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8 Cards in this Set

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Quels sont les 4 critères objectifs retenus pour le diagnostic de lésion ostéopathique (p 126)?
TART
• Tenderness : tissus sensibles, pas douloureux, mais inconfortables au toucher
• Asymétrie des repères anatomiques
• Restriction de la mobilité
• Texture des tissus anormale, modifiée
Quels sont les points importants mis en avant par DENSLOW et KORR au cours de leurs travaux communs (p 129)?
• L’activité musculaire en regard d’une lésion ostéopathique est plus élevée et s’étend vers le haut et le bas de la ME
• Pas nécessairement bilatéral
• Régions d’hyperactivité musculaire répondent aux stress physiques ET aux stress émotionnels et psychologiques
Quelles sont les conséquences de l’existence d’une lésion ostéopathique sur les inputs moteurs et les inputs nociceptifs (p 131)?
La partie médullaire de la lésion ostéopathique amplifie :
- les inputs moteurs qui viennent du haut, rendant les muscles hyperactifs (contractures), et hyper excitables,
- les inputs nociceptifs qui entrent : la personne ressent plus de douleur que ce à quoi elle s’attendait.
Définir le traitement ostéopathique versus le soin ostéopathique (p 132).
Un traitement ostéopathique = tout ce qu’on fait lorsqu’on manipule le patient = somme de toutes les techniques.

Le soin ostéopathique = ce qu’on fait pour le patient = le traitement + exercices proposés + toutes les autres choses que l’on croit nécessaire pour le soin (conseils alimentaires, méditation, etc.)
Dans les techniques de « Muscle Energy », décrivez les mécanismes physiopathologiques expliquant leur efficacité (p 134).
• Contraction volontaire isométrique dans le sens de la restriction → donc forte activité du MN α
• Puis relâchement volontaire (= muscle son étirement temporairement maximal), qui inhibe le MN α.
• Puis étirement induit par le thérapeute → activation réflexe myotatique inversé, qui inhibe le MN α et la contraction musculaire quand la tension imposée aux tendons est trop importante
• À partir des organes tendineux de Golgi, les fibres I b inhibent les MN α : c’est le relâchement thérapeutique
• En même temps, les organes tendineux de Golgi envoient des info au cervelet via la ME, qui lui, va ajuster la tension musculaire : simultanément à l’inhibition des MN α du muscle traité, les muscles antagonistes sont stimulés : c’est l’inhibition réciproque de SHERRINGTON
Dans les techniques de « Haute Vélocité Faible Amplitude », décrivez les mécanismes physiopathologiques expliquant leur efficacité (p 140).
• Une fois la barrière motrice atteinte, le « trust » est lancé, court et intense
• Il faut que la technique soit terminée AVANT que le réflexe myotatique entre en action (décoaptation articulaire)
À quoi est du le craquement entendu dans les techniques de HVFA ? Expliquez (p 141).
Cavitation au sein de l’articulation

• Les articulations sont scellées par un fluide, le liquide synovial (lubrifiant). Lorsqu’on amène l’articulation à sa barrière motrice et qu’on applique le trust, on va créer un peu d’espace entre les deux portions de l’articulation et ça forme une cavité, un « vide »
• → une portion du liquide devient gazeuse
• → Les deux portions de l’articulation reviennent une vers l’autre et ça crée le bruit

• On étire aussi les organes tendineux de Golgi, provoquant une inhibition très rapide des MN α, explication complémentaire de l’efficacité de la technique.
Dans les techniques de « Strain Counterstrain », décrivez les mécanismes physiopathologiques expliquant leur efficacité (p 149).
• Raccourcissement passif musculaire → relâchement du FNM, secondaire à la baisse de l’activité de la boucle γ → allongement du FNM
• → diminution des outputs sensitifs Ia et II
• → chute de l’activité du MNα et retour à la longueur initiale du muscle, incluant l’hyperactivité des inter-neurones

• Retour lent et passif en position neutre pour ne pas ré-entraîner l'activation du système gamma.