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95 Cards in this Set

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ÉTYMOLOGIE
• OIKOS : maison, domaine
• NOMOS : règles
• Par Aristote en -200 BC
AVANT 1500
• Bonne gestion du domaine (AGRICULTURE)
1500-1550
• Capitalisme commercial (Florence, Venise, Gènes)
1615
• Humaniste Antoine de Montchrétien
• Traité d’économie politique
• Monarchie absolue (Louis XIV : ‘’L’État, c’est moi’’, Henri VIII)
• Début des grands ensembles politiques
• Économie liée à la politique
1650
• Économie politique vulgarisée en anglais par William Patty
1615 – 1860/1870
PÉRIODE CLASSIQUE
Smith, Ricardo Marx
ADAM SMITH
ADAM SMITH, FONDATEUR
• Recherche sur la nature et les causes du silence des Nations (1776)
• Pourquoi certaines nations deviennent-elles riches alors que d’autres restent pauvres?
• Procurer au peuple un revenu de subsistance et fournir à l’État le moyen de donner des services publics
o = Richesse des individus et de l’État
• Le premier à élever l’économie au rang de science humaine
• Écrit dans le contexte de la Révolution Industrielle
• Richesse économique découle de la division du travail et des marchés libres (la division en opérations simples permet la spécialisation = plus d’employés = marché vaste pour que ce soit rentable)
DAVID RICARDO
• Principes de l’économie politique et de l’impôt (1815)
• Inspiré par Smith
• Démontre la supériorité du libre-échange sur le protectionnisme et la validité de la loi sur l’avantage comparatif
KARL MARX
• Le Capital : Critique de l’économie politique (1867)
1890
ALFRED MARSHALL
• Principles of Economics (1890)
• Économiques : abandonne politique car la science économique s’intéresse à l’individu et non à l’État
• La science est du même ordre que les sciences de la nature (physique et dynamique) et des mathématiques
• Première formulation complète et approfondie de la théorie de l’offre et de la demande que nous connaissions aujourd’hui (avec Mary Paley)
Raisons de l'abandon du politique
• Domination de l’industrie et du commerce = le laisser-faire : moins l’État s’en mêle, plus on prospère + en servant nos intêrêts, on sert ceux des autres (Smith)
• Ce qui est à l’origine des prix
o CLASSIQUES : Le travail
 Marx : profits = exploitation des ouvriers, les salariées doivent s’emparer des moyens de production
 Ricardo : rareté et quantité de travail
o NÉOCLASSIQUES : La valeur-utilité
 Utilité marginale (1871 : Léon Walves, Carl Murger)
• Marginalisme à la place de classique
• Les consommateurs sont prêts à payer les prix qui correspondent à l’utilité marginale de la dernière bière
CONNAISSANCE SCIENTIFIQUES
• Type de savoir qui porte sur l’étude de la réalité des phénomènes et de faits à caractères économiques
Sciences formel
• Mathématiques
• Domaine avec son propre langage entièrement construit
• Axions : vérités non démontrables à partir desquelles on construit des règles de démonstration
• Validité de la démonstration (CQFD) = absence de constradictions dans le système formel
Science empirico-formel
• Physique, chimie (science de la nature)
• Niveau formel : modèle mathématique pour comprendre la réalité (E=mc2)
• Niveau empirique : expériences pour confirmer ou non la théorie (ex : trous noirs, on a pas les outils technologiques)
Science humaine
• Étudient les systèmes de comportements et d’actions, individuels et collectifs, dans lesquelles la signification des situations et des conduites est capitale
• Pas d’expérience possible (sauf en Psychologie, mais limités par le grand nombre de variables et la grandeur des échantillons)
• MÊMES VISÉES QUE LES SCIENCES DE LA NATURE
Visées des sciences
o Décrire (ex : structure économique d’un pays)
o Classifier (ex : emplois vs chômage)
o Expliquer (ex : causes du chômage)
o Prédire (ex : si les taux d’intérêts augmentent, il y aura une baisse de l’activité économique)
o Comprendre : effets rétroactifs
 Exemple 1 : Profits d’une entreprise plus bas = risque de baisse de la bourse si c’est le cas de plusieurs autres entreprises = anticipation des actionneurs qui vendent leurs actions = baisse de la bourse)
 Exemple 2 : Gouvernement va donner aux entreprises pour contrer le chômage des jeunes l’année prochaine = baisse de l’embauche des jeunes cette année
CONCURRENCE PARFAITE
• N’existe pas dans la réalité
• Théorie mettant en lien les prix et les quantités demandées
• POSE DES HYPOTHÈSE :
o 1. Infinité des vendeurs et des acheteurs
 Les vendeurs n’ont pas d’influence sur les prix, ils s’imposent à eux
 Réalité : peu de vendeurs (ex : Rogers, Bell, Telus ou les banques)
o 2. Homogénéité des produits
o 3. Informations gratuites et en temps réel
o 4. Flexibilité parfaite des ressources et des agents économiques
 Si ça te convient, tu entres dans le marché, sinon tu sors
 Réalité : plusieurs facteurs t’empêchent (ex : vieille auto, hypothèque)
ceteris paribus
• Ceteris paribus : toutes choses égales par ailleurs ou si tous les autres facteurs pertinents restent constants.
o Permet d’isoler les effets particuliers du facteur sur lequel on se penche
o Toutes les tentatives de progrès scientifiques réussies se basent sur ce raisonnement
o permet de départager la cause et l’effet, ce qui peut être dur autrement car les phénomènes économiques ont des causes simultanées
Définition néoclassique
• Né avec Alfred Marshall
• École dominante
• Dans toutes les sociétés, les besoins qu’expriment les individus et la collectivité dépassent largement les ressources disponibles pour les satisfaire
• Émettre des besoins sans tenir compte des ressources disponibles pour les satisfaire = origine de tous les problèmes économiques
Limite dans la satisfaction des besoins
o INDIVIDUELLEMENT : par le temps qu’il a, le revenu dont il dispose et les prix de ce qu’il convoite
o COLLECTIVEMENT : par nos ressources productives (ressources naturelles, le travail et l’ingéniosité humaine) et par les outils et l’équipement produits
Rareté
• Rareté = insuffisance des ressources disponibles pour satisfaire tous les besoins exprimés
o Affecte tout le monde, riche et pauvre
o Impose des choix
 Dépendent des incitatifs : Récompense ou punition qui encourage ou décourage une action
Économique
science humaine qui étudie les choix que font les êtres humains quand ils composent avec la rareté et avec les incitatifs qui influent sur leurs choix

• Science des choix d’utilisation des ressources rares pour répondre à des besoins illimités
PROBLÈME AVEC LA DEFINITION NÉOCLASSIQUE
Centré sur la rareté
L'économiste est un technicien
le domaine est universel
science de choix
science a-historique
Centré sur la rareté
• Relations entre Individus et la Nature (rareté) au détriment des relations entre individus ou groups d’individus au sein d’une société
• But : déterminer la meilleure combinaison des moyens rares pour atteindre efficacement un objectif donné
• Problème économique centré sur les relations matérielles (au préjudice des relations sociales)
• Fait disparaître
o Rapport de force
o Intêret contradictoire (ex : entre patrons et employés, entre consommateurs et producteurs)
o Problèmes sociaux
• Problème économique = Problème technique d’allocation des ressources
• Cache le fait que les problèmes économiques sont spécifiques à chaque société et à la division du travail qui la caractérise
L'économiste est un technicien
• Comme un ingénieur, sans poser de jugements de valeurs
• Distingue l’énoncé positif de normatif
O LES ÉNONCÉS RELATIFS À CE QUI EST
 Énoncés positifs
 ce qu’on comprend couramment du fonctionnement du monde
 peuvent être exacts ou erronés
 se vérifie en le confrontant aux faits
O LES ÉNONCÉS RELATIFS À CE QUI DEVRAIT ÊTRE
 Énoncés normatifs
 Reposent sur des valeurs
 Sont invérifiables
o L’économique doit découvrir et cataloguer les énoncés positifs qui rendent compte des phénomènes observés et permettent de comprendre le fonctionnement du monde économique en 3 étapes
 L’observation et la mesure : recueillir des données sur des phénomènes comme la quantité et l’emplacement des ressources humaines et naturelles, les salaires et les heures travaillées…
 La construction de modèles économiques : représentation schématique d’un aspect donné du monde économique, description qui ne retient que les éléments essentiels pour expliquer le phénomène étudié ; ce qu’un modèle englobe et ce qu’il ignore résulte d’hypothèses sur ce qui est essentiel
 La vérification des modèles : Un modèle qui passe avec succès et à répétition l’épreuve des faits sert de base à une théorie économique.
• Théorie économique : ensemble de généralisations qui résument notre compréhension des choix et des comportements des agents économiques ; s’élabore par un processus de construction et de vérification de modèles
• Réalité : ce n’est pas le cas
o Exemple : économiste dans un syndicat, dans une banque) = influencé par ses convictions, par qui le paie
o Exemple : Hausse de salaire = baisse de l’emploi, présenté comme positif mais est normatif (car baisse du pouvoir d’achats, baisse de la consommation)
o ‘’L’économiste devrait comprendre pour agir’’ (Raymond Haron)
 COMPRENDRE comme scientifique le fonctionnement des systèmes économiques malgré l’instabilité des relations entre variables économiques et du comportement peu prévisible des agents économiques
 AGIR comme conseiller en formulant des opinions et des recommandations, en dépit de l’incertitude de la compréhension
o DUR À SÉPARER
LE DOMAINE EST UNIVERSEL
• Le domaine (l’objet) de la science économique est universel (tous les phénomènes de rareté sans distinction
• Ainsi = La rareté se pose dans n’importe quelle société, à n’importe quel moment et dans presque toutes nos activités
o Ex : Jeu d’échecs (pions, vouloir gagner), relations amoureuses (charmes, vouloir plaire), fourmis (fourmilière)
• Problème = L’objet d’étude n’est pas délimité
o Idéalement = doit mettre l’accent sur ce qui est spécifique, ce qui est particulier dans les rapports économiques de sociétés différentes
o Cache le caractère historique
SCIENCE DE CHOIX
• Agents économiques libres (pas de contraintes) et rationnels
o Actions économiques ou sociales = un choix, une prise de décision résultant de l’analyse individuelle confrontant les avantages et les désavantages des différentes attitudes à prendre
 Or, cela nie le phénomène de l’engrenage social lié à l’appartenance à un milieu
 Exemple : Mineur devenu mineur par préférence, directeur de la mine aussi
 Exemple : Publicité et médias : culte de la consommation et du nouveau
o Ignore l’existence de classe sociale (division sociale du travail)
 Ne tient pas compte de la réalité sociale
 Différence entre un milliardaire et un pauvre = choix personnel
• Ainsi, société serait un réseau de contrats librement négocié
o Cache une autre interprétation : société est une articulation de rapports entre catégories ou classes sociales ayant des objectifs économiques et sociaux différents
SCIENCE A –HISTORIQUE
• Ne considère pas l’histoire comme pertinent pour l’objet d’étude de l’économie
• Pourtant, on n’aborde pas les problèmes de l’antiquité comme ceux de maintenant
o Exemple : de 50 000 à 3 500/3 000 avant J. C. : chasseurs ceuilleurs n’ont pas connu la rareté (n’accumulaient pas) = grande partie de l’humanité
• Capitalisme comme façon d’organisation de l’Activité économique est historiquement très jeune
o ‘’Il y a plusieurs modes de production et la coupure se situerait entre les cueilleurs-chasseurs et les accumulateurs, agriculteurs, citadins et marchands, puis industriels. Les premiers vécurent dans l’abondance, les autres vivent dans la rareté. Il y a tout de même une différence entre société rurale et la ville, d’oû naquit le capitalisme : celle-ci ne peut exister que par le surplus. La révolutions industrielle, permise par l’existence de forts surplus agricoles, inaugure un nouveau moment de croissance…’’
o A-historisme = handicap pour la compréhension de la vie économique des diverses organisations sociales
o On a besoin de l’histoire pour répondre aux trois questions fondamentales de l’économie en tant que système
AUTRE DÉFINITION DE L’ÉCONOMIE
AUTRE DÉFINITION DE L’ÉCONOMIE
QUE PRODUIT-ON?
• Biens et services : Produits que les êtres humaines valorisent et produisent pour satisfaire leurs besoins et désirs ; les biens sont des objets physiques, et les services, des tâches qu’on accompli pour des gens
o Biens et services de consommation : que des particuliers achètent pour leur jouissance personnelle et qui contribue à un meilleur niveau de vie
 Logement, meubles, vêtements, café, voyages les soins dentaires
 43% de la production totale au Canada
o Biens d’investissement : que des entreprises achètent pour accroître leur capacité de production
 Chaînes de montage, ordinateurs, centres commerciaux
 17% de la production totale au Canada
o Biens et services des administrations publiques : qu’achètent les gouvernements et les administrations publiques
 Soins de santé, éducation, tribunaux, équipement militaire
 15% de la production totale au Canada
o Biens et services d’exportation : produits dans un pays et vendus dans un autre pays
 CRJ de Bombardier achetés en Australie, Gaz de l’ouest canadien acheté par des services publiques en Californie
 25% de la production totale au Canada
• Biens et services : Produits que les êtres humaines valorisent et produisent pour satisfaire leurs besoins et désirs ; les biens sont des objets physiques, et les services, des tâches qu’on accompli pour des gens
o Biens et services de consommation : que des particuliers achètent pour leur jouissance personnelle et qui contribue à un meilleur niveau de vie
 Logement, meubles, vêtements, café, voyages les soins dentaires
 43% de la production totale au Canada
o Biens d’investissement : que des entreprises achètent pour accroître leur capacité de production
 Chaînes de montage, ordinateurs, centres commerciaux
 17% de la production totale au Canada
o Biens et services des administrations publiques : qu’achètent les gouvernements et les administrations publiques
 Soins de santé, éducation, tribunaux, équipement militaire
 15% de la production totale au Canada
o Biens et services d’exportation : produits dans un pays et vendus dans un autre pays
 CRJ de Bombardier achetés en Australie, Gaz de l’ouest canadien acheté par des services publiques en Californie
 25% de la production totale au Canada
• Facteurs de production : Ressources productives qui servent à produire les biens et les services
o Terre : ressources naturelles renouvelables ou épuisables
 terre, minéraux, ressources énergétiques, air, eau, arbres, plantes sauvages, animaux, oiseaux, poissons
o Travail : temps et effort que les gens consacrent à la production
 Inclut les efforts physiques et mentaux
 Inclut le capital humain : les savoirs, les compétences et les habiletés que les gens acquièrent par l’instruction, la formation encours d’emploi et l’expérience de travail, qui améliorent la qualité du travail
 Quantité de travail augmente lorsque la population en âge de travailler augmente ou qu’un pourcentage plus important de la population occupe un emploi (femmes)
o Capital (physique) : Outils, instruments, machinerie, édifices et autres constructions
 Autoroutes, centrales électriques, aéroport, marteaux,
o Entrepreneuriat : type de ressource humaine qui organise les trois autres facteurs
 Les entrepreneurs apportent de nouvelles idées sur ce qu’il convient de produire et sur la façon de le faire, prennent des décisions d’affaires et assument les risques qui en découlent
POUR QUI PRODUIT-ON?
• Dépend du revenu que les gens gagnent et des biens et services qu’ils décident d’acheter
• Économie de marché : les gens s’assurent un revenu en offrant les ressources dont ils ont la propriété sur le marché des ressources
o Loyer : revenu que rapporte la terre
o Salaire : revenu que rapporte le travail
o Intêret : revenu que rapporte le capital financier
o Profit : revenu que rapporte l’entreprenariat (positif ou négatif)
• Répartition fonctionelle du revenu : répartition du revenu entre les diverses sources de revenu (les facteurs de production)
o Travail est la principale source de revenu (68%)
o Constant au fil du temps
• Répartition personnelle du revenu : répartition du revenu entre les ménages
o Premier quintile : 44%
o L’écart entre les ménages au revenu le plus élevé et ceux au revenu le plus faible s’est accru de 82200$ en 1996 à 102100$ en 2005
LA MACROÉCONOMIE
• Macroéconomie : Branche de l’économie qui étudie les effets abrégés (totaux) des choix des individus, des entreprises et des gouvernements sur l’économie nationale et mondiale
• ÉTUDIE DES GRANDS ENSEMBLES ÉCONOMIQUES (RÉGIONS, PAYS, PLANÈTE)
• ÉTUDE DES RELATIONS ENTRE LES VARIABLES QUI DÉCRIVENT DES GRANDS ENSEMBLES
o Exemple : offre abrégée et demande abrégées
• Exemples
o Pourquoi la croissance économique aux États-Unis, encore forte en 2006, vacille-t’elle en 2007 et 2008?
o Pourquoi le Japon a-t-il connu une longue période de stagnation économique de 1992 à 2003?
o Que se passe-t-il quand la Banque du Canada fait baisser le taux d’intérêts?
o Chômage et variations de la consommation
o Inflation et prix
o Croissance et emploi
LA MICROÉCONOMIE
• Microéconomie : branche de l’économie qui étudie les choix des individus et des entreprises ainsi que la façon dont ces choix répondent aux incitatifs, interagissent entre eux et subissent l’influence des gouvernements
• ÉTUDIE DES UNITÉS DÉCISIONNELLES
o Exemple : consommateurs, producteurs, État
• ÉTUDIE DES MARCHÉS EN PARTICULIERS
o Exemple : Offre et demande sur un marché
• Exemples
o Pourquoi y’a-t’il plus de gens qui achètent des véhicules utilitaires sport et moins de gens qui achètent des fourgonnettes?
o Quel est l’effet d’une baisse du prix de la console Playstation et du Xbox sur les quantités de ces biens que les gens achètent?
o Pourquoi le prix de l’essence fluctue constamment?
o Pourquoi le gouvernement taxe-t’il la bière mais pas le jus d’orange?
Actes économiques
• Consommation : Tout acte par lequel des B&S sont utilisés pour satisfaire directement des besoins humains spécifiques
• Production : Tout acte par lequel des B&S sont utilisés pour être transformer en produits, C’est-à-dire, en d’autres biens et services.
B&S finals et intermédiaires
• Consommation : Tout acte par lequel des B&S sont utilisés pour satisfaire directement des besoins humains spécifiques
• Production : Tout acte par lequel des B&S sont utilisés pour être transformer en produits, C’est-à-dire, en d’autres biens et services.
• Bien final : destiné à son utilisateur final
o Exemple : Lait trait de la vache
• Bien intermédiaire : utilisé dans la production d’un autre service
o Exemple : Lait transformé en fromage
• Service intermédiaire
o Exemple : Transport du lait à xtown
• Ressources – facteurs de production (inputs) – production – produits (outputs) – consommation (biens et services finals)
o De outputs à inputs = biens et services intermédiaire
LES AGENTS ÉCONOMIQUES
M, E, É, M
ménages
o unités décisionnelles au plan économique pour la consommation et la détention des facteurs de production
o a des désirs illimités et des ressources limités
entreprises
o unités décisionnelles qui utilisent les facteurs de production ou les ressources pour produire des biens et services
o Entreprises enregistrées
o Entreprises incorporées
 Par actions : Lorsqu’une entreprise émet des actions, c’est lors de la 1ère vente que l’entreprise a du capital financier
 Marché secondaire (Que les actions baissent ne changent rien pour Bombardier, mais affectent ses propriétaires)
o Coopérative : chaque membre a un vote
o Entreprise à but non-lucratif (OBNL)
 Économie sociale
État
o unité décisionnelle qui légifère (lois, réglements)
o qui assure le respect des lois et des règlements par les tribunaux, la police, etc.
o qui perçoit les taxes et les impôts (impôts directs),
o fournit les services publics (éducation, santé, armée)
o signe les traités internationaux (L’ALÉNA, OMC…)
o Contexte canadien : fédéral, provinces, municipalités, organismes publics…
marchés
• Lieu physique ou virtuel qui réunit les acheteurs et les vendeurs pour échanger
• Dimension géographique : marché local, régional, national, continental…
• Types de produits : marché des biens, marché des services, des facteurs de production (du travail) financier (bourse, banques), des biens et services intermédiaire
Capacité de production
• Capacité de production limitée : à tout moment, nous disposons de quantité fixe de ressource et d’une technologie donnée
• Nos besoins > notre capacité à les satisfaire : nous devons faire des choix (établir des priorités et décider lesquels de nos besoins seront satisfaits)
o La terre peut servir soit à des usines de A, ou à des usines de B. La main d’œuvre (le travail) peut apprendre à faire l’un ou l’autre, le capital peut être consacré à l’un ou l’autre, les entrepreneurs contribue à l’un ou l’autre
CPP
Courbe des possibilités de production : frontière entre combinaisons de biens et services possibles de produire et celles qui sont impossibles avec une quantité de ressource fixe et une technologie donnée
Plein-emploi
utilisation optimale des ressources productives compte tenu de la meilleure technologie disponible
Sous-emploi
utilisation incomplète ou inefficace des ressources produites compte tenu de la meilleure technologie disponible
Sacrifice
fait de renoncer à une chose pour en obtenir une autre (à cause de la rareté des ressources)
o Quand les ressources sont pleinement utilisées et qu’on veut produire davantage = sacrifice
o Quand une partie des ressources est inutilisées ou que leur utilisation n’est pas optimale, on peut produire plus d’un bien sans réduire la production de l’autre bien = pas de sacrifice
Cout de renonciation
∆-QA /∆+QB
Cout de renonciation croissant
o Plus on renonce à des quantités de A, moins l’économie possède de A à céder
o Plus on essaie d’augmenter la production de l’un ou l’autre des deux biens, moins les ressources supplémentaires consacrés à la production de ce bien sont productives, et plus le coût de renonciation d’une unité de ce bien augmente
 Ex : Employés de A vont dans B : faible augmentation de B pour une grande diminution de A
Croissance économique
• Croissance économique : expansion soutenue des possibilités de production
• N’élimine pas la rareté et le coût de renonciation
• Pour pouvoir consacrer des ressources au développement de la technologie, à l’instruction et à la formation des gens ainsi qu’à la production de consommation, nous devons réduire notre production de B&S de consommation = coût de renonciation de la croissance économique
• Causes de la croissance économique :
o Progrès technologique
o Amélioration du capital humain
o Accumulation du capital
o Découverte de nouvelles ressources naturelles
Système économique :
ensemble des mécanismes (économiques, politiques, sociaux, juridiques) crées par la société pour prendre des décisions relatives à ce qu’il faut produire (Quoi produire?) à la manière de les produire (comment?) et aux destinataires de cette production (pour qui?)
3 systèmes en théorie :
• Économie de marché
• Économie planifiée (ou de commandement)
• Économie mixte
O LES MÉNAGES DÉCIDENT :
 Des quantités de travail, de terre, de capital et d’entrepreneuriat qu’ils vendront sur le marché des facteurs
 de la façon dont ils dépenseront leurs revenus (salaires, loyers, intérêts et profits) en biens et services produits par les entreprises
O LES ENTREPRISES DÉCIDENT :
 des quantités de travail, de terre, de capital et d’entrepreunariat qu’elles se procureront
 des types de bien et services qu’elles produiront
 des quantités qu’elles produiront pour les vendre sur le marché des produits
O LES DIVERS PALIERS DE GOUVERNEMENT DÉCIDENT
 quels biens et services ils fourniront
 le montant des impôts que pairont les entreprises et les ménages
Coordination de l'économie
• Les transactions qui se font dans les marchés résultent des décisions prises par les agents économiques
• Ces décisions sont coordonnées par les marchés des facteurs et des produits (marché des B&S et marché du travail) qui sont régis par des lois et des règlements que les administrations publiques établissent et font respecter
• DÉCISIONS ENTRE EN CONFLITS
• Marché des facteurs (du travail) : les ménages décident du type et de la quantité de travail à vendre / les entreprises décident du type et de la quantité de travail à acheter,
• Marché des produits (des B&S) : les ménages décident quels type et quelles quantitiés de biens et services à acheter / les entreprises décident de quels types et de quelles quantités de biens et services à vendre
• = Mécanismes de coordination
ÉCONOMIE DE MARCHÉ (COORDINATION PAR LE MARCHÉ)
• Initiative individuelle (consommation, production, vente…)
• Coordination des décisions se fait par le marché et les mécanismes (ex : prix est le signal du mécanisme)
O LES DÉCISIONS INDIVIDUELLES SONT COORDONNÉES PAR DES AJUSTEMENTS DE PRIX
o Quantité en vente < Quantité que les consommateurs souhaitent acheter = La pénurie entraîne la hausse de prix
o Quantité en vente > Quantité que les consommateurs souhaitent acheter = Le surplus entraîne la baisse des prix
o Décisions de produire et de vendre, d’acheter et de consommer sont continuellement ajustées par des variations de prix (Quoi?)
o Choix du matériel, des techniques par les entreprises selon leurs prix (comment?)
o Détenteurs de compétences, talents et ressources rares = revenu plus élevé = peuvent obtenir une plus grande partie des biens et services produits (pour qui?)
• Les ressources sont privées et mobiles (passe d’un marché à l’autre)
• L’État intervient peu (protection de la propriété privé)
• Concurrence est effective
ÉCONOMIE PLANIFIÉE (COORDINATION PAR DIRECTIVES)
• Propriété publique des ressources (sauf le travail)
• Coordination : grâce à un plan
o CONFECTION AUTORITAIRE (ex : URSS, Corée du Nord)
o DÉMOCRATIQUE + DÉCENTRALISÉE (ex : Yougoslavie)
o Structure organisationnelle hiérarchique où les individus exécutent les directives qu’on leur donne (au lieu du marché)
• Plan : calcul comptable entre les ressources disponibles et la liste des objectifs à atteindre
• Tableau inputs-outputs (Comment chacun contribue à chacun)
Économie mixte
• En pratique, la plupart des économies de marché = économies mixtes qui reposent en partie sur une coordination par directives
• Les gouvernements soumettent l’économie de marché à des règles et créent des organismes pour la surveiller = ils influent sur les décisions des ménages et des entreprises
L’ÉTAT DOIT INTERVENIR DANS L’ÉCONOMIE?
Il y a des failles dans le marché
CONCURRENCE DÉLOYALE
• Lois et moyens pour se faire respecter (ex : Bell et Astral, CRTC)
MANQUE D’INFORMATION DES AGENTS ÉCONOMIQUES
• Consommation : acheteurs-vendeurs (vice caché)
• Santé-sécurité : lois (ex : amiante)
• L’État a la responsabilité de suppléer au manque d’informations
EXTÉRIORITÉ
• Phénomènes provoqués par une activité d’un agent économique sur un autre agent économique qui n’a pas participé à cette activité
• Pollution : externalité négative
• Pommiculteur-Apiculteur : Externalité positive
BIENS PUBLICS
• Biens dont tout le monde profite
• Exemple : feu d’artifice, éducation, services d’incendies, défense nationale…
MANQUE DE MOBILITÉ DES RESSOURCES
• Secteurs en déclin (transfert des meployés vers des secteurs en expansion)
• Secteurs en expansion
• Demande individuelle
les diverses quantitées (Q) de x qu’un acheteur est prêt à acquérir au cours d’une période donnée
• Qd(x) =
o Prix du bien x (le seul qu’on considère)
o Prix des autres biens
o Revenus de l’ahceteur
o Goûts/préférences
o Anticipation
o nombre d’acheteurs
• Loi de la demande :
lorsque le prix d’un bien augmente, les quantitées demandées de ce bien diminuent, ceteris paribus.
o ∆+Px → ∆-Qd(x)
o ∆-Px →∆+Qd(x)
o Les consommateurs ont toujours intérêts à opter pour les achats les plus avantageux compte tenu de leurs moyens limités
• La courbe de la demande
exprime la relation entre les Px et les divers Qd(x)
• Demande :
Relation entre la quantité demandée d’un bien, d’un service ou d’une ressource et son prix, ceteris paribus; ensemble des diverses quantités demandées à divers prix
CARACTÉRISTIQUES DE LA COURBE DE DEMANDE
• Par unité de temps
• C’est la quantité maximum que l’acheteur est prêt à acquérir pour un produit donné
• Pente négative (loi de la demande)
• Demande : relation entre les divers prix et les diverses quantitées
Sur le marché, la demande totale sera la somme des demandes individuelles
Déplacement de la demande
• Si la variation des intentions d’achat se résulte d’une variation de prix, il y a variation de la quantité demandée (mouvement le long de la courbe)
• Si la variation des intentions d’achats résulte d’un autre facteur, il y a variation de la demande (déplacement de la courbe)

biens apparentés
revenu des acheteurs
anticipation des acheteurs
nombre d'acheteurs
gouts et préférences
Demande : LE PRIX DES BIENS APPARENTÉS (SUBSTITUS ET COMPLÉMENTS)
• La demande d’un bien et le prix d’un substitut varient dans le même sens
• La demande d’un bien et le prix d’un de ses compléments varient en sens opposés
LE REVENU DES ACHETEURS (NORMAUX ET INFÉRIEURS)
Variation du revenu (y) pour des biens normaux :
• ∆+y →∆+Dx
• ∆-y → ∆-Dx
Pour des biens inférieurs :
• ∆+y →∆-Dx
• ∆-y → ∆+Dx
LES ANTICIPATIONS DES ACHETEURS
• S’attendre à une augmentation/diminution de revenus
• S’Attendre à une augmentation/diminution d’un prix
LE NOMBRE D’ACHETEURS
• Plus il y a d’acheteurs, dans un marché, plus la demande est grande
LES GOÛTS ET LES PRÉFÉRENCES DES ACHETEURS
• Quand les goûts changent, la demande d’un bien diminue et la demande d’un autre augmente
• Exemple : La demande pour la cigarette ↓, les timbres de nicotine ↑
• L’arrivée sur le marché de nouveaux biens modifient les préférences
• Exemple : L’avènement du MP3 (↓CD, ↑sevices internet)
Quantité demandée ↓
Prix d’un bien ↑
Quantité demandée ↑
Prix d’un bien ↓
Demande ↓
Prix d’un substitut ↓
Prix d’un complément ↑
anticipation d’une ↓ revenu ou de prix
Revenu ↓ (si bien normal)
Revenu ↑ (si bien inférieur)
Nombre d’acheteurs ↓
Demande ↑
Prix d’un substituts ↑
Prix d’un complément ↓
Anticipation d’une ↑ revenu ou de prix
Revenu ↑ (si bien normal)
Revenu ↓ (si bien inférieur)
Nombre d’acheteurs ↑
• Offre individuelle
les diverses quantités (Q) de x que son producteur ou son vendeur est prêt à céder (ou à vendre) au cours d’une période donnée
• Qo(x) = Fonction de
o Prix de x
o Prix des biens apparantés
o Coûts de production
o Travail
o Capital
o Terre
o Productivité (capital humain)
o Anticipation
o Nombre de vendeurs
• Loi de l’offre
quand le prix d’un bien augmente, la quantité qu’est prête à offrir le vendeur va augmenter
o ∆+Px → ∆+Qo(x)
o ∆-Px →∆-Qo(x)
o Si la production d’un bien ou d’un service augmente, son coût de production aussi. Si le prix excède le coût de production, augmenter la quantité offerte est profitable
o Courbe de l’offre
exprime la relation entre quantité offerte d’un bien et son prix quand les autres facteurs suceptibles d’influer sur les intentions de vente restent constants
CARACTÉRISTIQUES DE LA COURBE D’OFFRES
• Par unité de temps
• Quantité maximum que le vendeur est prêt à vendredi
• pente positive (loi de l’offre)
• Offre = ensemble de la relation entre prix et quantités offertes
DÉPLACEMENTS DE LA COURBE D’OFFRES
• Si la variation des intentions de vente résulte d’une variation de prix, il y a variation de la quantité offerte (mouvement le long de la courbe d’offre)
• Si la variation des intentions de vente résulte d’un facteur autre que le prix, il y a variation de l’offre (déplacement de la courbe)

Biens apparentés
Anticipation des producteurs
nombre de vendeurs
productivité
Offre : Bien apparentés
• L’offre d’un bien et le prix d’un de ses substituts de production (peut être produit à la place d’un autre) varient en sens opposé
• L’offre d’un bien et le prix de l’un de ses compléments de production (produit conjointement avec un autre) varient dans le même sens
• L’offre d’un bien et le prix d’un de ses substituts de production (peut être produit à la place d’un autre) varient en sens opposé
• L’offre d’un bien et le prix de l’un de ses compléments de production (produit conjointement avec un autre) varient dans le même sens
• Anticipation d’une hausse des prix = on va attendre avant de les vendre = baisse de l’offre
• Anticipation d’une hausse des salaires = on va en produire plus = hausse de l’offre
NOMBRE DE VENDEURS
• Plus le nombre de producteurs est important dans un marché, plus l’offre est importante
LA PRODUCTIVITÉ
• ↑ productivité (production par unité de facteur de production) → ↓coût de production → ↑ offre
• ↓ productivité → ↑ coût de production → ↓ offre
• Souvent par le progrès technologique (sur les fermes : variations météorologiques)
Quantité offerte ↓
Prix d’un bien ↓
Quantité offerte ↑
Prix d’un bien ↑
Offre ↓
Prix d’un substitut ↑
Prix d’un complément ↓
anticipation d’une ↑ du prix
Productivité ↓
Prix de facteurs de production ↑
Nombre de producteurs ↓
Offre ↑
Prix d’un substitut ↓
Prix d’un complément ↑
anticipation d’une ↓ du prix
Productivité ↑
Prix des facteurs de production ↓
Nombre de producteurs ↑
Forces opposés dans le marché
• Dans le marché : demande et offre sont des forces opposées
o Acheteurs veulent le plus bas prix possible, et plus le prix est bas, plus la quantité qu’ils prévoient acheter est grande
o Vendeurs veulent le prix le plus élevé possible, et plus le prix est élevé, plus la quantité qu’ils prévoient offrir est grande
• Équilibre du marché :
Situation ou la quantité totale que les vendeurs sont prêts à offrir est égale à la quantité totale que les acheteurs sont prêts à acquérir
o P* → Qo = Qd = Q*
o Prix d’équilibre et quantité d’équilibre
Le prix
• Lorsque l’équilibre est perturbé, le prix agit comme régulateur pour ramener le marché vers son point d’équilibre
o P > P*, il y a un surplus ou offre excédentaire (Qo > Qd) → P ↓
o P < P*, il y a une pénurie ou demande excédentaire (Qd > Qo) → P ↑
AUGMENTATION SIMULTANÉE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE
o ↑ offre → ↑ Qx
o ↑ demande → ↑ Qx
o ↑l’offre → ↓ prix
o ↑ demande → ↑ prix
o = La quantité ↑ (le prix dépend)
DIMINUTION SIMULTANÉE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE
o ↓ offre → ↓ Qx
o ↓ demande → ↓ Qx
o ↓ offre → ↑ prix
o ↓ demande → ↓ prix
o = La quantité ↓ (prix dépend)
AUGMENTATION DE LA DEMANDE ET DIMINUTION DE L’OFFRE
o ↑ demande → ↑ prix
o ↓ offre → ↑ prix
o ↑ demande → ↑ Qx
o ↓ offre → ↓ Qx
o = Le prix ↑ (quantité dépend)
DIMINUTION DE LA DEMANDE ET AUGMENTATION DE L’OFFRE
o ↓ demande → ↓ prix
o ↑l’offre → ↓ prix
o ↓ demande → ↓ Qx
o ↑ offre → ↑ Qx
o = Le prix ↓(quantité dépend)