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25 Cards in this Set

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acceleré
Effet spécial obtenu en projetant à vitesse normale des images* prises à vitesse inférieure.
angle de prise de vue
Détermine le champ* visuel enregistré par la caméra*. Varie en fonction de la place de la caméra* par rapport à l'objet filmé et de l'objectif (ouverture et distance focale) utilisé.
cache
Feuille opaque de forme variable interposée entre l'objectif et la pellicule* et réduisant ainsi le champ* visuel.
cadrage
Action de cadrer un plan* ; limites dans lesquelles se trouve le champ* de la caméra* lorsque líemplacement de cette dernière et le choix de líobjectif ont été décidés. Il síagit díun des éléments essentiels de la mise en scène* ( choix de l'angle de prise de vue*, de l'échelle des plans*, de l'organisation des objets et des personnages dans le champ*), de l'évolution éventuelle de ces éléments au cours de la prise* (mouvements d'appareil, mouvements des acteurs, etc...).
cadre
Limite de líimage qui se lit en deux dimensions (hauteur/ largeur).
Camera subjective
Portion d'espace cadré du point de vue du personnage qui est supposé regarder l'espace.
Carton
Texte imprimé apparaissant à l'écran. Les cartons sont souvent utilisés dans les génériques*, ils étaient de règle entre deux "images"* du temps du cinéma muet.
Champ
Espace que líobjectif délimite lors de la prise de vues*. Il dépend essentiellement de líobjectif choisi. On appelle hors-champ tout ce qui se déroule en dehors du cadre* et qui peut avoir cependant de líimportance pour le déroulement de líaction ou en prolongeant le champ dans l'imaginaire du spectateur. Le hors-champ níest pas forcément contenu à líextérieur du cadre* : ainsi un personnage peut sortir du champ sans franchir le cadre* en sortant díune pièce par exemple.
Champ-contrechamp
Technique employee surtout pour filmer les dialogues; dans une sequence ou dialoguent deux personnages A et B, champs et contrechamps alternent. Les plans qui cadrent A sont les champs, ceux qui cadrent B, les contrechamps
Decoupage
Cíest une opération qui consiste à diviser chaque scène* ou séquence* en autant de plans* que le metteur en scène* le désire. Il síagit díun travail à la fois technique et artistique. Un découpage technique prend une forme précise : sur la partie gauche se trouvent les images*, sur la droite les sons. On indique le numéro des plans*, leur grosseur, les mouvements de caméra*, les dialogues*, la musique et les bruits. Toutes les indications techniques sont soulignées.
Distribution
Cíest une activité qui contient deux aspects :
La disposition des droits díexploitation díun film
La cession des droits de représentation du film aux exploitants*.
Deoublage
Technique consistant à réécrire les dialogues* d'un film étranger et à les faire réinterpréter ( très souvent en postsynchronisation*) par des acteurs spécialistes. On distingue alors la version originale (V.O.) de la version doublée (V.F. par exemple par une version française). La réécriture des dialogues* dépasse très souvent la simple traduction.
Flash
Plan* très bref que l'on introduit afin d'obtenir un effet brutal, rapide et expressif
Flash-back
Retour en arriere
Flash-forward
Bond temporel en avant
Fondu au noir
Apparition ou disparition totale de l'image*. Pour le fondu-enchainé, une image se substitue progressivement à une autre par surimpression*. Pour le fondu au noir, l'image s'obscurcit progressivement jusqu'au noir, puis l'image suivante apparaît.
Fondu enchaine
Ponctuation visuelle ou l'image disparait progressivement tandis qu'apparait en surimpression l'image suivante (marque generalement un ecoulement du temps)
Generique
Cíest la présentation sous forme de liste, de tous les techniciens et acteurs qui ont collaboré à la réalisation díun film. Il se situe en général au début díun film mais peut être complété par un générique de fin. Parfois, une séquence* (prégénérique) précède le générique. Les postgénériques sont plus rares, les spectateurs ayant tendance à partir dès le début du générique de fin.
Insert
Très gros plan d'un objet ou d'une partie du corps (le regard par exemple). Un insert n'est jamais gratuit, il a une forte signification, est chargé d'émotion.
Iris
quand la disparition de l'image a la fin d'une sequence se presente comme un cercle noir qui envahit l'ecran jusqu'a ce qu'il ne reste qu'un point lumineux, qui disparait a son tour. L''ouverture en iris est le procede contraire, pour introduire une nouvelle sequence.
Hors-champ
Espace contigu au champ filmé, non visible à l'ecran mais qui existe dans l'imagination du spectateur. Un personnage/object qui se trouve dans cet espace est "hors champ"
Intertitre
Utilisé surtout dans le cinéma muet. Plan* contenant du texte- dialogue, commentaire plus ou moins ornementé et calligraphié, intercalé au montage* entre deux plans*.
Maquette
Decor ou element de decor construit en reduction, et qui donne l'illusion du decor reel.
Montage
Cíest líopération qui consiste à organiser et à assembler les plans* tournés afin de donner un sens et un rythme au film. Cette tâche revêt donc un aspect technique et esthétique.
Dans son aspect esthétique, on distingue :
Le montage chronologique : suit la chronologie de l'histoire*. ( par exemple dans les films d'action, les films policiers, Ö)
Le montage en parallèle* : permet de montrer différents lieux en même temps lorsque l'intérêt porte sur deux personnages ou deux sujets différents (par exemple dans les westerns)
Le montage alterné : suite de plans* dont l'alternance exprime l'idée de simultanéité.
Le montage par adjonction d'images* : avec le but de créer des associations d'idées permettant de traduire tel ou tel sentiment.
Le montage par leitmotiv : des séquences* s'organisent autour d'un thème qui revient chaque fois, lancinant, et annonce des images* qui vont suivreÖ
Dans son aspect technique (liaisons entre plans*), on distingue :
Le montage "cut" (liaison la plus simple)
Le montage par fondus* (fondu enchaîné*, fondu au noir*, Ö)
Enfin, une multitude d'astuces techniques pour passer d'un plan* à un autre : volets*, rideaux, iris*
Plan
PLAN (le ) Cíest líunité de base de la syntaxe cinématographique (líéquivalent du mot). Plusieurs plans composent une scène* ou une séquence*. Un plan séquence (en anglais one scene one shot) est une séquence* réduite à un seul plan (sa durée dépasse souvent la minute). Cíest le découpage* qui définit les plans, la prise de vues* qui les enregistre, le montage* qui leur donne un sens définitif. Un plan est toujours caractérisé par le fait que la caméra* tourne sans síarrêter pendant sa durée et quíil est défini par sa grosseur. Il existe donc plusieurs valeurs de plans :
le plan général (PG) : Il montre la totalité du décor et situe líaction*. Il est très fréquemment utilisé dans les premières minutes d'un film pour permettre au spectateur de s'installer dans l'histoire*.
le plan díensemble (PE) : Il situe líaction* et montre tous les protagonistes. Il doit durer suffisamment longtemps pour donner au spectateur assez de repères pour assimiler les informations.
le plan demi-ensemble (P1/2 E) : En intérieur, il rapproche la caméra* des acteurs. On a souvent recours à cette valeur de plan pour montrer le champ* et le contrechamp d'un même espace et diviser en deux le nombre d'informations livrées au spectateur.
le plan moyen (PM) : Il montre un ou plusieurs personnages en totalité, cadrés* "en pied". Il a pour inconvénient de libérer un grand espace réservé au décor, espace qu'il va falloir habiller pour enrichir l'image. Cette valeur de plan permet d'appréhender le personnage sur son aspect physique et son allure. La durée du plan moyen est proportionnelle aux informations qui apparaissent dans l'espace décor ou qui sont livrées au spectateur par le jeu du personnage.
le plan américain (PA) : Il cadre* les personnages à mi-cuisses (très souvent utilisé dans les westerns* pour couper volontairement le cadre* en dessous des colts, parties intégrantes de la personnalité du héros). Il offre l'avantage, par rapport au plan moyen, de montrer le jeu corporel du personnage sans devoir combler l'espace décor qui se trouve réduit. La durée de cette valeur de plan est liée au dialogue* et à l'action*.
le plan rapproché taille (PRT) : Très souvent utilisé en vidéo et en télévision, il s'attache particulièrement à ce que dit et fait un personnage sans attirer exagérément l'attention sur un détail de son jeu (contrairement au gros plan). La durée de cette valeur de plan est liée au dialogue* et à l'action*.
le plan rapproché poitrine (PRP) : Il a les mêmes fonctions que le plan rapproché taille, en accentuant un peu plus les traits du visage du personnage. C'est, par excellence, le plan du journaliste derrière son bureau. La durée - souvent importante - de cette valeur de plan est liée au dialogue*.
le gros plan (GP) : Il montre de près des visages et sert donc à les mettre en valeur (ou parfois à leur nuire). Il s'attache à capter une expression, un sentiment particulier, un regard explicite. L'information est donc très lisible, la durée de cette valeur de plan sera donc souvent moins importante que pour les plans précédents.
le très gros plan (TGP) : Il montre le plus souvent un détail des traits du personnage (le regard par exemple) ou d'un objet particulier. Il doit être de très courte durée et conçu comme un insert*.
le plan large (PL) : Il traduit la même idée qu'un plan d'ensemble mais s'applique à un champ* sans personnage. C'est un peu le plan fourre-tout, celui qui exprime une certaine idée d'espace propice à la multiplicité d'informations.
le plan serré (PS) : C'est l'équivalent du gros plan pour un objet. Il est le plus souvent utilisé pour isoler un détail du décor.