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Droit européen : Une directive communautaire est directement applicable dans toutes ses parties
dans tous les Etats membres
faux
Droit européen : Une directive communautaire est signée par la Commission
faux
Droit européen : Une décision communautaire est un texte de « droit dérivé » (ou d’exécution)
vrai
Droit européen : Un règlement européen lie les Etats membres quant au résultat à atteindre sans
être immédiatement applicable
faux
Droit européen : Le Parlement européen assure le contrôle de la Commission
vrai
Droit français : une loi est un texte issu du pouvoir exécutif
faux
Droit français : une loi est votée par le Parlement
vrai
Droit français : une loi est promulguée par le Premier ministre
faux
Droit français : un décret est adopté en Conseil des ministres
vrai
Droit français : un arrêté ministériel dans le domaine de la santé animale est soumis à l’avis du
l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA)
vrai
Organisation sanitaire : Le préfet est élu par le Conseil régional
faux
Organisation sanitaire : Le préfet dirige les services de l’Etat dans le département
vrai
Organisation sanitaire : La direction départementale des services vétérinaires est l’un des services
déconcentrés du Ministère de l’agriculture et de la pêche (MAP)
vrai
Organisation sanitaire : Le directeur départemental des services vétérinaires n’a de compte à rendre dans
l’exercice de ses missions qu’à la Direction générale de l’alimentation du MAP
faux
Organisation sanitaire : Le directeur départemental des services vétérinaires est toujours un vétérinaire
faux
Mandat sanitaire (MS) : la demande d’attribution du MS doit se faire auprès du ministre chargé de l’agriculture
faux
Mandat sanitaire (MS) : la demande d’attribution du MS doit se faire auprès du président du GTV
faux
Mandat sanitaire (MS) : la demande d’attribution du MS doit se faire auprès du préfet
vrai
Mandat sanitaire (MS) : la demande d’attribution du MS doit se faire auprès du maire
faux
Mandat sanitaire (MS) : la demande d’attribution du MS doit se faire auprès du président du Conseil général de l’Ordre des vétérinaires
faux
Le renouvellement du MS est subordonné au suivi d’une formation continue
vrai
Le MS est délivré par le président du Conseil régional de l’Ordre des vétérinaires
faux
Il n’est pas obligatoire, pour un vétérinaire, d’avoir le MS pour travailler dans un
cabinet vétérinaire
vrai
Les vétérinaires qui travaillent dans les DDSV ont tous le MS
faux
Obtenir le MS revient, pour le Vétérinaire, à être recruté comme salarié
contractuel des services vétérinaires
faux
Mandat sanitaire (MS) : dans le cadre de ses activités liées au MS, le VS
reçoit directement ses instructions…Du maire x
faux
Mandat sanitaire (MS) : dans le cadre de ses activités liées au MS, le VS
reçoit directement ses instructions…Du préfet x
faux
Mandat sanitaire (MS) : dans le cadre de ses activités liées au MS, le VS
reçoit directement ses instructions…Du DDSV x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : dans le cadre de ses activités liées au MS, le VS
reçoit directement ses instructions…Du président du Conseil général de l’Ordre des vétérinaires x
faux
Mandat sanitaire (MS) : dans le cadre de ses activités liées au MS, le VS
reçoit directement ses instructions…Du président du groupement de défense sanitaire x
faux
Mandat sanitaire (MS) : le VS est habilité à…Exécuter les opérations de prophylaxie collective dirigées par l’Etat x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : le VS est habilité à…Exercer la saisies de denrées alimentaires x
faux
Mandat sanitaire (MS) : le VS est habilité à…Exécuter des opérations de police sanitaire x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : le VS est habilité à…Identifier les bovins d’un éleveur si ce dernier est défaillant x
faux
Mandat sanitaire (MS) : le VS est habilité à…Dresser procès verbal dans le cas où l’éleveur n’exécute pas ses directives x
faux
Mandat sanitaire (MS) : Selon la défaillance constatée, la responsabilité
du VS peut être recherchée devant …Chambre disciplinaire de l’Ordre x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : Selon la défaillance constatée, la responsabilité
du VS peut être recherchée devant …Commission sanitaire disciplinaire départementale x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : Selon la défaillance constatée, la responsabilité
du VS peut être recherchée devant …Juridiction administrative x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : Selon la défaillance constatée, la responsabilité
du VS peut être recherchée devant …Juridiction pénale x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : Selon la défaillance constatée, la responsabilité
du VS peut être recherchée devant …Juridiction civile x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : Le vétérinaire sanitaire coordinateur a pour
mission de coordonner l’action des VS du département dans la lutte contre les MRC x
faux
Mandat sanitaire (MS) : Le vétérinaire sanitaire coordinateur a pour
mission d’épauler le VS en cas de suspicion d’ESB
vrai
Mandat sanitaire (MS) : Le vétérinaire sanitaire coordinateur a pour
mission de réaliser les prélèvements d’aphtes en cas de suspicion de fièvre aphteuse
faux
Mandat sanitaire (MS) : Le vétérinaire sanitaire coordinateur a pour
mission d’aider le DDSV à organiser les prophylaxies collectives bovines
faux
Mandat sanitaire (MS) : Le vétérinaire sanitaire coordinateur a pour
mission de coordonner la formation permanente des VS du département
faux
Mandat sanitaire (MS) : les actes de clientèle canine suivants impliquent
d’avoir le mandat sanitaire: Vaccination anti-rabique
vrai
Mandat sanitaire (MS) : les actes de clientèle canine suivants impliquent
d’avoir le mandat sanitaire: Délivrance d’un passeport x
vrai
Mandat sanitaire (MS) : les actes de clientèle canine suivants impliquent
d’avoir le mandat sanitaire: Identification électronique d’un carnivore domestique
faux
Mandat sanitaire (MS) : les actes de clientèle canine suivants impliquent
d’avoir le mandat sanitaire: Surveillance d’un chien mordeur
vrai
Mandat sanitaire (MS) : les actes de clientèle canine suivants impliquent
d’avoir le mandat sanitaire: Surveillance des chiens et chats placés en fourrière
vrai
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse est obligatoire dès lors qu’on n’a pas pu faire le diagnostic d’une autre maladie
vrai
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse ne peut être faite que par un vétérinaire
faux
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse doit passer par l’intermédiaire des GTV
faux
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse doit être transmise par le VS à la DGAl
faux
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse doit être faite en tout premier lieu au DDSV
vrai
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse est déconseillée au Vétérinaire avant confirmation du diagnostic par un
laboratoire agréé
faux
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse entraîne généralement la prise d’un arrêté portant déclaration d’infection par le
Préfet
faux
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse entraîne généralement la prise d’un arrêté de mise sous surveillance par le Préfet
vrai
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse entraîne le blocage de l’exploitation
vrai
Police sanitaire : la déclaration d’une suspicion de maladie réputée
contagieuse entraîne des mesures de contraintes vis-à-vis des seuls animaux suspects, les
autres étant libres
faux
Les prophylaxies collectives sont toujours à l’initiative de l’Etat
faux
Les prophylaxies collectives sont toujours organisées par l’Etat
faux
Des prophylaxies collectives sont obligatoirement mises en place lorsqu’une
zoonose affecte 70 % des cheptels
faux
Une prophylaxie collective est systématiquement organisée pour chaque MRC
faux
Des prophylaxies collectives peuvent être encouragées par l’Etat
vrai
Prophylaxies : l’organisation dans le département des prophylaxies
collectives dirigées par l’Etat implique la participation…De la DDSV
vrai
Prophylaxies : l’organisation dans le département des prophylaxies
collectives dirigées par l’Etat implique la participation…Du laboratoire départemental vétérinaire
vrai
Prophylaxies : l’organisation dans le département des prophylaxies
collectives dirigées par l’Etat implique la participation…Du conseil régional de l’Ordre des vétérinaires
faux
Prophylaxies : l’organisation dans le département des prophylaxies
collectives dirigées par l’Etat implique la participation…Du groupement de défense sanitaire
vrai
Prophylaxies : l’organisation dans le département des prophylaxies
collectives dirigées par l’Etat implique la participation…Des VS
vrai
Identification des carnivores domestiques : Les chiens doivent être obligatoirement identifiés, au plus tard, à l’âge de 4 mois x
vrai
Identification des carnivores domestiques :Les chats doivent être identifiés, au plus tard, à l’âge de 4 mois
faux?
Identification des carnivores domestiques :Les chats doivent être identifiés avant toute cession à titre onéreux ou gratuit
vrai
Identification des carnivores domestiques :Le Royaume-Uni reconnaît l’identification des chats par tatouage
faux
Identification des carnivores domestiques :La Société centrale canine gère le fichier national d’identification de tous les
carnivores domestiques
faux
Identification des équidés : Il faut être vétérinaire sanitaire pour identifier les équidés
faux
Identification des équidés : L’établissement public, « Les Haras Nationaux » gère le fichier d’identification des
équidés et délivre les documents officiels d’identification
vrai
Identification des équidés : L’identification des équidés se réalise par signalement ou identification
électronique
faux
Identification des équidés : Il faut être vétérinaire pour identifier les équidés
faux
Identification des équidés : Un identificateur agréé peut identifier un équidé dont il est propriétaire
faux
Identification des bovins : L’identification des bovins est sous la responsabilité du vétérinaire sanitaire
faux
Identification des bovins : L’identification pérenne d’un bovin est obligatoire avant sa sortie de l’exploitation
de naissance ou au plus tard dans un délai de vingt jours après la naissance
vrai
Identification des bovins : La chambre d’agriculture est le maître d’oeuvre de l’identification des bovins à
l’échelon départemental
faux
Identification des bovins : un bovin ayant perdu une ou deux boucles auriculaires ne peut être vendu pour
l’élevage
vrai
Identification des bovins : Un bovin peut circuler librement en France s’il est correctement identifié et
accompagné d’un passeport individuel
faux
L’attestation sanitaire à délivrance anticipée (ASDA) : Indique que le bovin provient d’un cheptel officiellement indemne de brucellose,
tuberculose et leucose enzootique
vrai
L’attestation sanitaire à délivrance anticipée (ASDA) : Doit être collée sur le passeport pour tout déplacement d’un bovin en dehors de
sa commune
vrai
L’attestation sanitaire à délivrance anticipée (ASDA) : Est renouvelée chaque année par les services vétérinaires en fonction des
résultats de la prophylaxie collective
faux
L’attestation sanitaire à délivrance anticipée (ASDA) : Est délivrée à l’éleveur par son VS à l’issue de la première campagne de
prophylaxie
faux
L’attestation sanitaire à délivrance anticipée (ASDA) : Peut avoir une couleur jaune lorsqu’elle concerne des cheptels de bovins
d’engraissement soumis à dérogations pour la réalisation des prophylaxies
vrai
La visite sanitaire bovine: Est obligatoire pour tous les éleveurs de bovins
vrai
La visite sanitaire bovine: Est biennale
vrai
La visite sanitaire bovine: Est nécessaire pour que l’éleveur puisse demander que son cheptel soit
reconnu officiellement indemne
faux
La visite sanitaire bovine: Est réalisée par le vétérinaire dans le cadre du décret prescription
délivrance
faux
La visite sanitaire bovine: Vise à vérifier que le cheptel n’est pas atteint de MRC
faux
En France, la rage est maladie réputée contagieuse uniquement chez les
carnivores et les bovins
faux
La période d’incubation de la rage est généralement inférieure à 15 jours
faux
La phase symptomatique de la maladie dure généralement 15 à 30 jours
faux
Un chien peut transmettre le virus de la rage jusqu’à 1 mois avant l’apparition des
symptômes
faux
La France est officiellement considérée comme « indemne de rage terrestre »
faux
Rage : Un bovin « contaminé » est, dans le cadre de la réglementation de la rage: Un bovin exprimant des symptômes pouvant évoquer la rage
faux
Rage : Un bovin « contaminé » est, dans le cadre de la réglementation de la rage: Un bovin ayant été en contact avec un animal suspect de rage
faux
Rage : Un bovin « contaminé » est, dans le cadre de la réglementation de la rage: Un bovin ayant été en contact avec un animal reconnu enragé
faux
Rage : Un bovin « contaminé » est, dans le cadre de la réglementation de la rage: Un bovin ayant été mordu par un animal reconnu enragé
vrai
Rage : Un bovin « contaminé » est, dans le cadre de la réglementation de la rage: Un bovin chez lequel le virus rabique a été mis expérimentalement en évidence
faux
Les prophylaxies ne concernent que les MRC
faux
L’Etat peut apporter son aide à des programmes de prophylaxie dont il n’a pas
l’initiative
vrai
Tout plan de prophylaxie est réglementé
faux
Une prophylaxie collective peut être rendue obligatoire dans le département par
arrêté préfectoral
vrai
Lorsqu’une prophylaxie est obligatoire et dans le cas où l’éleveur refuse
d’appliquer les mesures, le DDSV peut les faire appliquer en utilisant la force
publique
faux
Un animal suspect de rage est un animal sensible à la rage qui présente des
symptômes évoquant la rage et non susceptibles d’être rattachés de façon
certaine à une autre maladie
vrai
Un animal mordeur ou griffeur qui a mordu, une personne ou un animal, sans
raison apparente et contrairement à son comportement habituel, est suspect de
rage
vrai
Le VS ne doit déclarer la suspicion au DDSV que si cette suspicion concerne un
carnivore domestique.
faux
Les modalités de la mise sous surveillance sont fixées dans un arrêté préfectoral
vrai
L’objectif de la mise sous surveillance d’un animal suspect est de déterminer si
les symptômes observés sont dus à la rage ou à une autre étiologie
vrai
La surveillance sanitaire des animaux mordeurs ou griffeurs n’est obligatoire que
pour les carnivores
faux
Les animaux vaccinés contre la rage, conformément aux dispositions
réglementaires, ne sont pas soumis à la surveillance sanitaire en cas de morsure
ou de griffade
faux
La durée de la surveillance sanitaire des animaux mordeurs ou griffeurs est de 15
jours quelle que soit la catégorie de l’animal (domestique ou sauvage)
faux
Le délai de la surveillance sanitaire part du jour où l’animal est présenté pour la
première fois au vétérinaire
faux
La surveillance sanitaire des animaux mordeurs ou griffeurs est réalisée par un
vétérinaire sanitaire
vrai
Il est prudent, lors de la première visite de vacciner contre la rage un animal
mordeur ou griffeur qui ne l’était pas antérieurement
faux
A l’issue de la période de surveillance, en absence de symptômes, le vétérinaire
sanitaire certifie que l’animal est indemne de rage
faux
L’original des certificats de surveillance doit être envoyé au DDSV à l’issue de
chaque visite obligatoire
vrai
Le propriétaire peut choisir de faire euthanasier son animal durant la période de
surveillance sanitaire
faux
Dans l’intervalle entre deux visites, l’animal étant conservé chez son propriétaire,
ce dernier en garde la responsabilité
vrai
Rage : Un chien mordeur est réglementairement mis sous surveillance
pendant une période de 15 jours. Cette période correspond à: La durée de l’évolution clinique de la rage chez le chien
faux
Rage : Un chien mordeur est réglementairement mis sous surveillance
pendant une période de 15 jours. Cette période correspond à: La durée de l’incubation de la rage
faux
Rage : Un chien mordeur est réglementairement mis sous surveillance
pendant une période de 15 jours. Cette période correspond à: La durée maximale d’une éventuelle excrétion pré-symptomatique du virus
rabique dans sa salive
vrai
Rage : Un chien mordeur est réglementairement mis sous surveillance
pendant une période de 15 jours. Cette période correspond à: La durée d’acquisition de l’immunité anti-rabique chez la personne mordue
faux
Rage : Un chien mordeur est réglementairement mis sous surveillance
pendant une période de 15 jours. Cette période correspond à: La durée nécessaire au diagnostic expérimental de la rage chez l’animal
faux
Il est interdit de vacciner un animal mordeur ou griffeur durant la période de
surveillance légale par un vétérinaire sanitaire
vrai
La vaccination antirabique des carnivores domestiques peut être attestée en
France par apposition d’une vignette ad’hoc remplie par le VS sur le passeport
européen
vrai
Le certificat de primovaccination antirabique des animaux domestiques ne devient
réglementairement valide que 30 jours après l’injection
faux
La Vaccination antirabique est obligatoire pour les carnivores domestiques
accompagnant leur maître en Corse
faux
La Vaccination antirabique est obligatoire pour les carnivores domestiques
accompagnant leur maître dans un camping
faux
La vaccination antirabique est obligatoire pour tout carnivore domestique circulant
dans l’UE
vrai
La présentation du certificat CERFA de vaccination antirabique est encore
suffisante pour que le chien puisse accompagner son propriétaire en Belgique
faux
Le protocole de vaccination antirabique réglementairement appliqué en France
est identique à celui en vigueur dans les autres pays de l’UE
faux
Le délai entre la vaccination d’un carnivore domestique et son introduction en
Grande Bretagne doit être de 6 mois au minimum
faux
La Vaccination antirabique d’un carnivore domestique n’est pas obligatoire pour
entrer dans l‘UE si l’animal provient d’un pays dans lequel la rage est maîtrisée
faux
Un titre des anticorps neutralisants supérieur ou égal à 0,5 UI/mL permet
d’affirmer qu’un chien vacciné est indemne de rage
faux
Le contrôle sérologique réalisé sur un carnivore domestique un mois après sa
vaccination contre la rage permet d’attester de la réalité de cette vaccination
vrai
Un chien originaire du Maroc, identifié et primo-vacciné contre la rage en ayant
subi 1 mois plus tard un contrôle sérologique indiquant un titre des anticorps
neutralisants supérieur ou égal à 0,5 UI/mL peut être sans délai introduit en
France
faux
Un chien identifié par puce électronique et primo-vacciné contre la rage peut
accompagner son maître en Grande-Bretagne 3 mois après cette vaccination à
condition d’avoir subi un contrôle sérologique indiquant un titre des anticorps
neutralisants supérieur ou égal à 0,5 UI/mL et d’être accompagné du passeport
pour animal de compagnie
faux
La Vaccination antirabique n’est pas obligatoire pour un chien né en Grande-
Bretagne et devant accompagner son propriétaire en France dans la mesure où il
est identifié et accompagné d’un passeport pour animal de compagnie
faux
Le botulisme des bovins : Est une maladie figurant dans la nomenclature des dangers sanitaires de 2eme categorie
vrai
Le botulisme des bovins : Est provoqué majoritairement en France par les types A et B
faux
Le botulisme des bovins : Provoque une paralysie flasque
vrai
Le botulisme des bovins : Survient fréquemment après épandage de lisier de porc sur les pâturages
faux
Le botulisme des bovins : Justifie, en cas de diagnostic confirmé, l’abattage total des bovins du troupeau
faux
La fièvre charbonneuse : Affecte exclusivement les ruminants
faux
La fièvre charbonneuse : Est une maladie figurant dans la nomenclature des dangers sanitaires de 2eme categorie
faux
La fièvre charbonneuse : Provoque généralement une septicémie hémorragique rapidement mortelle
vrai
La fièvre charbonneuse : Est aussi appelée « charbon symptomatique »
faux
La fièvre charbonneuse : Justifie, en cas de diagnostic confirmé, l’abattage total des bovins du troupeau
faux
La leucose bovine enzootique : Est danger sanitaire de 1ere categorie uniquement lorsqu’elle s’exprime sous sa forme tumorale
faux
La leucose bovine enzootique : Est vice rédhibitoire dans l’espèce bovine
vrai
La leucose bovine enzootique : Fait l’objet d’une prophylaxie collective obligatoire
vrai
La leucose bovine enzootique : Fait l’objet d’un dépistage sérologique annuel sur tous les bovins âgés de 12 mois
et plus
faux
La leucose bovine enzootique : Justifie, en cas de diagnostic confirmé, l’abattage total des bovins du troupeau x
faux
La fièvre catarrhale ovine : Est danger sanitaire de 1ere categorie exclusivement chez les bovins, les ovins et les caprins
faux
La fièvre catarrhale ovine : Peut affecter d’autres ruminants, tel le bison…
vrai
La fièvre catarrhale ovine : Peut affecter le cheval
faux
La fièvre catarrhale ovine : Est une zoonose mineure
faux
La fièvre catarrhale ovine : Est présente en France continentale et en Corse
vrai
La fièvre catarrhale ovine : Est une arbovirose
vrai
La fièvre catarrhale ovine : Est transmise par des moustiques du genre Culex
faux
La fièvre catarrhale ovine : Peut se transmettre par voie vénérienne
vrai
La fièvre catarrhale ovine : Peut se transmettre par voie respiratoire
faux
La fièvre catarrhale ovine : N’est pas contagieuse
vrai
La fièvre catarrhale ovine : elle peut induire chez les bovins Une inflammation du mufle, avec éventuellement l’apparition d’ulcères
vrai
La fièvre catarrhale ovine : elle peut induire chez les bovins Des lésions cutanées évoquant une photosensibilisation
vrai
La fièvre catarrhale ovine : elle peut induire chez les bovins Des vésicules sur les trayons
faux
La fièvre catarrhale ovine : elle peut induire chez les bovins Des oedèmes des membres éventuellement associés à une boiterie
vrai
La fièvre catarrhale ovine : elle peut induire chez les bovins Des avortements
vrai
La fièvre catarrhale ovine, elle peut induire chez les ovins: Des lésions podales congestives ou hémorragiques
vrai
La fièvre catarrhale ovine, elle peut induire chez les ovins: Des lésions de myosite
vrai
La fièvre catarrhale ovine, elle peut induire chez les ovins: Une inflammation des muqueuses buccales
vrai
La fièvre catarrhale ovine, elle peut induire chez les ovins: Des vésiculo-pustules sur les lèvres
faux
La fièvre catarrhale ovine, elle peut induire chez les ovins: Un oedème sous-glossien et une stomatite
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la possibilité pour la fièvre catarrhale de réapparaître après une période hivernale (en zone tempérée): Peut être liée à une activité continue des arthropodes vecteurs en période
hivernale
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la possibilité pour la fièvre catarrhale de réapparaître après une période hivernale (en zone tempérée): Est rendue possible par la transmission verticale chez l’arthropode vecteur
faux
La fièvre catarrhale ovine : la possibilité pour la fièvre catarrhale de réapparaître après une période hivernale (en zone tempérée): Peut être due à la persistance de quelques vecteurs adultes grâce au mécanisme
de diapause hivernale
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la possibilité pour la fièvre catarrhale de réapparaître après une période hivernale (en zone tempérée): Peut être due à la persistance du virus chez quelques animaux (plus de 100 jours
par exemple chez des bovins)
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la possibilité pour la fièvre catarrhale de réapparaître après une période hivernale (en zone tempérée): Peut être liée à la conservation dans les étables du virus sur des supports non
désinfectés
faux
La fièvre catarrhale ovine : la vaccination contre la fièvre catarrhale: N’est efficace que si les antigènes correspondant au sous-type viral isolé sur le
terrain sont inclus dans la préparation vaccinale
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la vaccination contre la fièvre catarrhale: Est possible en France seulement avec un vaccin à virus inactivés bénéficiant
d’une ATU ou d’une AMM
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la vaccination contre la fièvre catarrhale: Peut-être rendue obligatoire en France
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la vaccination contre la fièvre catarrhale: Peut permettre le mouvement d’un animal soumis à un test de dépistage
virologique favorable 14 jours après le début de la période immunitaire tel que
défini dans les spécifications du vaccin et pour autant que les animaux soient
toujours dans la période d’immunité garantie dans ces spécifications
vrai
La fièvre catarrhale ovine : la vaccination contre la fièvre catarrhale: Peut être rendue obligatoire en France chez les caprins
faux
La fièvre catarrhale ovine : le diagnostic expérimental peut-être réalisé chez l’animal vivant en phase fébrile sur un prélèvement de sang
par RT-PCR
vrai
La fièvre catarrhale ovine : le diagnostic expérimental peut-être réalisé chez l’animal vivant par sérologie ELISA en tenant compte du
délai d’apparition des anticorps
vrai
La fièvre catarrhale ovine : le diagnostic expérimental est réalisable par sérologie même chez un animal vacciné, car il est possible de
différencier les anticorps post-infectieux des anticorps post-vaccinaux
faux
La fièvre catarrhale ovine : le diagnostic expérimental peut être réalisé sur cadavre à partir de la rate
vrai
La fièvre catarrhale ovine : le diagnostic expérimental est nécessaire pour déterminer le sous-type viral en cause
vrai
La fièvre catarrhale ovine : lorsque la fièvre catarrhale est confirmée: Le préfet délimite un périmètre interdit (zone infectée) d’un rayon minimal de 20
km autour de l’exploitation infectée
vrai
La fièvre catarrhale ovine : lorsque la fièvre catarrhale est confirmée: Le préfet délimite une zone de protection et une zone de surveillance, l’ensemble
constituant la zone réglementée
vrai
La fièvre catarrhale ovine : lorsque la fièvre catarrhale est confirmée: Le déplacement d’un ruminant est impossible à l’intérieur de la zone réglementée
faux
La fièvre catarrhale ovine : lorsque la fièvre catarrhale est confirmée: Le déplacement d’un ruminant d’une zone réglementée vers la zone indemne est
possible à condition qu’il voyage dans un véhicule qui a été désinsectisé au
départ et qu’il subisse un contrôle sérologique favorable lors de son entrée dans
l’exploitation de destination
faux
La fièvre catarrhale ovine : lorsque la fièvre catarrhale est confirmée: Le traitement d’un bovin avec un insecticide est suffisant pour pouvoir le déplacer
d’une zone réglementée vers la zone indemne
faux
Encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) : Sont
en France, en tant qu’ESST, considérées comme des dangers sanitaires de categorie 2: La tremblante atypique du mouton et de la chèvre
faux
Encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) : Sont
en France, en tant qu’ESST, considérées comme des dangers sanitaires de categorie 2: La maladie du dépérissement chronique (chronic wasting disease) des cervidés
vrai
Encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) : Sont
en France, en tant qu’ESST, considérées comme des dangers sanitaires de categorie 2: L’ESB lorsqu’elle affecte les caprins
faux
Encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) : Sont
en France, en tant qu’ESST, considérées comme des dangers sanitaires de categorie 2: L’encéphalopathie spongiforme du chat
vrai
Encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) : Sont
en France, en tant qu’ESST, considérées comme des dangers sanitaires de categorie 2: L’ESB lorsqu’elle affecte des fauves de ménagerie
vrai
ESST : la tremblante classique: Est provoquée, comme l’ESB chez les bovins, par une souche unique de prion
faux
ESST : la tremblante classique: Se différencie de l’ESB chez les bovins par la détection du prion dans la rate et
les noeuds lymphatiques
vrai
ESST : la tremblante classique: Est associée dans l’espèce caprine à un polymorphisme génétique du gène
codant pour la PrP
vrai
ESST : la tremblante classique: Entraîne, lorsqu’elle est détectée dans un cheptel ovin, l’abattage de la totalité
des sujets
faux
ESST : la tremblante classique: Justifie, lorsqu’elle est détectée dans un cheptel caprin, l’abattage de la totalité
des sujets, sauf si éventuellement des examens pratiqués sur des biopsies
d’amygdales montrent que les cas sont sporadiques dans le cheptel
vrai
ESST : le diagnostic expérimental de la tremblante classique: Est réalisé par la recherche des anticorps sériques dirigés contre la PrP
faux
ESST : le diagnostic expérimental de la tremblante classique: Est obtenu par la mise en évidence de la PrP dans le tronc cérébral des sujets
morts ou abattus
vrai
ESST : le diagnostic expérimental de la tremblante classique: Est obtenu par la mise en évidence de lésions d’encéphalite focalisées dans le
tronc cérébral des sujets morts ou abattus
faux
ESST : le diagnostic expérimental de la tremblante classique: Est obtenu par génotypage des sujets du troupeau
faux
ESST : le diagnostic expérimental de la tremblante classique: Est obtenu par isolement du prion dans une culture de cellules nerveuses issues
des centres nerveux d’une race ovine sensible.
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: A été diagnostiquée chez caprins
vrai
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: A été diagnostiquée chez des fauves de ménagerie
vrai
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: A été diagnostiquée chez des chats
vrai
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: A été diagnostiquée chez le chien
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: Ne peut être, contrairement à la tremblante, transmise expérimentalement à la
souris
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine est caractérisée cliniquement par le développement progressif de phases
d’excitation espacées de phases de rémission de plus en plus courtes
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine évolue vers la mort après 15 jours à plusieurs mois d’évolution
vrai
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine est considérée, au sein d’un troupeau, comme une maladie contagieuse
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine est associée dans l’espèce bovine à un polymorphisme génétique du gène codant
pour la PrP
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine est définie par la présence de PrPres dans le SNC, la rate et l’ensemble des
noeuds lymphatiques
faux
ESST : en cas de suspicion d’encéphalopathie spongiforme bovine, le VS doit: Immédiatement, par téléphone depuis l’exploitation de l’éleveur, prévenir le DDSV
faux
ESST : en cas de suspicion d’encéphalopathie spongiforme bovine, le VS doit: Contacter le vétérinaire sanitaire coordinateur
vrai
ESST : en cas de suspicion d’encéphalopathie spongiforme bovine, le VS doit: Immédiatement abattre l’animal sur place de manière à permettre, dans les
meilleurs délais, la réalisation au clos d’équarrissage de prélèvements destinés à
confirmer le diagnostic
faux
ESST : en cas de suspicion d’encéphalopathie spongiforme bovine, le VS doit: Faire expédier l’animal dans les plus brefs délais dans un abattoir où il sera
abattu et subira un test de diagnostic rapide
faux
ESST : en cas de suspicion d’encéphalopathie spongiforme bovine, le VS doit: Demander à l’éleveur de conserver et d’isoler l’animal afin de pouvoir suivre
l’évolution de la maladie
vrai
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: Est l’objet d’une épidémiosurveillance passive
vrai
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: Est l’objet d’une épidémiosurveillance active pratiquée au clos d’équarrissage sur
tous les bovins de 24 mois et plus morts ou euthanasiés
vrai
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: Est l’objet d’une épidémiosurveillance active pratiquée à l’abattoir sur tous les
bovins de 12 mois et plus abattus pour la consommation
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: Est l’objet de mesures de police sanitaire uniquement lorsqu’elle affecte les
bovins à viande
faux
ESST : l’encéphalopathie spongiforme bovine: Entraîne chez le veau à l’abattoir la saisie et la destruction du thymus, considéré
comme matériel à risque spécifié.
faux
ESST : dans l’encéphalopathie spongiforme, un bovin dit « N.A.I.F. » Est un animal atteint d’ESB né après l’interdiction de l’utilisation des farines de
viande et d’os (FVO) dans alimentation des bovins
vrai
ESST : dans l’encéphalopathie spongiforme, un bovin dit « N.A.I.F. » Est un animal atteint d’ESB né après l’interdiction d’utiliser des FVO dans
alimentation de tous les animaux destinés à la consommation humaine ou
animale
faux
ESST : dans l’encéphalopathie spongiforme, un bovin dit « N.A.I.F. » Est un animal atteint d’ESB né après la mise en oeuvre des mesures destinées à
sécuriser la fabrication des FVO
faux
ESST : dans l’encéphalopathie spongiforme, un bovin dit « N.A.I.F. » Est un animal atteint d’ESB dont il est prouvé qu’il n’a jamais reçu d’aliments dans
lesquels étaient incorporées des FVO
faux
ESST : dans l’encéphalopathie spongiforme, un bovin dit « N.A.I.F. » Est un animal atteint d’ESB qui aurait pu être nourri avec des aliments
accidentellement contaminés (par exemple au stade de leur fabrication, de leur
transport ou de leur distribution) par des aliments destinés aux porcs ou aux
volailles
vrai
La brucellose ovine est une zoonose grave
vrai
La brucellose ovine est causée par Brucella ovis
faux
La brucellose ovine est encore actuellement régulièrement détectée dans le sud-est de la France
faux
La brucellose ovine est dépistée par l’épreuve de l’anneau (ring-test) pratiquée sur le lait de mélange
des troupeaux ovins laitiers
faux
La brucellose ovine est dépistée par EAT (épreuve à l’antigène tamponné)
vrai
La brucellose ovine est réputée contagieuse exclusivement lorsqu’elle se manifeste par des
avortements
faux
La brucellose ovine fait l’objet d’une prophylaxie collective obligatoire uniquement dans les
départements du sud de la France et en Corse
faux
La brucellose ovine fait l’objet d’une prophylaxie médicale obligatoire pour les ovins de 3 à 6 mois x
faux
La brucellose ovine justifie l’élimination avec destruction à l’équarrissage de tous les sujets reconnus
infectés
faux
La brucellose ovine entraîne, dès sa suspicion, l’interdiction d’utiliser et commercialiser le lait cru
produit dans l’exploitation
vrai
La brucellose bovine est un danger sanitaire de 1ere categorie uniquement lorsqu’elle se traduit par un
avortement ou, chez le mâle, par une atteinte des organes génitaux
faux
La brucellose bovine est un vice rédhibitoire
vrai
La brucellose bovine est dépistée dans les cheptels laitiers par un test ELISA pratiqué sur le lait de
grand mélange
vrai
La brucellose bovine est dépistée dans les cheptels allaitants par tests ELISA ou EAT pratiqué chaque
année sur les sérums de tous les bovins âgés de 12 mois et plus
faux
La brucellose bovine ne fait l’objet d’un dépistage sérologique que dans les cheptels dits « à risque »
faux
La brucellose bovine est encore diagnostiquée en France dans les troupeaux allaitants
faux
La brucellose bovine est une zoonose grave
vrai
La brucellose bovine entraîne, dès sa suspicion, l’interdiction d’utiliser et commercialiser le lait cru
produit dans l’exploitation
vrai
La brucellose bovine justifie, en cas de diagnostic, l’élimination de la totalité du cheptel
vrai
La brucellose bovine justifie la saisie et la destruction des carcasses de tous les animaux
sérologiquement positifs.
faux
Brucellose bovine : est déclaré réglementairement « infecté de brucellose », un bovin dont le sérum donne un résultat positif à l’EAT, confirmé par une FC positive
faux
Brucellose bovine : est déclaré réglementairement « infecté de brucellose », un bovin appartenant à un cheptel reconnu infecté et ayant donné un résultat positif à
l’EAT et la FC
vrai
Brucellose bovine : est déclaré réglementairement « infecté de brucellose », un bovin ayant avorté et ayant donné un résultat positif à l’EAT
faux
Brucellose bovine : est déclaré réglementairement « infecté de brucellose », un bovin chez lequel une brucella autre que B. ovis a été isolée
vrai
Brucellose bovine : est déclaré réglementairement « infecté de brucellose », un bovin ayant donné un résultat positif à un test ELISA pratiqué sur le lait
faux
Brucellose bovine : pour être introduit dans un cheptel officiellement indemne de brucellose, un bovin âgé de 24 mois ou plus n’est soumis à un contrôle sérologique que lorsque la qualification de
l’exploitation de provenance à été retirée par le DDSV
faux
Brucellose bovine : pour être introduit dans un cheptel officiellement indemne de brucellose, un bovin âgé de 24 mois ou plus n’est soumis à aucun contrôle si les exploitations d’origine et de destination sont
toutes deux situées dans le même département officiellement reconnu indemne
de brucellose
faux
Brucellose bovine : pour être introduit dans un cheptel officiellement indemne de brucellose, un bovin âgé de 24 mois ou plus N’est soumis à aucun contrôle si les exploitations d’origine et de destination sont toutes deux situées dans le même département officiellement reconnu indemne de brucellose n’a pas à être soumis à un test sérologique de dépistage de la brucellose lorsque la durée de son transfert entre l’exploitation d’origine (officiellement indemne de
brucellose) et celle de destination n’excède pas 6 jours
vrai
Brucellose bovine : pour être introduit dans un cheptel officiellement indemne de brucellose, un bovin âgé de 24 mois ou plus doit être soumis à un test sérologique de dépistage, même lorsque la durée du
transfert n’excède pas 6 jours, lorsqu’il provient d’un cheptel (officiellement
indemne de brucellose) présentant un taux de rotation important
vrai
Brucellose bovine : pour être introduit dans un cheptel officiellement indemne de brucellose, un bovin âgé de 24 mois ou plus doit avoir été soumis à un test sérologique de dépistage pratiqué obligatoirement
dans les 15 jours précédant son départ lorsque le cheptel d’origine (officiellement
indemne de brucellose) présente un risque sanitaire particulier vis-à-vis de la
brucellose
vrai
La tuberculose est danger sanitaire de 1ere categorie seulement chez les bovins lorsqu’elle affecte les poumons, l’utérus,
l’intestin et/ou la mamelle
faux
La tuberculose est danger sanitaire de 1ere categorie chez les bovins uniquement lorsqu’elle est due à Mycobacterium bovis
ou Mycobacterium tuberculosis
vrai
La tuberculose est danger sanitaire de 1ere categorie chez les caprins
vrai
La tuberculose est danger sanitaire de 1ere categorie chez les ovins
vrai
La tuberculose est danger sanitaire de 1ere categorie chez les ruminants sauvages
vrai
Tuberculose bovine : Bien qu’il y ait encore quelques dizaines d’exploitations bovines infectées de
tuberculose chaque année, la France est néanmoins officiellement reconnue
indemne de tuberculose bovine
vrai
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, un bovin est « indemne de tuberculose » lorsqu’il
appartient à un troupeau officiellement indemne de tuberculose
vrai
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, un cheptel bovin est déclaré « susceptible d’être
infecté de tuberculose » lorsqu’un lien épidémiologique à risque a été établi avec
un animal infecté de tuberculose
vrai
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, un cheptel bovin est déclaré « infecté de
tuberculose » lors de la constatation de réactions positives à l’IDC à l’échelon du
troupeau
faux
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, un bovin est déclaré « infecté de tuberculose »
lorsque des lésions évocatrices de tuberculose ont été découvertes à l’abattoir ou
à l’autopsie.
faux
Tuberculose bovine : Aussi longtemps que des cas de tuberculose seront constatés en France, en
particulier chez la faune sauvage, la France ne pourra pas être reconnue
officiellement indemne de tuberculose bovine par l’UE
faux
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, un bovin est déclaré « suspect d’être infecté de
tuberculose » lorsque des lésions histologiques évocatrices de tuberculose ont
été constatées par un laboratoire agréé
vrai
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, un bovin est déclaré « infecté de tuberculose » après
observation d’une réaction positive à l’IDC associée à l’observation de lésions
histologiques évocatrices de tuberculose
vrai
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, un bovin est déclaré « infecté de tuberculose » après
isolement dans ses tissus et identification de Mycobacterium bovis
vrai
Tuberculose bovine : Par définition réglementaire, pour pouvoir affirmer qu’un bovin est « indemne de
tuberculose », il faut qu’il ait fourni une réponse négative à deux tuberculinations
espacées de six semaines
faux
Tuberculose bovine : dans l’IDC les tuberculines bovines et aviaires sont injectées à mi hauteur de l’encolure, la
bovine sur le côté droit et l’aviaire sur le côté gauche de l’encolure
faux
Tuberculose bovine : dans l’IDC pour sa réalisation, la mesure des plis de peau avec un cutimètre est
indispensable
vrai
Tuberculose bovine : dans l’IDC la lecture est effectuée dans les heures qui suivent la 48ème heure après injection
faux
Tuberculose bovine : dans l’IDC pour exprimer le résultat, on calcule la différence entre les épaississements
cutanés aux points d’injection des deux tuberculines, mais la réponse est négative
si l’épaississement au point d’injection de la tuberculine bovine est inférieur ou
égal à 2 mm
vrai
Tuberculose bovine : dans l’IDC en cas de doute, une nouvelle IDC peut être pratiquée au moins 6 semaines plus
tard
vrai
Tuberculose bovine : Tout bovin de réforme appartenant à une exploitation suspecte de tuberculose
doit faire l’objet d’un marquage pour pouvoir être acheminé, sous laissez passer,
à l’abattoir
vrai
Tuberculose bovine : Réglementairement, un cheptel dans lequel ont été constatées des réactions
tuberculiniques positives est déclaré « infecté de tuberculose »
faux
Tuberculose bovine : En cas de constatation d’une réaction positive après injection de tuberculine
bovine, le VS est tenu de marquer immédiatement l’animal réagissant
faux
Tuberculose bovine : Réglementairement, le VS qui a constaté des réactions douteuses à l’injection de
tuberculine bovine est tenu d’en faire la déclaration au DDSV
vrai
Tuberculose bovine : Le marquage d’un bovin d’une exploitation suspecte de tuberculose est soumis à
l’accord du propriétaire
vrai
Tuberculose bovine : La prophylaxie repose sur une vaccination systématique annuelle des bovins
dans les départements où le taux de prévalence est supérieur à 1p.cent
faux
Tuberculose bovine : La visite sanitaire annuelle comporte une tuberculination systématique de tous les
bovins de plus de 6 semaines présents sur l’exploitation
faux
Tuberculose bovine : Le rythme des contrôles tuberculiniques dans les cheptels bovins est annuel dans
tous les départements
vrai
Tuberculose bovine : Réglementairement, le VS qui a constaté des réactions douteuses doit d’abord en
vérifier la validité par une nouvelle tuberculination réalisée 6 semaines plus tard
avant d’en faire la déclaration à la DDSV
faux
Tuberculose bovine : Le constat d’une réaction tuberculinique positive sur un bovin est une suspicion
de MRC
vrai
Tuberculose bovine : Si la contention des bovins n’est pas de nature à garantir la sécurité de son
intervention, le VS peut pratiquer l’injection de tuberculine au pli sous-caudal
faux
Tuberculose bovine : En cas de non disponibilité, le VS peut faire assurer la lecture de la
tuberculination par l’éleveur sous réserve que la réaction soit négative
faux
Tuberculose bovine : Tout bovin quittant une exploitation placée sous APMS pour tuberculose doit être
accompagné d’un Laissez-passer
vrai
Tuberculose bovine : Après observation d’une réaction tuberculinique positive, un élevage indemne,
même non exposé à des facteurs de risque de tuberculose, est placé sous APMS
vrai
Tuberculose bovine : Dans le cas où un élevage est reconnu infecté de tuberculose, les bovins doivent
être abattus en totalité et conduits à l’équarrissage
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Le virus de la FA est présent actuellement dans le Nord de la France chez des
espèces sauvages
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Les porcs sont résistants au virus de la fièvre aphteuse
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Les chèvres sont résistantes au virus de la fièvre aphteuse
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Le virus de la fièvre aphteuse est très fragile dans le milieu extérieur
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Les prélèvements réalisés dans les élevages suspects sont traités au laboratoire
départemental d’analyses vétérinaires
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Il est fréquent que les ovins infectés par le virus de la fièvre aphteuse ne
présentent pas de symptôme.
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : Dans les foyers de fièvre aphteuse, les animaux abattus doivent être
obligatoirement détruits dans un centre d’équarrissage
faux
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de suspicion de fièvre aphteuse, les chevaux, les chats et les chiens sont
interdits de sortie de l’exploitation suspecte.
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : Le virus de la fièvre aphteuse a été détecté à plusieurs reprises sur des sangliers
dans l’Est de la France.
faux
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de suspicion de fièvre aphteuse, la réglementation peut prévoir
l’interdiction de sortie de l’exploitation suspecte pour les humains
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : Une fois la suspicion de FA établie, le VS doit en effectuer la déclaration
obligatoire au DDSV immédiatement, de jour comme de nuit.
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : Dans un foyer de FA, l'enquête « aval » sert à identifier les élevages susceptibles
d’avoir été contaminés à partir de ce foyer
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de foyer de FA dans un département français, les éleveurs des
départements voisins qui le souhaitent peuvent demander à leur vétérinaire de
vacciner leurs animaux contre la FA
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Lors de confirmation de FA, le texte qui édicte les mesures réglementaires
s’appelle un arrêté préfectoral de mise sous surveillance
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Dans les foyers de fièvre aphteuse en France, les animaux abattus ne peuvent
pas être destinés à la consommation humaine ou animale
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de suspicion de FA, les prélèvements ne peuvent pas être effectués par le
VS, mais doivent obligatoirement être réalisés par un membre du personnel de la
DDSV
faux
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de suspicion de FA, le VS serait gravement fautif s’il n’avait pas procédé
au recensement des animaux de l’exploitation suspecte.
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : Dans le cas où la suspicion de FA émise par le VS venait à ne pas être
confirmée, la responsabilité civile professionnelle du VS serait engagée.
faux
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de suspicion de FA, le VS doit être en mesure de prouver qu’il a bien
appliqué des mesures de biosécurité avant de quitter l’exploitation suspecte
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : Le VS dispose d’un délai maximal de réflexion de 24 heures pour effectuer la
déclaration obligatoire de suspicion au DDSV.
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Pour éviter toute déclaration infondée, le VS doit attendre le résultat du
laboratoire pour effectuer la déclaration obligatoire de suspicion au DDSV
faux
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de suspicion de FA, le VS doit donner des instructions écrites de limitation
de circulation (« rien n’entre, rien ne sort »)
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de suspicion de FA, même les chevaux sont interdits de sortie de
l’exploitation suspecte
vrai
Fièvre aphteuse (FA) : En cas de diagnostic de FA, toutes les espèces animales présentes dans
l’exploitation seront abattues
faux
Fièvre aphteuse (FA) : Dans les exploitations atteintes de FA, le lait produit peut, jusqu’à l’abattage de
animaux, être livré à la laiterie
faux
Maladie Newcastle (MN) : Aucun foyer de MN n’a été diagnostiqué depuis 10 ans en France
faux
Maladie Newcastle (MN) : La vaccination contre la MN est obligatoire chez les reproducteurs dans l’espèce
Gallus gallus
faux
Maladie Newcastle (MN) : La vaccination contre la MN est obligatoire chez le pigeon
vrai
Maladie Newcastle (MN) : Le test d’IHA peut permettre d’apprécier le degré de protection vis-à-vis de la
maladie de Newcastle dans un effectif vacciné
vrai
Maladie Newcastle (MN) : La vaccination contre la MN ne peut être effectuée qu’avec des vaccins à virus
inactivés
faux
Maladie Newcastle (MN) : Une sérologie positive vis-à-vis de MN dans un élevage entraîne la mise en place
de mesures de police sanitaire
faux
Maladie Newcastle (MN) : MN et influenza aviaires sont cliniquement indifférenciables.
vrai
Maladie Newcastle (MN) : En milieu vacciné, la MN peut n’affecter que certaines catégories de sujets avec
un aspect moins contagieux
vrai
Maladie Newcastle (MN) : Des abattages préventifs peuvent être imposés pour empêcher la propagation de
la maladie de Newcastle
vrai
Maladie Newcastle (MN) : La MN est danger sanitaire de 1ere categorie quel que soit le pouvoir pathogène de la souche isolée
faux
Influenza aviaire (IA) : L’IA HP est aussi dénommé « Peste aviaire »
vrai
Influenza aviaire (IA) : Des mesures de police sanitaire sont appliquées dans un élevage atteint d’IA,
quelles que soient les caractéristiques de la souche isolée
faux
Influenza aviaire (IA) : L’IA peut se transmettre à l’homme
vrai
Influenza aviaire (IA) : Le virus de l’IA H5N1 (souche asiatique) est assez peu pathogène pour l’Homme
faux
Influenza aviaire (IA) : Le virus de l’IA H5N1 (souche asiatique) a été isolé chez des carnivores
vrai
Influenza aviaire (IA) : Les virus de l’IA appartiennent uniquement aux sous type H5 et H7
faux
Influenza aviaire (IA) : En France depuis 2006, le virus de l’IA H5N1 HP a été isolé uniquement chez des
oiseaux sauvages
faux
Influenza aviaire (IA) : En Europe, parmi les oiseaux sauvages, ce sont les cygnes et les canards
plongeurs qui ont été les plus touchés par l’IA H5N1 HP.
vrai
Influenza aviaire (IA) : Les anatidés sont considérés comme les principaux réservoirs des souches d’IA
vrai
Influenza aviaire (IA) : Les pertes économiques liées à l’IA HP sont exclusivement dues à la mortalité
des volailles infectées
faux
Influenza aviaire (IA) : Seuls les examens de laboratoire permettent de différencier maladie de
Newcastle et IA
vrai
Influenza aviaire (IA) : L’introduction d’un virus de l’IA dans un élevage de volailles est toujours liée à
une contamination par des oiseaux sauvages
faux
Influenza aviaire (IA) : L’IA est MRC lorsqu’il est provoqué par un virus IA dont l’index de pathogénicité
par voie intraveineuse est >1,2
vrai
Influenza aviaire (IA) : Les élevages de canards sont assez couramment en France contaminés par des
souches de virus d’IA FP
vrai
Influenza aviaire (IA) : Le virus de l’IA peut résister plusieurs semaines dans les eaux de surface
contaminées
vrai
Influenza aviaire (IA) : En cas de foyer d’IA HP dû à un virus H5N1 souche asiatique, les porcs présents
dans l’exploitation atteinte peuvent être abattus
vrai
Influenza aviaire (IA) : Lorsqu’un cas d’IA HP dû au virus H5N1 est reconnu chez un oiseau sauvage, les
élevages avicoles se trouvant dans la zone de protection doivent être visités par
un VS.
vrai
Influenza aviaire (IA) : Lorsqu’un cas d’IA HP dû au virus H5N1 est reconnu chez un oiseau sauvage, les
chats présents dans la zone de protection doivent être maintenus enfermés
vrai
Influenza aviaire (IA) : En cas de foyers IA HP, une vaccination d’urgence peut être envisagée par la
DGAL avec l’aval de la Commission européenne
vrai
Influenza aviaire (IA) : Lorsque l’IA HP est diagnostiqué dans une exploitation avicole, les oeufs doivent
être détruits
vrai
Influenza aviaire (IA) : L’IA est MRC lorsqu’il est provoqué par un virus H5 ou H7 quel que soit son IPIV
faux
Influenza aviaire (IA) : Si la situation sanitaire l’exige, il est possible après accord de la Commission
européenne de réaliser une vaccination préventive des volailles
vrai
Influenza aviaire (IA) : La vaccination préventive des oiseaux présents dans les parcs zoologiques
contre l’IA HP H5N1 est possible en France
vrai
Influenza aviaire (IA) : L’utilisation d’un vaccin « DIVA » donne la possibilité de contrôler, par sérologie,
la possibilité d’une infection des effectifs vaccinés par un virus sauvage
vrai
Influenza aviaire (IA) : Le confinement des volailles (cas des élevages de plus de 100 sujets) peut être
évité lorsque l’éleveur fait procéder par son VS à des visites vétérinaires
d’inspection sanitaire montrant qu’il respecte le guide de bonnes pratiques
sanitaires réglementaire.
vrai
Salmonelloses aviaires : La seule espèce aviaire visée dans la nomenclature des MRC en ce qui concerne
la lutte contre la salmonellose est Gallus gallus (poule)
faux
Salmonelloses aviaires : Seuls les isolements de Salmonella Enteritidis et Typhimurium sont pris en
compte dans la nomenclature des MRC chez Gallus gallus
faux
Salmonelloses aviaires : L’adhésion des aviculteurs (Gallus gallus) à la charte sanitaire leur permet de
bénéficier d’aides financières pour le dépistage
vrai
Salmonelloses aviaires : Les aviculteurs doivent désigner un VS qui aura notamment la responsabilité de
superviser les opérations de dépistage périodique de la salmonellose dans les
élevages soumis à la prophylaxie obligatoire
vrai
Salmonelloses aviaires : La vaccination contre la salmonellose est réglementairement possible sur
certaines catégories de poules avec des vaccins de type inactivé
vrai
Autres dangers sanitaires de 1ere et 2eme categories chez les oiseaux : La pullorose est danger sanitaire de 1ere categorie dans toutes les espèces d’oiseaux d’élevage
vrai
Autres dangers sanitaires de 1ere et 2eme categories chez les oiseaux : Le botulisme des volailles est danger sanitaire de 1ere categorie
vrai
Autres dangers sanitaires de 1ere et 2eme categories chez les oiseaux : Le botulisme des oiseaux sauvages est danger sanitaire de 1ere categorie
faux
Autres dangers sanitaires de 1ere et 2eme categories chez les oiseaux : La Chlamydophilose aviaire est un danger sanitaire de 2eme categorie chez toutes les espèces d’oiseaux
vrai
Autres dangers sanitaires de 1ere et 2eme categories chez les oiseaux : La maladie de West Nile est danger sanitaire de 1ere categorie à la fois chez les équidés et toutes les espèces
d’oiseaux
faux
Maladie d’Aujeszky: Est une maladie spécifique du porc et des sangliers
faux
Maladie d’Aujeszky: Est caractérisée chez le porc par un « prurit démentiel »
faux
Maladie d’Aujeszky: Est une cause d’avortements
vrai
Maladie d’Aujeszky: Peut générer des symptômes respiratoires (toux, dyspnée, éternuement…) chez
les porcs à l’engrais
vrai
Maladie d’Aujeszky: Peut se transmettre par voie directe, par exemple "de groin à groin" au sein de
l’effectif
vrai
Maladie d’Aujeszky: Est encore actuellement une maladie fréquemment diagnostiquée dans les
élevages de porcs en France
faux
Maladie d’Aujeszky: Est réputée contagieuse uniquement chez le porc
faux
Maladie d’Aujeszky: Est l’objet d’un dépistage obligatoire dans les élevages diffusant des
reproducteurs ou futur reproducteurs
vrai
Maladie d’Aujeszky: Est l’objet d’un dépistage sérologique obligatoire dans les cheptels naisseurs,
naisseurs engraisseurs et de post-sevrage collectif
vrai
Maladie d’Aujeszky: Peut être prévenue par une vaccination à l’aide de vaccins à virus atténués ou
inactivés délétés
vrai
Brucellose porcine : Est une maladie figurant dans la nomenclature des dangers sanitaires de 2eme categorie
faux
Brucellose porcine : Se transmet habituellement par ingestion de produits contaminés et par voie
vénérienne
vrai
Brucellose porcine : Se traduit par des avortements et des réductions de portées chez les truies
vrai
Brucellose porcine : Peut être dépistée par l’EAT
vrai
Brucellose porcine : Justifie l’élimination des seuls animaux reconnus infectés
faux
La Brucellose porcine (en France) : Est due à Brucella suis biovar 2
vrai
La Brucellose porcine (en France) : Est principalement diagnostiquée dans les élevages de plein air
vrai
La Brucellose porcine (en France) : Est une zoonose très grave chez l’Homme
faux
La Brucellose porcine (en France) : Est due le plus souvent à une contamination par des sangliers infectés
vrai
La Brucellose porcine (en France) : Justifie la vaccination des reproducteurs pour éviter l’extension de la maladie
dans l’élevage
faux
La maladie vésiculeuse des suidés (MVS) : Est une maladie figurant dans la nomenclature des MDO
faux
La maladie vésiculeuse des suidés (MVS) : Sévit de façon enzootique en France
faux
La maladie vésiculeuse des suidés (MVS) : Se traduit généralement par des boiteries associée à des lésions vésiculeuses
podales et buccales
vrai
La maladie vésiculeuse des suidés (MVS) : Est cliniquement indifférenciable de la FA
vrai
La maladie vésiculeuse des suidés (MVS) : Contrairement à la FA, la MVS ne justifie pas l’abattage de la totalité des porcs de
l’élevage
faux
La peste porcine classique (PPC): Affecte exclusivement les suidés domestiques et sauvages
vrai
La peste porcine classique (PPC): Est actuellement diagnostiquée dans l’Est de la France sur des sangliers
vrai
La peste porcine classique (PPC): Est danger sanitaire de 1ere categorie uniquement sous sa forme cliniquement exprimée
faux
La peste porcine classique (PPC): Est l’objet en France d’un plan de surveillance sérologique des reproducteurs x
vrai
La peste porcine classique (PPC): Est actuellement l’objet d’une vaccination par voie orale des sangliers dans
certaines zones géographiques
vrai
La peste porcine classique (PPC): Ne peut être différenciée cliniquement de la peste porcine africaine
vrai
La peste porcine classique (PPC): Induit des lésions caractérisées par la présence d’un piqueté hémorragique sur
les reins, parfois visible seulement après leur décapsulation
vrai
La peste porcine classique (PPC): Induit des foyers de nécrose caractéristiques présents dans le foie
faux
La peste porcine classique (PPC): Induit des zones d’infarcissement visibles sur la rate
vrai
La peste porcine classique (PPC): Induit des lésions ulcéreuses sur la muqueuse de la valvule iléo-cæcale x
vrai
La peste porcine classique (PPC): Se transmet aisément par des déchets d’abattoir ou des eaux grasses
vrai
La peste porcine classique (PPC): Se transmet par voie vénérienne
vrai
La peste porcine classique (PPC): Se transmet par voie verticale congénitale
vrai
La peste porcine classique (PPC): Peut se manifester uniquement par des troubles de la reproduction et une
pathologie néonatale
vrai
La peste porcine classique (PPC): Peut provoquer des paralysies
vrai
Peste porcine classique (PPC) : une réaction sérologique positive observée chez des reproducteurs à l’occasion du dépistage de la PPC indique avec certitude une infection par le virus de la PPC
faux
Peste porcine classique (PPC) : une réaction sérologique positive observée chez des reproducteurs à l’occasion du dépistage de la PPC peut révéler un foyer de peste porcine africaine
faux
Peste porcine classique (PPC) : une réaction sérologique positive observée chez des reproducteurs à l’occasion du dépistage de la PPC peut être consécutive à l’infection des porcs par le virus bovin de la maladie des
muqueuses
vrai
Peste porcine classique (PPC) : une réaction sérologique positive observée chez des reproducteurs à l’occasion du dépistage de la PPC justifie la prise d’un arrêté préfectoral de mise sous surveillance du cheptel dont
est issu l’animal
vrai
Peste porcine classique (PPC) : une réaction sérologique positive observée chez des reproducteurs à l’occasion du dépistage de la PPC justifie une vaccination des sujets du même élevage avec un vaccin de type
« DIVA », afin d’éviter le développement de la forme clinique dans le troupeau
faux
La peste porcine classique (PPC) : lorsque la PPC est diagnostiquée dans un élevage de porcs à l’engrais: L’exploitation est placée sous APPDI
vrai
La peste porcine classique (PPC) : lorsque la PPC est diagnostiquée dans un élevage de porcs à l’engrais: Les porcs malades sont immédiatement abattus et les animaux restés sains sont
transportés à l’abattoir le plus proche en vue d’être abattus pour la consommation
humaine
faux
La peste porcine classique (PPC) : lorsque la PPC est diagnostiquée dans un élevage de porcs à l’engrais: Les porcs malades sont immédiatement abattus et les autres immédiatement
vaccinés
faux
La peste porcine classique (PPC) : lorsque la PPC est diagnostiquée dans un élevage de porcs à l’engrais: Tous les porcs de l’élevage sont abattus sur place et les cadavres détruits
vrai
La peste porcine classique (PPC) : lorsque la PPC est diagnostiquée dans un élevage de porcs à l’engrais: Les porcs sérologiquement négatifs sont placés sous surveillance vétérinaire en
attendant de les diriger vers un abattoir agréé
faux
La salmonellose porcine : Est présente en France
vrai
La salmonellose porcine : Est un danger sanitaire de 2eme categorie lorsque les porcs sont cliniquement atteints et infectés par
Salmonella Typhimurium, Derby ou Choleraesuis
vrai
La salmonellose porcine : Peut générer des avortements
vrai
La salmonellose porcine : Est une zoonose
vrai
La salmonellose porcine : Peut générer des lésions de typhlo-colite nécrotique
vrai
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 2eme categorie: L’artérite virale équine
vrai
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 2eme categorie: La métrite contagieuse équine
vrai
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 2eme categorie: La grippe équine
faux
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 2eme categorie: La maladie d’Aujeszky
faux
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 2eme categorie: Le surra
faux
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 1ere categorie: La morve
vrai
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 1ere categorie: La métrite contagieuse équine
faux
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 1ere categorie: La lymphangite épizootique
faux
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 1ere categorie: L’encéphalomyélite virale de type Venezuela
vrai
La maladie des équidés suivante est un danger sanitaire de 1ere categorie: Le surra
vrai
L’anémie infectieuse des équidés: Est un danger sanitaire de 1ere categorie
vrai
L’anémie infectieuse des équidés: Est un vice rédhibitoire
vrai
L’anémie infectieuse des équidés: N’a plus été diagnostiquée en France ces 10 dernières années
faux
L’anémie infectieuse des équidés: Est facilement diagnostiquée en recherchant les anticorps par le test de Coggins
vrai
L’anémie infectieuse des équidés: Justifie le marquage et l’abattage de la totalité de l’effectif équin dans lequel des
cas ont été diagnostiqués
faux
L’encéphalite West Nile: Est un danger sanitaire de 2eme categorie chez les équidés
faux
L’encéphalite West Nile: Est une zoonose transmise directement des équidés malades à l’Homme
faux
L’encéphalite West Nile: Est une arbovirose
vrai
L’encéphalite West Nile: Peut être diagnostiquée chez les équidés par RT-PCR à partir d’un échantillon de
sang prélevé en début de la maladie
vrai
L’encéphalite West Nile: Justifie le marquage et l’abattage des équidés malades pour éviter la propagation
de la maladie
faux
L’encéphalite West Nile: Est un danger sanitaire de 2eme categorie chez les oiseaux sauvages
vrai
L’encéphalite West Nile: A été reconnue chez les équidés en France exclusivement en Camargue
faux
L’encéphalite West Nile: Justifie réglementairement l’abattage de la totalité des équidés reconnus infectés
de la zone de séquestration (foyer)
faux
L’encéphalite West Nile: Justifie réglementairement la vaccination des équidés dans la zone de protection
autour d’un foyer
faux
L’encéphalite West Nile: Est transmise par des tiques dans le sud de la France
faux
La peste équine: Est une des maladies les plus redoutables de l’espèce équine
vrai
La peste équine: N’a jamais été identifiée en Europe
faux
La peste équine: Est présente dans plusieurs pays du Sud et de l’Est africain
vrai
La peste équine: Est transmise en particulier par Culicoides imicola, vecteur aussi incriminé dans la
transmission de la fièvre catarrhale ovine
vrai
La peste équine: Peut justifier la vaccination systématique des équidés lorsqu’elle est
diagnostiquée dans un territoire donné
vrai