 : excès dextrose P MG K ----> dans la cellule = diminution rapide taux sériques |
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Personnes à risque syndrome de réalimentation
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Stress métabolique chez patient dénutri
Jeûne x 7-10 jours Obésité classe II et III |
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Symptômes syndrome de réalimentation
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Fatigue généralisée
Vertige Faiblesse musculaire Oedème Arythmies cardiaques Hémolyse |
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Comment prévenir le syndrome de réalimentation ?
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Correction de troubles électrolytiques K, P Mg si
tel est le cas avant même de débuter Besoins énergétiques 50-60 % au jour# 1 Besoins protéiques 100 % dès le jour # Suivi serré : des électrolytes K, P Mg des glycémies de la balance hydrique du poids Aussi sur autre diapo : Formule mixte 50 % des besoins Suivi serré de K, Mg, P Dextrose < 200 grammes / jour Suivi du poids et de la balance hydrique Lorsque ces paramètres se stabilisent, augmenter les apports afin de rencontrer les besoins du patient |
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Vrai ou faux
Afin de prévenir le syndrome de réalimentation il faut surtout surveiller la natrémie |
FAUX
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Suivi NP
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Réévaluer le besoin en nutrition
parentérale à chaque jour Albumine Transthyrétine (préalbumine) CRP (protéine C réactive) Na- K- Cl-CO2-Mg-P-Ca Créatinine- Urée- Glucose Cholestérol - Triglycérides ALT, AST, bilirubine, Phosphatase alcaline, GGT INR- FSC Autre diapo : Na- K- Cl-CO2-Mg-P-Ca Créatinine- Urée – Glucose – Albumine – Transthyrétine – CRP (protéine C réactive) |
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Tests de laboratoire
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1 x semaine: détaillé
1 x semaine: plus concis Initiation NP: qd x 3 j ou plus Stable: 1 fois/sem À la recherche de complications |
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V ou F : la préalbumine est un précurseur de l'albumine
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FAUX !
Autre nom : TTR : transthyrétine |
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Comment cesser NP
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Pas besoin de sevrage
NP à cesser : le patient couvre et tolère 75% de ses besoins par d’autres voies d’alimentation, 3 jours de suite |
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V ou F : Le bilan calorique permet d'objectiver les
apports du patient afin de modifier la NP en conséquence |
VRAI
|
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Vrai ou Faux : La Nutrition Parentérale diminue l'appétit
et empêche le patient de reprendre une alimentation PO |
FAUX
|
|
Évaluation besoins nutritionnels par le poids - sortes de poids
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Le poids santé: selon l’indice de masse corporelle
(IMC= poids en Kg / taille en m2) Le poids idéal: terme désuet qui fait référence aux tables de la Metropolitain Life Le poids réel/actuel tel que mesuré au moment de l’évaluation du patient Le poids ajusté: poids santé + 25 % de l’excès de poids (IMC ≥ 30) Le poids de référence: celui pris pour le calcul des besoins Si poids normal ou si IMC < 18: poids actuel sans oeoedème pas de poids ajusté vers la hausse Si IMC > 30: Poids ajusté Besoins nutritionnels SI: 25-30 kcal/kg 1,5 - 2 g P /kg + les pertes Etages: 30-35 kcal/kg (la plupart : 33) 1,5 - 2 g P /kg + les pertes Si IMC < 18: viser 37 kcal/kg SI IMC > 30: utiliser le poids ajusté Voir diapo 162 et + |
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Vrai ou faux : Les besoins sont évalués autour de 50 Kcal/Kg en NP
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FAUX
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11 éléments principaux :
"élément" = ? Lesquels ? |
g/kg
>100mg/j o C o O o N o 7 minéraux principaux : Ca, P, Mg, électrolytes (Na, K, Cl) et S. |
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12 oligoéléments :
"oligoélément" = ? Lesquels ? |
mg/kg
<100mg/j o Fer o Cuivre o Zinc Tous trois si carence ou excès, cliniquement significatifs, car modulent activités enzymatique et hormonale grand nombre fonctions physiologiques o Cobalt o Chromium o Sélénium o Manganèse o Nickel o Iode |
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Vitamines hydrosolubles ?
Réserve ? |
B C
PAS DE MISE EN RÉSERVE IMP. |
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Vitamines liposolubles
Réserve ? |
A D E K
FOIE |
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Étapes développement déficience vitaminique
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1. Déplétion niveaux plasmatiques
2. Déplétion niveaux tissulaires 3. Lésions métaboliques 4. Déficience occulte 5. Manifestations cliniques (plus ou moins spécifiques, très complexes si malnutrition sévère) |
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Déficience - Acide folique
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Anémie mégaloblastique
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Déficience - Acide pantothénique
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RARE
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Déficience - Niacine
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Pellagre
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Déficience - Riboflavine
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Glossite, stomatite
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Déficience - Thiamine
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Béribéri, encéphalopathie de Wernicke, psychose de Korsakoff
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Déficience - Vitamine A
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Xérophtalmie
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Déficience - Vitamine B12
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Anémie pernicieuse
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Déficience - Vitamine b6
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Anémie
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Déficience - vitamine C
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Scorbut
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Déficience - vitamine D
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Rachitisme, ostéomalacie
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Déficience - vitamine E
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Anémie hémolytique du nouveau-né
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Déficience - vitamine K
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Maladie hémorragique du nouveau-né
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