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10 Cards in this Set
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Les déterminants de la personnalité biologiques : 4 tempéraments déterminées par 4 humeurs |
1.Flegmatique -> lymphe : apathique 2. Sang -> sanguin : optimiste 3. Mélancolique -> bile noire : triste 4. Colérique -> bile jaune : irascible, fort et combatif |
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Typologie récente qui associe des caractéristiques physiques à des différences individuelles |
1.Typologies de Kretschmer (1925). Types de morphologies : -Leptosome : grand, mince, musculature et tissus graisseux peu développés -> schizophrènes -Pycnique : petit, gros, tissus adipeux abondant et peu de muscles -> maniaco-dépressif -L’athlétique : musculature bien développée, ni mince, ni gras, mais musclés -> schizophrènes -Dysplasique : ne rentre pas dans autres catégories. 2.Typologies de Sheldon (1942). Prolongement des notions de Kretschmer, mais pour la personnalité « normale » Somatotype/ Tempérament: Ectomorphe/cérébrotonie(anxieux) Endomorphe/viscérotonie(relax) Mesomorphe/ somatotonie(courageux) |
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Les déterminants de la personnalité génétiques |
La génétique comportementale étudie l’influence de l’hérédité sur la personnalité et sur le comportement. |
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Méthode des jumeaux monozygotes en génétique comportementale |
-Toute différence doit être due au milieu car ils partagent 100% des mêmes gènes. -Permet d’étudier l’influence des milieux différents sur un génome identique. -Les corrélations entre les dimensions de personnalité des jumeaux MZ et des jumeaux dizygotes (DZ)permettent de déterminer si elles sont influencées par l’hérédité. (Vrai seulement si mêmes expériences de vies et milieu constant). -Les jumeaux MZ élevés séparément nous indiquentl’effet de l’hérédité. Par exemple, l’environnement aune petite influence si on constate que leurpersonnalité se ressemblent beaucoup. |
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Limite des études sur les jumeaux MZ |
-Fiabilité des diagnostics (analyse sanguine appliquée aujourd’hui, mais erreurs autrefois) -Peut-on généraliser ces résultats à la population générale ? |
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La méthode familiale en génétique comportementale |
ces études mesurentun trait chez les individus de la mêmefamille. Si le trait s’observe fréquemmentchez les descendants d’une personne, onpeut conclure d’une influence héréditaire. |
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Méthode des adoptions en génétique comportementale |
On récolte des informations d’enfants adoptés que l’on compare à celles de leurs parents biologiques, de leurs frères et sœurs biologiques qui sont restés dans le milieu d’origine, de leurs parents adoptifs et des enfants de ceux-ci. |
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Problèmes méthodologiques de la méthode des adoptions |
-On ne peut pas généraliser les résultats à la population générale -Pas toujours possible de retrouver les parents biologiques -L’environnement prénatal joue un rôle important. -Placements sélectifs. |
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Les déterminants de la personnalité environnementaux |
Environnement : Toutes influences autre que la transmission héréditaire. La variance environnementale est la variance non expliquée par la génétique |
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Des études récentes démontrent que des différences génétiques pourrait amener des sujets à choisir un environnement plutôt qu’un autre : c’est l’inné de l’acquis ou la nature de la culture- Il existe 3 types de corrélations génotype-environnement (Plomin et al., 1977): |
1. passive : les enfants héritent passivement d’environnements familiaux corrélés avec leurs propensions génétiques. 2. évocatrice (ou réactif) : sur la base de leurs prédispositions génétiques, on va stimuler l’enfant dans ces prédispositions. 3. active : les individus recherchent ou créent eux mêmes des environnements corrélés avec leurs penchants génétiques. |
