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355 Cards in this Set

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V-F



Pour diagnostiquer un trouble mental,


les symptômes ne doivent pas nécessairement déranger l'individu.

faux


doivent avoir un impact absolument

Troubles neuro-développementaux:



(présent en jeune-âge)

- Handicap intellectuel


- Trouble de la communication


- Spectre de l'autisme


- TDAH


- Trouble d'apprentissage


- Trouble moteur: tics et autres


Autres


Troubles du spectre schizophrénique et autres psychoses

- Shizotypal
- Délirant
- Psychotique bref
- Schizophréniforme
- Schizophrénique
- Schizoaffectif
- Psychotique induit (substance, médical)

Troubles bipolaires:



(de l'humeur)



- Bipolaire I


- Bipolaire II


- Cyclothymique


- Induit


- Médical


Autres

Troubles dépressifs

(de l'humeur)

- "dysrégulation affective" (avant 10 ans)
- Dépressif majeur
- Bipolarité , cyclothymie
- Dysphorique persistant (dysthymie)
- Dysphorique prémenstruel
- Dépressif induit
autres

Troubles anxieux

- Anxiété de séparation
- mutisme sélectif
- phobie spécifique
- panique
- Anxieux généralisé
autres (induit, médical)

Troubles liés à un traumatisme:

- Trouble de attachement réactif


- Trouble de l'engagement social désinhibé


- Trouble de désorde de stress post-trauma


- Trouble de stress aigu


- Trouble d'adaptation


autres

Troubles somatiques:

- Somatic symptom disorder


- Illness Anxiety disorder


- Trouble de conversion


- facteurs psychotiques influençant condition médicale


- factice (fabriqués) *voir malingering*

Troubles de personnalité:


- depuis longtemps (début âge adulte)


- cognition, affect fonctionnement interpersonnel, impulsivité.



SPS


HANL


DEO




A (weird): Schizotypal, paranoïde, schizoïde


B (désagréable): Antisociale, narcissique, histrionique, Limite


C: Évitante, dépendante, obsessive compulsive



Troubles neurocognitifs:


-Délirium


-Démence (AD, Vasculaire, Lewy-Parkinson, Frontotemporal, trauma, VIH, Huntington's, vache folle )


-Trouble amnésique (ne sont plus une catégorie comme dans kaplan)


autres

Troubles associés aux substances

- utilisation abusive
- intoxication ou au sevrage

V-F


Le délirium présente souvent un problème médical chez les personnes âgées

Vrai, maladie souvent:



I WATCH DEATH= acronyme pour étiologies

Causes médicales de délirium



I WATCH DEATH





- Infectious (encephalite, meningite, UTI, pneumo)


- Withdrawal (alcohol, barbituriques, benzo)


- Acute metabolic disorder (electrolyte, hepa, renal)


- Trauma (head, post op)


- CNS pathology (Stroke, Hemorrage, tumor, seizure disorder, Parkinson's


- Hypoxie (anemie, cardiac, embolie pulmonaire


- Deficiencies (B12, folic, thiamine )


- Endocrinopathie (thyroide, glucose, para, surrénales)


- Acute vascular (shock, vasculitis, encephalopathie hypertensive)


- Toxins, substance, medics use (alcool, anticholinergiques, anesthésiques, narcotiques)


- Heavy Metals (arsenic, lead, mercury)






Délirium par causes d'intoxication ou sevrage,


exemples?

Alcool, Amphétamine, Cocaïne, Cannabis

Mécanisme physiopathologique du délirium:

- Relié à une baisse de l'activité cholinergique


- Atteinte de la formation réticulée et précisément le NT ACh.


- (Dorsolatéral + pedunculopontine nucleus)



* tous les Rx anticholinergiques (même tylenol)


- confusion, atteinte état conscience

Critères Dx de délirium


+


spécifications:



A) Attention et orientatio

B) short, fluctuating


C) Mood, cognition, alterations


D)pas coma ou autre neurocogn


E) prouvé cause directe


+ substance (intox ou sevrage), MédicCondition ou multiples


+ aigu ou persistant


+ hyper ou hypoactif, mixte

Implication clinique des signes vitaux dans le cadre d'un délirium.

- Bradycardie: (Hypothyroïdie, Syndrome de Strokes-Adams, HIC )


- Tachycardie (Hyperthyroïdie, Infection, Insuff. Cardiaque)


- Fièvre: Sepsis, vasculite, tempête thyroide


- TA hypo: Choc, hypothyroïdie, Addison disease


- TA hyper: Encéphalopathie, Masse intracrânienne


- Tachypnée: Db, pneumonie, IC, fièvre, Acidose métabolique


- Resp. Superficielle: alcool ou autre substance

Implication clinique des examens physiques si délirium:


- cou, raideur


- yeux


- bouche


- G. thyroide

- cou, raideur (Méningite, HSA)


- Papilloedème (tumeur, encéphalopathie, hypertensive)


- Dilatation pupillaire ( Anxiété, suractivité autonomique)


- Lacérations langue et joues (convulsions toniques-cloniques)


- Goître thyroïdien : hyperthyroïdie


Implication clinique des examens physiques suivant si délirium:


- Coeur


- Poumons


- Foie


- haleine

- Coeur: Arythmie (embolie, débit inadéquat), Cardiomégalie (insuff, HTA)


- Poumons : Congestion (pneumonie, insuff, oedème)


-Haleine : (Alcool vs acétone (diabète))


- Foie : Cirrhose, Insuff.hépatique

Implication clinique des examens physiques suivant si délirium:


- Neurologique

-Réflexes: (asymétrie+ babinski)= Masse, Maladie CV, démence préexistante


- Abducens (faib. regard latéral) = HIC


- Force segmentaire: Asymétrie (masse, maladie Cv)

DDx de délirium

* Désordres psychotiques (e.g. Schizophrénie) & bipolaires & dépressions avec caractéristiques psychotiques: Épisode incluant hallucinations, illusions perturbation du langage, EEG plus actif
* Trouble de stress aigu: Épisode incluant peur, anxiété, symptômes dissociatifs et dépersonnalisation
* Simulation (malingering) et trouble factice: Absence de condition médicale ou substance étiologique reliée à la perturbation
* Autres désordres neurocognitif: si le patient a un délirium surimposé à un trouble neurocognitif préexistant (e.g. Alzheimer) ou un trouble neurocognitif sans délirium.

Différences du délirium par rapport à la démence

- Aïgue (jours-semaines)


- Affect anxieux et irritable VS (labile et non anxieux)


- Awareness altéré


- Mémoire immédiate et récente VS (long terme)


- Hallucinations fréquentes


- Réversible

Tx de délirium

But premier : traiter la cause sous-jacente (réversible)


* Support physique, sensoriel et environnemental
* Pharmacologique


Psychose : Halopéridol:Antipsychotiques


Insomnie: Benzodiazépine (lorazépam)



Épidémiologie du délirium

* Personnes âgées hospitalisées (14-24%)70-87% aux soins intensifs
* 15-53% post-opératoire
* Prévalence dans la communauté : 1-2% (14% > 85 ans)
* Chez personnes âgées se présentant à l’urgence : 10-30%

Épidémiologie de la démence



et étiologies ( A,H,L,P,P,M,M,V,V, )







* Personnes âgées1-2% à 65 ans, 30% > 85 ans
* Alzheimer


Vasculaire


Mixte (AD et vasculaire)


Corps de Lewy


Pick's disease (Démence frontotemporale)


Médications


Prion


VIH


Huntington



Critères Dx de la démence (trouble neurocognitif majeur ou léger)



+


spécifications

A) déclin cognitif notable (moindre si léger) + même illusions/ hallucinations


B) Indépendance touchée (peu si léger)


C)pas un délirium


D) pas autres problème mental


+ origine


+ comportement ?


+ Sévérité (léger : AVD, moyen: AVQ, sévère: entière)

Démence de type Alzheimer disease



critères

1) Critères d'un trouble neurocognitif


2) Progression lente, atteinte cognitive


3) Critères spécifiques AD:


- Mutation génétique


- Mémoire+ sans plateau + pas d'étiologie mixte



**Survie en moyenne de 8 ans

Démence de type frontotemporale (Pick's Disease)



critères

1) Critères d'un trouble neurocognitif


2) Progression graduelle


3) Variation du Comportement ou language


4) Mémoire et perception motrice N


Démence vasculaire



critères

1. Critères remplis pour un trouble neurocognitif.
2. Étiologie - relié à un ou plusieurs évènements cérébrovasculaires.(plateaux) OU Évidence de déclin dans vitesse de Tx et fonction fronto-exécutive
3. Évidence d’une maladie cérébrovasculaire
4. Sx ne sont pas mieux expliqués par une autre maladie cérébrale ou maladie systémique.

Démence à corps de Lewy



critères


(2 base ou 1-1 pour probable)


(0-2 pour possible)

1) Critères pour troubles neurocognitif


2) Début insidieux, progression graduelle


3)Dx de base,core (fluctuation attention, hallucinations visuelles, parkinsonisme)


ou DX suggestives (délires, syncope, chutes, hallucinations non visuelles, sensibiliténeuroleptique sévère)




*Syndrome Capgras souvent



Éléments cliniques de la démence

* Retrait des activités, perte d’intérêt
* Perte des mémoires récentes
* Difficulté d’orientation
* Aphasie anomique
* Détérioration de la pensée abstraite et du jugement
* Labilité, hygiène peu soignée, blagues mal placées, expression faciale monotone ou apathique
* Fuite, déni ou rationalisation


20-30% des patients avec démence ont des hallucinations et 30-40% ont des illusions.



V-F

Vrai



illusion: déformation d'une réalité


hallucinations: pas de support extérieur



* surtout de nature paranoïde ou persécutrice et de nature non systématisée,

Cognitivement, quels changements peuvent s'opérer avec une démence?

* Aphasies
* Apraxies
* Agnosies
* Convulsions
* Réflexes primitifs

Démence sous-corticale,


distinction?


étiologie?




* Classiquement: Bisswanger's, Huntington, VIH

- pas d'aphasie


- dysarthrique (voies bulbaires)


- Stockage de la mémoire est moins atteinte (cortex épargné)


- Habiletés exécutives très atteintes


- tx cognitif ralenti tôt


- Apathique


- posture arquée ou étendue


- coordination altérée et mvts accidentels





V-F


L'anxiété, la dépression et l'éducation n'influence pas la démence

faux,


forte influence,


l'Éducation semble compenser et prévenir certaines démences

Pharmacothérapie pour la démence:


* Insomnie et anxiété : benzodiazépines
* Dépression : antidépresseurs
* Hallucination et illusion : antipsychotiques
* Ne pas prescrire anti-ACh à fort effet (delirium)


*Si AD: Mémantine (toxicité glut) , Donépézil (Ach)


Les nouvelles tendances expriment une plus grande incidence de problèmes mnésiques en raison de l'alcool et une diminution de cas liés aux traumas crâniens.

Faux


aug. pour traumas


dim. pour alcool

Étiologies des troubles mnésiques:


(inclus dans le DSM-5 comme troubles neurocognitifs touchant seulement la sphère de la mémoire)



P-C,A,S,H






- Se rapeller du circuit de PAPEZ:


Diencéphale : Thalamus: Md et midline + Lobe temporal moyen (hippocampe, c. mamillaires, amygdales)




- Systémique (déficit en thiamine, Alcool, Korsakoff)


- Hypoglycémie


- Cérébral (convulsions, trauma, tumeur,...)


- Abus de substances: Alcool, neurotoxines, benzodiazépines




La mémoire immédiate (6 nb à répéter) est souvent atteinte dans les troubles mnésiques



v-f

faux,


Working et short-term sont atteintes



*ne pas oublier: antéro, rétro...

4 critères Dx pour désordre mnésique

A) peut pas apprendre ou recall (antérograde, rétrograde)

B) social impairment, altération fonctionnement


C) pas une démence ou un délirium


D) évidence d'une cause par anamnèse, examen



Critères pour trouble neurocognitif majeur ou léger à trauma

1. Critères remplis pour un trouble neurocognitif. (déclin, dépendance, délirium, explicable)
2. Évidence trauma crânien (accident)= 1 critère: (perte conscience, amnésie, désorientation, signes neuro )
3. Problèmes depuis le trauma ou après avoir repris conscience.

Critères pour trouble neurocognitif majeur ou léger lié à une substance ou médication


1. Critères remplis pour un trouble neurocognitif. (déclin, dépendance, délirium, explicable)
2. Pas seulement délirium, persiste
3. Substance neurocognitivement dommageable
4. timing concordant
5. pas de meilleure explication

Exemples, causes de troubles mnésiques :




- CV: PCA, Basilaire (Hippocampe, Thal, L.occipital) peut donner Amnésie transitoire globale


- SEP: plaques lobe temp et diencéphale


- Korsakoff: moins de thiamine (alcool)


- Blackout à l'alcool


- Thérapie électroconvulsive (ancien tx de dépression)



V-f
les troubles mnésiques se résolvent bien.

faux,

Amnésie aigüe (global transitoire) peut se résoudre en quelques heures/jous ou celle d'un trauma en quelques mois. Mais généralement, peu d'amélioration dans la plupart des cas.




- dommages irréversibles

Démence dû à une infection au VIH





- Trouble neurocognitif


- infection documentée au VIH


- attention à une explication non-VIH


(méningite crytococcale ou leukoencéphalopathie progressive multifocale)


* Pattern sous-cortical : -Altération fonction exécutive- Baisse de la vitesse de traitement- Difficultés avec des tâches qui demandent beaucoup d’attention- Difficulté à apprendre de nouvelles informations (encodage)



* Un tiers à ½ des patients infectés ont au moins une perturbation neurocognitive légère, même si ces perturbations ne remplissent pas le critère de trouble neurocognitif

4 grandes parties de l'examen mental



CAPF

1) Comportement (allure, niveau d'activité, langage, coopération, disposition et attitude)



2) Affect, coloration émotive (vs humeur intérieure)



3) Pensée (cours, forme, contenu)



4) FMS

Qu'est-ce que



- l'Akathisie?


- Catalepsie?


- Cataplexie?


- Carphologie?


- échopraxie = mimétisme



dans l'évaluation du niveau d'activité du comportement

*L’akathisie induite par les antipsychotiques, incapacité à rester en place
*La catalepsie est la diminution de la réponse à l’environnement avec le maintien d’attitudes corporelles imposées et plastiques.
*La cataplexie est la perte du tonus musculaire provoquée par une trop forte émotion.
*Carpho: grattage, gripping toujours sur un objet


*Échopraxie=répéter ce que l'autre fait.

Qu'est-ce que



la logorrhée?


Pression du discours?


*Logorrhée: qui est une surabondance du discours avec une vitesse accélérée (manie)
*Pression: le patient à tendance à poursuivre son monologue sans accepter d’interruption.

Différence entre opposition passive et oppositionnisme

- opposition légère persistante, désagréable


VS


- fait l'inverse de ce qui est demandé par l'autorité

Différence entre disposition et attitude

- Idées et sentiments encadrant la manière de se voir. (estime, identité et sécurité)





- Attitude: fonction affective lorsqu'il rentre en relation avec autrui. (disposition face aux autres)

Types classiques d'affect:




coloration émotionnelle qui accompagne la pensée


- Anxiété (peur normale ou pathologique: phobie, hypocondriaque, panique)


-tristesse,


-méfiance





Tandis que l'Humeur est l'état affectif global intérieur peut être expansive (trop positive: euphorie - exubérance - exaltation - extase ) ou non


*Attention*



- Alexithymie: pas traduire émotions en langage


- Labile si variations rapides


- dysphorie si sentiment désagréable persistant



- L’anhédonie est l’absence de plaisir.


- L’apathie est une absence de réaction à quoi que ce soit.


- La perversion est la viciation de l’intérêt


V ou F-


Jacques a perdu son chien. Il y était très attaché.
Depuis 2 mois, il a un affect dépressif.

faux,
la dépression est un Dx.
l'affect peut par contre être triste

Cours de la pensée:


-Glossolalie:


-Métonymie:

- Jargon incompréhensibles


- Parler en métaphores, maximes

V-F


Grâce à de bons arguments, un psychiatre peut rapidement sortir un patient de son délire



faux, idées très fixes



ex:


- expansif ou rétractif (Schneideriens: contrôle ou écho de la pensée)


- congruent ou non-congruent à l'affect


- paranoïdes (persécution, mégalomanes, mythomanes)


- systématisé (cohérents) ou non-systématisé ( pas justification interne)


- hallucinations cénesthésiques (mobilisation passive) et synesthésies: mélange des sens


- hypnagogiques vs pompiques (au réveil)

Hallucination vs illusion

Ilusion: objet réel, déformation d'un support extérieur



hallucination: inventée

5 niveaux d'intensité décroissant du sensorium

1) Clair: intéractions
2) somnolence : réveillable, pas clair
3) obnubilation: hypertonie opposition
4) stupeur: légère comm. voix ou yeux
4.1) psychogène, catatonique du schizo et stupeur du dépressif
5) coma: modéré (douleur), profond: plus de tonus, dépassé: respiration par machine

Si jacques est capable d'étudier dans la cafétéria sans être dérangé par le bruit. On dira qu'il est:

hyperprosexique.



* se rappeler de l'attention primaire vs attention secondaire

Par quel test pouvons-nous déceler l'atteinte la plus précoce de la démence?

Le test de l'horloge pour l'habileté constructionelle.

Jugement pratique vs social:

pratique: lettre , incendie, situation



social: conduites appropriées dans relations interpersonnelles.

V-F


L'intelligence s'inscrit dans un modèle dynamique de pensée

vrai

Différence entre:


- délire


- delirium


- trouble délirant


- démence



-délire (en anglais delusion qui est un trouble de la pensée)


-delirium (delirium en anglais qui est un état de confusion caractérisé par une atteinte de l’état de conscience)


-trouble délirant (delirious disorder en anglais qui est une psychose avec un délire crédible


-la démence (en anglais dementia qui se caractérise par une atteinte de fonctions cognitives)


De quoi parle-t-on ?




Ensemble de troubles psychopathologiques qui ont en commun les deux traits suivants:





1.Les symptômes attaquent la pensée, l’affect ou la conduite et qui sont des manifestations inconscientes d’un conflit non résolu


(Coping névrotique)



2.Le maintien du contact avec la réalité. C’est pourquoi le patient vit ses symptômes comme incontrôlables mais il peut les reconnaître comme anormales.

Névrose




Formation réactionnelle


Refoulement


Annulation rétroactive


Intellectualisation


Déplacement



V-F



durant une psychose, le patient garde un contact avec la réalité

faux,



par définition,


syndrome qui amène une perte de contact avec celle-ci.

V-F


La psychothérapie s'inscrit comme un continuum entre la psychanalyse et le comportemental

vrai


- Psychanalyse (patient stable et réflectif , passivité, émergence de l'inconscient, insight: interprétation des conflits, fréquence et $$$)



- Comportemental (trop d'actions, voir non-éthique)

Défenses matures




A-A-A-S-S-H

- Affiliation: demander aide aux autres


- Altruisme: se dédier aux autres


- Anticipation: préparer à affronter


- Humour: utilisation de l'humour


- Sublimation: pulsions maladaptées en comportements acceptés


- Supression: évite de penser au stress



Défense névrotiques




F-R-A-I-D

-Déplacement


-intellectualisation


-refoulement


-formation réactionnelle: fait l'opposé de ce qu'on ressent


-annulation rétroactive

défenses immatures:




D-I-C-A-F-P-P

- Déni


- Identification projective: projection de nos sentiments + identification à sa réponse pour gérer ses sentiments.


-Clivage: séparation des objets


- Acting out: comportements inappropriés


- Fantaisie autistique: monde intérieur


- Passif-aggressif: expression indirect de sentiments agressifs


- Projection: attribution de ses sentiments à un autres

V-F


La psychothérapie ne permet pas d'influer concrètement le fonctionnement cérébral.


Faux


Changements cérébraux en Psychotherapie sont réels et démontrent l’efficacité de ces méthodes

Quelles sont les 4 grandes classes de psychotropes ?


- les Antidépresseurs (AHC, ISRS, IMAO)


- les neuroleptiques ou antipsychotiques (1,2,3)


- les benzodiazépines ou anxiolytiques


- les stabilisateurs de l'humeur (lithium, anticonvulsivants)

Mécanisme général des antidépresseurs


les antidépresseurs augmentent la disponibilité de la norépinephrine (cereleus) et/ou de la sérotonine (raphé) au niveau de la synapse



récepteur 5ht-1a fait que le Tx devient efficace après 3 semaines. Inhibe activité cellulaire

Types d'antidépresseurs et particularités, EI

1) Hétérocycliques (AHC): Imapramine, Tofranil, très toxique si surdose (attention suicide)


2) Inh. Sérotonine (ISRS): Prozac (fluoxétine), moins d'EI, mais pas #1 pour dépression


3) Inh. Mono-oxydase (IMAO): a=NA,sero et b=dopamine. EI semblable AHC, attention HTA avec nourriture. (diète spéciale). Bon pour dépression atypique hyperphagique


4) Autres:


- Trazodone (5-HT2)- sommeil


- Venlafaxine (Séro > et NA)


- Bupropion : bipolaire, antitabac (bloque recapture NA, Dopamine


- Réméron: a2 (aug, Na et sero) - Dépression + Insomnie

Syndrome de sevrage ou d'interruption des antidépresseurs si arrêt de la prise après 4-5 semaines au lieu de finir le Tx jusqu'à 6 mois.



(surtout IMAO)

- Symptômes somatiques généraux: léthargie,céphalées, tremblements, sudation, anorexie



- Altération du sommeil: cauchemars, insomnie



- Symptômes gastro-intestinaux: nausées



- Symptômes neurologiques: étourdissements, vertiges, ataxie paresthésies, “chocs électriques” (rare avec ATC)




- Symptômes affectifs: irritabilité, anxiété, agitation, humeur dépressive

Mode d'action du lithium comme stabilisateur de l'humeur dans le trouble bipolaire.



E.I

- Modifie la concentration du calcium intraneuronal et modifie ainsi la neurotransmission.



Modérés initialement = (No/Vo).


* Attention hypothyroïdie à long terme chez femme. (réversible par contre).


* Attention insuffisance rénale.


* Attention si combine avec antiHTA ou AINS



Dosage sanguin.


(Lithémie entre 0,6-1,2 mmol/L optimale)

Mode d'action des anticonvulsivants


(Carbamazépine, Acide Valproïque, Lamotrigine) comme stabilisateur de l'humeur. (bons pour bipolaires)

Consistent entre autre à modifier la neurotransmission en réduisant l’activité neuronale par blocage des canaux calciques et du sodique.
**Attention effet tératogène (1er trimestre), spina bifida (acide val)
- Carbamazépine risque bloc AV + attention à SIADH (hyponatrémie)

Antipsychotiques: classifications selon génération.

Utilités

1ere (conventionnels): Halopéridol, chlorpromazine (dopa plus que 5-Ht )



2e (atypiques): clozapine,risperidone, olanzapine. (5-Ht plus que dopa)


3e : aripriprazole (Bloqueur et Agoniste dopamine, réduit dyskinésies)

- Dépression psychotique, avec/sans manie
- Gilles de la Tourette
- Psychose médicale (tumeur, parkinson, démence)
- Psychose par drogues
- TOC


- Schizophrénie

Mécanismes des antipsychotiques ou neuroleptiques

-Blocage du récepteurs dopaminergiques D2



-1ere G: D2> 5ht-2a (parkinsonisme)


-2e: D2< 5ht-2a (S.métabolique)


-3e: comme 1ere + agoniste Dopaminergique

Classes et Indications des anxiolytiques.

Selon demi-vie


Tiazolam- Halcion <4h


Lorazépam <12h - Ativan


Clonazepam 48h-Rivotril


Diazépam - Vallium





-Anxiété -Somnifère - Sevrage d'alcool- Agitation- dystonie- dyskinésie, catatonie, impatience, spasmes- délirium- épilepsie

Mécanisme d'action des anxiolytiques

Agonistes GABAa des Benzo: entrée du chlore post-synaptique hyperpolarisation





* Présence de GABA nécessaire


* pas de prescription si dépendance alcool. dépendance croisée par site sur GABAa (sauf si traitement de sevrage)





E.I: effets indésirables léthargique, confusionnelle, amnésique et pire, insomnie ou anxiété rebond

V-F


Le sevrage aux benzodiazépines est rapide.

faux


long processus avec plusieurs Sx possibles. Soutien psychologique nécessaire.

2/3 types de psychostimulants



mécanisme d'Action:



effet secondaire associé

- dextroamphétamine (adderall)


- méthylphénidate (ritalin, concerta)





- magnésium pemoline





- par PKC, libération des vésicules synaptiques et favorise la libération de la dopamine et la noradrénaline (surtout- comme speed)


- Bloque la recapture de la dopamine et de la noradrénaline (comme cocaïne)



- Psychose possible



Facteurs Biologiques prédisposant à l'abus de substances

- Génétique: altération des gènes affectant la production de dopamine (alcool)



- NT : manque physiologique d’un NT ou activité trop élevée d’un antagoniste au NT prédisposent à une dépendance à ce NT (opioïdes, catécholamines, GABA)



- Récepteurs à NT : L’utilisation de substances à long terme engendre la modulation des récepteurs faisant en sorte que la substance est nécessaire à l’homéostasie. (HABITUATION)




- Effet de la substance : tolérance (accélère de la développement de la dépendance), dépendance, sensibilisation.

Facteurs ou phénomènes psychologiques prédisposant à l'abus de susbstances.



plutôt: exemples de conditionnement

1) Renforcement positif immédiat :


Met fin à la Douleur, anxiété ou dépression, Euphorie, plaisir, Atténuation des effets de sevrage





2) Renforcement secondaire:


Le matériel et les comportements associés à la substance peuvent être des renforcements secondaires. La disponibilité de la substance aussi





3) Apprentissage par conditionnement:


Par stimuli environnementaux. Expérimentation de sevrage ou envie urgente conditionnés (négatif)


3 types de substances selon effet pharmaco sur le CNS:


(types de psychotropes)

1) Psycholeptiques: Sédatifs psychiques: alcool, opïoides, sédatifs, hypnotiques, anxiolytiques, GHB



2) Psychoanaleptiques: Stimulants psychiques: Amphétamine, Cocaïne



3) Psychodysleptiques: Hallucinatoires : cannabis, hallucinogènes, anesthésiques

V-F


Par les comorbitiés associées à l'abus de substances, environ 25% des dépendants ont 2 ou plusieurs problèmes psychiatriques en même temps

faux, beaucoup plus que 25%, 50%




L'abus de substance (selon substance) prédispose à des désordres psychotiques, bipolaires, dépressifs, anxieux, obs-compul, sommeil, délirium, dysfonction sexuelle, neuro-cognitif.



et bien sûr : dépendance, intoxication, sevrage

Quel(s) troubles sont souvent disposé à avoir des dépendances à une substance.

- TP Antisociale: 35-60% (avant ou après substance)



- Trouble de l'humeur: Dépression. Dépendance au opïoides (30-50%) et alcool (40%)





*ne pas oublier le suicide

Critères communes pour problème d'utilisation d'une substance.



2/11 pendant 12 mois.

Perte de contrôle (1-4)


1. X est consommé plus que prévu


2. Désir de diminuer consommation de X


3. Beaucoup d'effort pour se procurer X


4. Envie d'utiliser X


Dysfonction sociale (5-7)


5. X entraîne echec à remplir obligations


6. problèmes sociaux et interpersonnels par X


7. Abandons activités sociales par X


Prise de risque (8-9)


8. Consommation de X dans contexte physiquement hasardeux


9. Consommation malgré prob physique.


Physiologique (10-11)


10. Tolérance présente


11. Sevrage présent

Critères d'une intoxication à l'alcool.

- Ingestion récente d’alcool



-Changements comportementaux ou psychologiques inadaptés cliniquement significatifs (e.g. comportement sexuel ou agressif inapproprié, labilité de l’humeur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’ingestion d’alcool



-Au moins un des signes suivants, se développant pendant ou peu après la consommation d’alcool :


Discours bredouillant, Incoordination motrice, Démarche non stable, Nystagmus, Altération attention/mémoire, Stupeur ou coma




-Les Sx ne sont pas dus à une affection médicale générale, et ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental

Signes d'un sevrage à l'alcool


G1:


G2: hallucinations


G3: convulsions


G4: délirium

- Hyperactivité neurovégétative (transpiration, FC > 100)


- ↑ du tremblement des mains


- Insomnie


- Nausées ou vomissements


- Hallucinations ou illusions transitoires visuelles, tactiles ou auditives (spécifier si présentes, réalité ou non (psychose)) - G2


- Agitation psychomotrice


- Anxiété


- Crises convulsives de type grand mal (tonico-clonique)- G3

Mécanisme et effets des stimulants. (Amphétamines: MDMA, Meth)


Relâchement de catécholamines (dopamine surtout) des neurones présynaptiques :



- Surtout neurones de l’aire tegmentale ventrale du mésencéphale qui projettent au cortex et aires limbiques (SNcompacta+ Ventrale)



-CIRCUIT DE LA RÉCOMPENSE: Mécanisme principal de l’addiction passerait par l’activation de ce circuit



si relâche Sérotonine en plus = hallucinations dans le cas de la MDMA (ecstasy )


Critères ou plutôt signes d'une intoxication aux stimulants


+ Cocaïne est semblable

Changements comportementaux (e.g. euphorie ou émoussement affectif, changement de la sociabilité, hypervigilance, sensitivité interpersonnelle, anxiété/tension/colère, comportements stéréotypés, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après la prise d’un stimulant.





Au moins deux des signes suivants, se développant pendant ou peu après la prise d’amphétamine ou d’une substance apparentée : Tachycardie ou bradycardie, Dilatation pupillaire, ↑↓ TA, Transpiration ou frissons, Nausées ou vomissements, Évidence de perte de poids , Agitation ou ralentissement psychomoteur, Faiblesse musculaire, dépression respiratoire, douleur thoracique ou arythmies cardiaques, Confusion, crises convulsives, dyskinésies, dystonie ou coma


Signes d'un sevrage aux stimulants

Humeur dysphorique + 2 changements:


- fatigue


- Rêves intenses et déplaisants


- Insomnie ou hypersomnie


- hausse appétit


- Agitation ou ralentissement psychomoteur

Mécanisme pharmacologique du cannabis et effets.

Récepteur cannabinoïde dans NGC, Hippocampe et cervelet.


inh. adenyl cyclase = effet moteur et cognitif plutôt long (5h-12h).





-À court terme: Hypotension orthostatique, Augmentation de l’appétit, Bouche sèche





-À long terme: Atrophie cérébrale, Susceptibilité aux convulsions, Dommages chromosomiques, Réactivité immunitaire altérée, Dérégulation des cycles menstruels, Altération des concentrations de testostérone


Critères importants d'une intoxication au cannabis

- Changements comportementaux (altération de la coordination motrice, euphorie, anxiété, sensation de ralentissement du temps, altération du jugement, retrait social) qui se sont développés pendant ou peu après la prise de cannabis.



- Au moins deux des signes suivants, se développant dans les deux heures suivant l’utilisation de cannabis :


Conjonctives injectées (rouge), ↑ appétit, Sècheresse de la bouche, Tachycardie (compensant l’hypotension?!)



*Spécifier si hallucinations!!

Critères impotant d'un sevrage au cannabis:



les 2 autres =


- altération fonctionnement social, professionnel


- pas mieux expliquer par autre trouble

1) Arrêt (ou réduction) d’une utilisation de cannabis qui a été massive et prolongée (à tous les jours ou presque pour quelques mois)



2) 3 des critères suivants se sont développés une semaine après le Critère A :


Irritabilité, rage ou agressivité, Anxiété ou nervosité, Difficulté à dormir (insomnie, rêves dérangeants), Baisse de l’appétit et perte de poids, Agitation, Humeur déprimée, Au moins un des Sx physiques suivant causant un inconfort significatif : DLR abdominale, tremblements, sudation, fièvre, frissons ou céphalées.


Mécanisme de la cocaïne

1) Blocage de la recapture de la dopamine : Augmentation de l’activité de la DA au niveau autant de D1 que D2




2) Blocage de la recapture de NA et sérotonine aussi

Critères importants d'intoxication aux opïoides



+ spécifier si perturbations des perceptions!

- Changements comportementaux (euphorie initiale suivie par de l’apathie, dysphorie, agitation ou ralentissement moteur, altération du jugement) qui se sont développés pendant ou peu après l’utilisation d’un opiacé



- Constriction pupillaire (ou dilatation pupillaire due à l’anoxie en cas de surdose grave) et au moins un des signes suivants, se développant pendant ou peu après l’utilisation d’opiacés :


- Somnolence ou coma


- Discours bredouillant



- Altération de l’attention/mémoire

Si on arrête l'utilisation d'un opïode après son utilisation pendant plusieurs semaines


ou


si on admninistre un antagoniste opiacé à un consommateur fréquent





Quels signes ou Sx peuvent être manifestés?

- Humeur dysphorique,Nausées/vomissements, Douleurs musculaires, Larmoiement ou rhinorrhée, Dilatation pupillaire, piloérection, ou transpiration, Diarrhée, Bâillement, Fièvre, Insomnie

Mécanisme et effet des hallucinogènes, anesthésique dissociatifs



exemple: PCP ou phencyclidine

- agonistes partiels de récepteurs sérotoninergiques-5-HT2


- Sympathicomimétique: HTA, tachycardie, hyperthermie, dilatation pupillaire


+ nystagmus, engourdissement, ataxie, dysarthrie, rigidité, convulsions, hyperacousie



-spécifier si perceptions perturbées


Critères d'intoxication aux hallucinogènes en général (pas juste PCP)

- changements comportementaux


- Altérations des perceptions


-2 signes sur suivants: Dilatation pupillaire, Tachycardie, Transpiration, Palpitations, Vision trouble, Tremblements, Incoordination motrice


Mécanisme pharmacologique des sédatifs anxiolytiques (Benzo-Diazépam,Lorazépam ou Barbituriques) et utilités



*troubles particuliers pouvant être induits

Agonistes de GABAa (Cl- post synaptique)


traiter insomnie et anxiété. Synergie avec alcool.



- peut induire un délirium de SEVRAGE


- peut induire une démence persistante

Critères importants pour intoxication aux sédatifs ou anxiolytiques:

1) Changements comportementaux: (comportement sexuel ou agressivité inappropriés, labilité de l’humeur, altération du jugement, altération du fonctionnement social ou professionnel)



2) 1 signe: Discours bredouillant, Incoordination motrice, Démarche ébrieuse , Nystagmus, Altération attention/mémoire, Stupeur ou coma

Sevrage aux sédatifs, anxiolytiques:



signes présents:

2/8:


- Hyperactivité neurovégétative (transpiration, FC >100 )


- Tremblement des mains


- Insomnie


- Nausées et vomissements


- Hallucinations


- Agitation psychomotrice


- Anxiété


- Grand mal (convulsions)

Mécanisme et effets du GHB



- GABAb,


- 5ht,GHB, Ach,


- hormone croissance


-co-consommation fréquente


- anabolisant (culturistes)


durée: 2-4h


= désinhibition comme alcool


aphrodisiaque comme MDMA


- Altération de la conscience




Effets intoxications:


- Nausée, vomissement, Prob.respiratoire, convulsions, coma, Mort

V-F


Jean-Marc est borderline depuis sa naissance.

faux,


on développe un trouble de personnalité durant l'enfance, on ne nait pas avec.



on peut avoir des traits. Mais si on évolue vers une altération du fonctionnement et une souffrance significative. On va parler d'un trouble si a, en plus, déviation de 2 de ces domaines : cognition, affectivité, fonctionnement interpersonnel, contrôle des impulsions

Troubles de la personnalité:


- A: Weird, Mad (SPS)


- B: Wild, Bad: (ALHN)


- C: Wimpy, Sad: (DEO)



+ autres

- Schizoïde, Paranoïde, Schizotypique



- Antisocial, Limite, Histrionique, Narcissique



- Évitant, Dépendant, Obsessif-compulsif





+ autres: Passive-agressive, sadomaso, dépressive, sadiste




Trouble de la personnalité paranoïde





à distinguer d'une schizophrénie, trouble humeur psychotique ou effet direct d'une affection médicale générale

Méfiance soupçonneuse envers les autres


4/7:



- doute de tromperies, exploitation


- loyauté ou la fidélité de ses amis ou associés


- Est réticent à se confier à autrui en raison d’une crainte injustifiée que l’information soit utilisée de manière perfide contre lui


- Discerne des significations cachées, humiliantes dans des commentaires ou anodins


- Rancunier, c’est-à-dire ne pardonne pas d’être blessé, insulté ou dédaigné


- Perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, irritabilité



- Met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint ou de son partenaire sexuel

V-F


La thérapie de groupe est un moyen efficace pour traiter un trouble de la personnalité paranoïde

Faux.


Conservation relation de confiance et tolérance.



+


Diazépam(vallium) pour anxiété


Halopéridol comme antipsychotique typique

Trouble de la personnalité schizoïde:





à distinguer d’une schizophrénie, d’un trouble de l’humeur avec psychose, d'un trouble du spectre autistique ni d'une affection médicale générale

Détachement de rapport social, restrictions émotionnelles


4/7


-ne recherche pas les relations proches y compris les relations familiales


- Choisit presque toujours des activités solitaires


- pas d’intérêt pour les relations sexuelles avec d’autres personnes


- N’éprouve du plaisir que dans de rares activités


- N’a pas d’amis proches ou de confidents, en dehors de ses parents du premier degré


- Semble indifférent aux éloges ou à la critique d’autrui


- Fait preuve de froideur, de détachement, ou d’émoussement de l’affectivité

Tx intéressants d'un trouble de la personnalité schizoïde



(thérapie + pharmaco)

- Thérapie de groupe (contact social)


- Introspection (fantasme, peurs)




- Benzo (anxiété)


- Antipsychotiques, antidépresseurs


- psychostimulation


- Agents sérotoninergiques (rejet)

Trouble de la personnalité schizotypique






*N.B peut coexister avec un trouble limite (borderline)

Déficit social, gêne, distortions cognitives et perceptuelles


5/9:


- Idées de référence (non délirantes)


- Croyances bizarres ou pensée magique


- Perceptions inhabituelles, illusions corporelles


- Pensée et langage bizarres


- Idéation méfiante ou persécutrice


- Inadéquation ou pauvreté des affects


- Comportement ou aspect bizarre, excentrique ou singulier


- Absence d’amis proches ou de confidents en dehors des parents du premier degré


- Anxiété excessive en situation social

Trouble de la personnalité antisociale





depuis 18 ans


troubles débutant avant 15 ans.





*Attention distinguer de schizophrénie ou trouble bipolaire

Mode général de mépris et de transgression des droits d’autrui qui survient depuis l’âge de 15 ans, 3/7 des manifestations suivantes :


- Comportements illégaux


- Tendance à tromper par profit ou par plaisir,


- Impulsivité ou incapacité à planifier à l’avance


- Irritabilité ou agressivité, indiquées par la répétition de bagarres ou d’agressions


- Mépris inconsidéré pour sa sécurité ou celle d’autrui


-Irresponsabilité persistante,(emplois instables ou obligations financières)


- Absence de remords

V-F


Un prisonnier avec un trouble de personnalité antisociale n'est pas nécessairement plus enclin à une dépendance à la cocaïne.

faux


personnalité antisociale est beaucoup associée à un abus de substance.


Trouble de la personnalité limite:

au moins 5/9 des manifestations suivantes :


- Éviter les abandons


- l’alternance entre des positions extrêmes d’idéalisation excessive et de dévalorisation


- Perturbation de l’identité (instabilité marquée)


- 2 comportements auto-destructeurs (dépenses, sexualité, toxicomanie, conduite automobile dangereuse, crises de boulimie)


- Répétition de comportements, de gestes ou de menaces suicidaires, ou d’automutilations


- Instabilité affective due à une réactivité marquée de l’humeur


- Sentiments chroniques de vide


- Colères intenses et inappropriées



- idées paranoïdes ou Sx dissociatifs sévères dans situations de stress

V-F


Il est plutôt difficile de faire une thérapie à un trouble limite.

vrai


- Régression et identification projective au thérapeute


- Thérapies de groupe efficace (dilution du transfert)


- DBT, MBT, TFT



*Médication n'est pas le Tx de choix


Trouble de la personnalité histrionique





*N.B peut être présente avec une personnalité limite.


Réponses émotionnelles excessives et de quête d’attention, qui apparaît au début de l’âge adulte:


5/8:


- Au centre de l’attention d’autrui


- séduction sexuelle inadaptée


- Expression émotionnelle superficielle et rapidement changeante


-Utilise régulièrement son aspect physique


- Manière de parler trop subjective


- Dramatisation, théâtralisme


- Suggestibilité, est facilement influencé par autrui ou par les circonstances



- Relations plus intimes qu’elles ne le sont en réalité

2 mécanismes de défense très utilisés par l'histrionique

Régression et dissociation (détachement de la réalité)

Trouble de personnalité Narcissique

Comportements grandioses, besoin d'être admiré, manque d'empathie


5/9:


- Sens grandiose de sa propre importance


- Fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté ou d’amour idéal


- Besoin d'institutions de haut niveau


- Besoin excessif d’être admiré


- Tout lui est dû (traitement particulier)


- Exploite des relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins


- Manque d’empathie : n’est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d’autrui


- Envie souvent les autres, et croit que les autres l’envient



- Comportements arrogants et hautains

Trouble de la personnalité évitante

Inhibition sociale, infériorité, hypersensibilité


4/7:


- Évite les activités sociales, crainte d’être critiqué


- Réticence à s’impliquer avec autrui à moins d’être certain d’être aimé


- Est réservé dans les relations intimes par crainte d’être exposé à la honte ou au ridicule


- Craint d’être critiqué ou rejeté dans les situations sociales


- Sentiment de ne pas être à la hauteur


- Se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur aux autres


- Réticent à s’engager dans de nouvelles activités par crainte d’éprouver de l’embarras

Pourquoi des antagonistes adrénergiques sont-ils utiles pour un trouble de personnalité évitante ?

Suractivité du système de peur autonome sympathique.





*ne pas négliger administration de:


- sérotonine: (rejet)


- dopamine (nouveauté)

Trouble de personnalité dépendante

soumission, peur séparation, "collant"


5/8:


- prise de décision difficile sans être rassuré


- assumer responsabilité


- exprimer un désaccord


- initiation de projets, manque de confiance


- se porte volontaire, choses désagréables


- impuissance lorsque seul, crainte


- relation à autre relation


- préoccupations par crainte d'être laissé seul

V-F


Lors de la thérapie d'une personne dépendante, il est approprié de lui dire quoi faire.

faux,


il faut que le patient développe son autonomie.

Trouble de personnalité obsessionnelle compulsive





*différence entre


POC (TP) < TOC (Obsession et compulsion précise)

Préoccupation par l'ordre, la perfection.


4/8:


- Préoccupations pour les détails au point que le but principal de l’activité est perdu de vue


- Perfectionnisme qui entrave l’achèvement des tâches


- Dévotion excessive pour le travail et la productivité à l’exclusion des loisirs et des amitiés


- Est trop consciencieux sur des questions de morale, d’éthique ou de valeurs


- Incapacité de jeter des objets usés


- Réticence à travailler avec autrui


- Se montre avare avec l’argent (précaution)


- Se montre rigide et têtu

V-F


Les POC recherchent de l'aide

Vrai.


c'est le seul trouble de personnalité égodystone + pas d'alloplastie

Trouble de personnalité autre:


personnalité passive-agressive



particularités?

- Obstructionnisme dissimulé: résistance


- Relation de dépendance: autodestructeur


- Procrastination


- Entêtement: reste dans relations de dépendance


- Inefficacité


- Manque d'assurance

Quels sont les 4 tempéraments possibles à la naissance ?



influence génétique/biologique de notre personnalité

- Harm avoidance


- Novelty seeking


- Reward dependance


- Persistance

5 Phases de la mort annoncée selon Kubler Ross



(CDCMDA)

1) Choc, Déni


2) Colère


3) Marchandage


4) Dépression: voir si pas DM


5) Acceptation

V-F


Une altération du fonctionnement et des hallucinations font parties d'un deuil pathologique

Faux


- Deuil normal: comme épisode dépressif (sauf pas de Sx de culpabilité, d'inutilité, Id suicidaires, ou ralentissement psychomoteur)





- Deuil pathologique: plus de 12 mois + interférence avec fonctionnement individu

Différence entre les affects dans un deuil


vs


une dépression

Deuil:


- vide


- émotions positives parfois, estime de soi aussi




Tandis que, Dépression:


- incapacité d'avoir du plaisir ou du bonheur


V-F


Afin de remédier au problème d'insomnie lors d'un deuil normal, une prescription d'anxiolytique ou d'antidépresseurs est efficace

faux


Ce n'est pas indiqué, nuit à la progression et résolution d'un deuil normal

Quels sont les types de bipolarité (troubles de l'humeur), selon le DSM-5?

1) Bipolarité type I: avec manie (1 semaine)


2) Bipolarité type II: hypomanie (4 jours)


3) Cyclothymique: type II léger, chronique, pas atteinte des critères


4) Induit par une substance ou reliée à une condition médicale

Quels sont les troubles de l'humeur inclus dans les troubles dépressifs, selon le DSM-5?

1) Trouble de dérèglement de l’humeur: colère de 6-18 ans


2) Dépression majeure (2 semaines)


3) Dysthymie ( chronique)


4) Trouble dysphorique prémenstruel


5) reliée à une substance ou à une condition médicale


Étiologie(S) générales des troubles de l'humeur:


- Environnemental


- Génétique


- Biologique


- Psychodynamique


- Cognitivisme


- Neuroendocrinienne

- Environnemental : facteurs sociaux (pauvreté) , divorces


- Génétique: très forte corrélation familiale, chromosomes 18, 21q, 22q


- Biologique: transmission monoaminergique


- Psychodynamique: relation mère-enfant et les mécanismes de défenses


- Cognitivisme: triade de Aaron beck, impuissance acquise


- Neuroendocrinienne: (HPA dysfunction, axe stress)

Influence NT sur troubles de l'humeur

Manie: NA et DA élevées


Dépression: NA, DA et sérotonine basse





Sur HPA:


- Sérotonine, DA, GABA = dim cortisol (pas stress) = manie




-+++ Ach, NA, CRH = aug cortisol= dépression


cortisol: glut = neurotoxicité


Critères d'une épisode maniaque


(bip type I)

- plus 1 sem: Humeur expansive, élevée, même irritable


au moins 3/7:


- nouveaux projets, estime de soi, baisse du besoin de dormir, loghorrée, distractibilité


- Altération fonctionnement social,


- Non-induit par autre substance ou condition médicale


Critères d'une épisode hypomaniaque


(bip type II)

A- plus de 4 jours


B- 3/7 Sx identique épisode maniaque


C- changements par rapport à individu ASx


D- Observés par les autres


E- pas de détérioration du fonctionnement social


F- pas attribuable aux effets physiologiques d'une substance ou condition médicale


Critères d'une dépression majeure



A) 5/9, pendant au moins 2 semaines:


- Humeur dépressive (par les pairs)


- Baisse intérêt et plaisir


- perte ou gain de poids (5% en 1 mois) , insomnie ou hypersomnie, agitation ou ralentissement psychomoteur, fatigue ou perte énergie, dévalorisation ou culpabilité, perte de concentration, idées noires


B) détresse, altération sociale, occupationnelle


C) Non-attribuable à autres troubles


D) pas schizoaffective, schizophrène


E) pas d'épisode maniaque


+ spécifications: anxieuse, mixed, mélancolique, atypique, psychose, mood-congruent, peripartum, season pattern


+ récurrente ou non


+ Mild (2), Moderate (3-4), Sev (5-9)

Critères trouble bipolaire type I

A) Critères d'épisode maniaque


B) Dépression pas schizo-associated ou autres troubles médicaux


+ spécifications: anxieuse, mixed, mélancolique, atypique, psychose, mood-congruent, Catatonie


- Peripartum (4 sem)


- Season pattern (SAD)

V-F


Par leur tristesse, les patients en période dépressive ont tendance à minimiser leur Sx

faux,


hyperboles à propos de leur Sx. Difficile de les convaincre d'une amélioration possible


V-F


Les altérations perceptuelles sont rares durant une épisode maniaque

faux,


75% ont des psychoses (hallucinations, illusions)


habituellement congruentes avec l'humeur (grandiosité, grande richesse, habilités extraordinaires ou pouvoir)



Ils conservent toutefois leur orientation et la mémoire.

DDx des troubles de l'humeur (Bipolaire surtout)


- médicale:


- neurologique:


- pseudodémentiel:


- Autres prob mentaux:

- médicale: EBV, Thyroidie, SIDA, Médics


- neurologique: Parkinson, AD, Épilepsy, Tumeur


- pseudodémentiel: peu bavard, variation diurne vs confabulation et constance d'une démence


- Autres prob mentaux: alcool, anxiété, alimentaire, schizo, somatoforme, ADHD, Troubles de personnalité (Borderline, narcissique, histrionique, antisocial)

V-F


Jacques a pris du prozac (fluoxetine) pour sa dépression, il est a développé des idées de grandeur et une épisode maniaque 1 mois plus tard.


Par les récents événements, il est bipolaire type I

faux,


son épisode maniaque est le résultat de sa médication antidépressive.


Impossible de Dx la bipolarité ainsi




Ce sera Trouble bipolaire induit par substance/médication

V-F


Des épisodes dépressifs réfractaires à 3 types d'antidépresseurs sont indicateurs de bipolarité

vrai.



autres stats:


- 1 manie = 90% trouble d'humeur


- 60% des manies= précèdent dépressif majeur


-10 à 20% = épisodes uniquement maniaques

Seuil pour considérer bipolarité de type I avec spécifiation de rapid cycling

au moins 4/ année



avec au moins 2 mois entre chaque épisode

V-F


Bipolarité II plus commune chez les femmes

vrai


accouchement peut déclencher épisode hypomaniaque



autres stats bip. type II:


- <1%


- suicide plus commun que Bip type I

Critères d'un trouble de bipolarité type II

- au moins un épisode hypomaniaque et au moins un épisode dépressif.


- Pas d’épisode maniaque


- pas expliquée par un autre trouble psychiatrique


- détresse significative ou une altération sociale, occupationnelle ou autre

Antidépresseurs classiques: (3 familles + ex.)




1) AHC (tricycliques) : (Bloque recap NA et 5HT )


- Imipramine, Amitriptyline, Clomipramine


- Bcp d'E.I


2) ISRS: inh. recapture sérotonine


-Fluoxétine (prozac), Citalopram (celexa)


- moins d'E.I, effets cardiaques


3) IMAO: NA et 5-HT


Isocarboxazide (marplan)


- crises HTA

Stabilisateurs de l'humeur classiques

A) lithium : Baisse des second messagers, GPCR, inositol (usually: 0,6 and 1,2 meq\L) : BCP de side effets. Hypothyroïdie




B) Carbamapezine (tegretol): Baisse des seconds messagers, GPCR, inositol




C) Valproate (acute mania): GABA +, baisse seconds messagers, Baisse glutamate

Dans le cas d'une épisode maniaque aïgue, quels choix de médications s'offrent-ils ?

a) Antipsychotiques typiques bloquant: D2 (Haloperidol)




b) Benzo, augm. Cl-, GABA+ : Clonazepam, Lorazepam




c) Antipsychotiques atypiques: bloquant voie mesolimbique: D1,D2,D4, et 5-HT2: Clozapine





*ne pas négliger ECT (electro-convulsive thérapie) qui peut être utile dans l'apparition d'un épisode de manie aïgue dans les cas réfractaires.

V-F


Le lithium peut causer de l'hypothyroïdisme

Vrai

V-F


Un désordre cyclothymique s'apparente beaucoup à un trouble de personnalité borderline

Vrai


c'est une forme légère de bipolarité de type II, s'apparentant beaucoup à un trouble limite.



Peuvent même être diagnostiqués les 2.

Critères d'un désordre cyclothymique:


- durant 2 ans Sx hypomaniaques et dépressifs sans combler les critères


- chronicité ( pas sans Sx pour plus de 2 mois)


- pas par autre condition (schizo, délire, autre mental disorder)


- pas dû à une autre condition médicale


- détresse cliniquement significative ou une altération sociale


+ spécification si anxiété

Depuis 1 ans, le petit Jérôme, 15 ans, a des colères excessives envers sa mère. Plusieurs fois par semaine même. Elle a rarement un répi de plus de 2 mois.


Ayant endurée ceci depuis qu'il a 6 ans, la pauvre mère n'est plus capable...


Quel pourrait-être le problème de Jérôme?

Trouble de dérèglement de l'humeur.





n'est pas associé à manie, hypomanie ou dépression, ni mieux expliqué par autre trouble mental ou autre condition médicale



*DDx: avec trouble oppositionnel (peut être inclus),


ADHD et bipolarité

Quel tempérament est le plus sujet aux dépressions?

Neuroticisme (affect négatif)

Particularités ou critères d'un trouble dysthymique avec son installation en jeune âge.


- Humeur dépressive dominante pour au moins 2 ans


- 2/6: appétit, sommeil, fatigue, estime, concentration, désespoir


- jamais plus de 2 mois de repos


- peut être dépression majeure pendant 2 ans


- altération fonctionnement


- pas manie, hypomanie ou cyclothymique


- pas schizo, autre trouble mental, médical


+ spécifications: anxiété, mixed, mélancholique, atypiques, mood, psychotique, peripartum


+ rémission partielle ou totale (3 mois)


+ pur, majeur, intermittent + Ép. actuelle


+ légère, moyenne, ou sévère


Dans les spécifications des troubles de l'humeur, comment qualifier l'anxiété?

1) Se sentir tendu


2) Se sentir inhabituellement fatigué


3) Difficulté de concentration à cause de l’inquiétude


4) Peur que quelque chose de terrible va se passer


5) Sentiment que l’individu puisse perdre le contrôle de lui-même


+ Spécifier la sévérité (2-3- 4,5)

Dans les spécifications des troubles de l'humeur, comment qualifier les présentations mixtes ?

- caractères dépressif (3) dans manie ou hypomanie (tous remplis): humeur, intérêt, retard psychomoteur, fatigue, culpabilité, idées noires


ou


-caractères de manie (3) dans dépression (tous remplis) : estime, sommeil, logorrhée, fuite des idées, distractibilité, but, engagement excessif

Dans les spécifications des troubles de l'humeur, comment qualifier la mélancolie?

A) 1 de ces 2 Sx:


- perte de plaisir dans tout


- absence de réactivité aux stimulis plaisants



B) 3 ou + des critères:


- humeur vide / pire matin / réveil tôt / retard psychomoteur / poids / culpabilité

Dans les spécifications des troubles de l'humeur, comment qualifier les présentations atypiques?

A) Réactivité de l'humeur




B) > 2 de ceux-ci : Perte de poids ou aug de l'appétit, hypersomnie, paralysie de plomb (Leaden), sensibilité à la rejection interpersonnelle (altération sociale)




C) n'est pas mélancolique + catatonie.

V-F


pendant un épisode maniaque, le contenu des délires est congruent avec l'humeur

vrai


souvent




vs psychoses ou schizophrénie avec contenu non-congruent avec l'humeur

La catatonie est principalement associée à quel trouble mental

Schizophrénie


Psycho et moteur:


- Négativisme, passivité


- raideur, catalepsie




possible aussi dans autres troubles (humeur)

V-F


La majorité des sujets atteints de troubles mentaux graves sont souvent portés à commettre des actes violents

Faux


85-95% des sujets violents ne sont pas atteints de troubles mentaux


90% des sujets à troubles mentaux ne sont pas violents


- beaucoup plus dangereux un patient dément ou intoxiqué.

Contributions importantes d'Emil Kraepelin et d'Eugen Bleuler au Dx de la schizophrénie

1) Kraepelin: Dementia precox (1896), détérioration, sx hallucinations et délire + distinction avec ceux qui n'ont pas détérioration





2)Bleuler: Utilise le terme Schizophrénie. Enlève critère de détérioration. Dinstinction avec trouble personnalité multiple.


4 as: association, autisms, affect, ambivalence


+2e sx: hallucinations et illusions


V-F


La composante génétique n'a qu'une faible implication dans les troubles psychotiques.

faux, très forte composante génétique


- schizophrénie chez les jumeaux monozygotes (50%)


- haut risque si père plus âgé (dommage épigénétique)


- si 2 parents atteints, haut risque



* à distinguer des traumatismes obstétricaux créant une hypoxie et stress à la naissance

Explications derrière l'hypothèse des infections virales pour les troubles psychotiques incluant schizophrénie.

- Incidence accrue selon naissance: hiver et début printemps. (influenza, autres)


- Rétrovirale: altération expression gènes


- Infection active: altération du fonctionnement cerveau. Manifestation tardive


- Développement maladie auto-immune

Théorie expliquant l'abus de tabac chez les schizophrène dans 90% des cas.

-Le tabac baisse le niveau d'antipsychotique dans le sang. (empire à la longue)


-On croit même que le récepteur nicotinique est directement touché dans la schizophrénie. (dépendance)


- l'activation dopaminergique réglerait des atteintes cognitives et le parkisonism


- diminue les Sx positifs (à court terme)


*Self-Medication*

Théorie biochimique derrière la schizophrénie:


différent NT et effets...

- Dopamine (Excès= Sx positifs)


- Sérotonine (Excès =Sx positifs et négatifs)


- NA (Déficit = Anhédonie )


- GABA (Déficit = hyperactivité limbique)


- Neuropeptides (effet sur catecholamine)


- Glutamate (Déficit, comme PCP antagoniste)


- Ach, Nicotine (moins de récepteurs, boucle frontale NGC)

V-F


Le mvt des yeux peut être caractéristique de la schizophrénie

vrai,


dans 50-85% des schizophrènes, la poursuite lente des yeux est saccadées.

Quel est l'incidence de la schizophrénie ?


quel est la variabilité entre homme et femme, et dans les groupes d'âge.

1% des gens , homme= femme



Âge de début


-Garçons : 18-25 ans, plus incommodé par Sx négatifs


-Filles : 25-35 ans ou 40 ans, MEILLEUR OUTCOME


- Rarement < 10 ans et > 40 ans

V-F


La schizophrénie ne comporte pas de signes pathognomoniques.

Vrai, se retrouvent tous dans plusieurs troubles.


- apparence générale variable : échevelé ou agité


- Perception: hallucination et illusion


- affect: plat, inapproprié et hyperréactif


- volonté: pulsions inappropriés


- Fct: retrait social, violence, agressivité, suicide (pas de signal annonciateur)


- Psychomoteur (agitation, catatonie, grimaces)


- Cognition (peu d'insight sur trouble, mémoire sémantique et travail touchée)


- Signes physiques: réflexes primitifs, astéréognosie, dysdiadococinésie, saccades oculaires.


Critères pour la scizophrénie

A) active : 2/5 durant au moins 1 mois (majeure partie): délire, hallucination, discours désorganisé, comportement désorganisé ou catatonique, Sx négatifs (affect plat, aboulie,)


B) Phase active touchant plusieurs sphères fct


C) Perturbation au moins 6 mois (inclue A)+ prodromal, résiduels, ou avec quelque Sx.


D) Élimination schizoaffectif


E) Non par substance ou condition médicale


F) attention si autisme ou trouble communication


+ sous-type (catatonie, paranoide, désorganisé)


+ spécification si (premier,multiple, continue aigu, partielle, totale, non-spécifié)


Particularités du sous-type paranoïde de schizophrénie


-Un ou plusieurs délires et hallucinations auditives. (De persécution, grandeur)



-Moins de régression mentale, réponse émotives et comportementales que les autres.



- Entre 20 et 30 ans souvent. support social important

Particularités du sous-type désorganisé de schizophrénie


- Régression à un stade primitif, déshinibé, mais non-catatonique


- Apparition avant 25 ans, apparence souvent négligée

Particularités du sous-type catatonique de schizophrénie



- Fonction motrice touchée: stupeur, rigidité, posturing, waxy flexibility


- Négativisme, excitement, Mutisme


- Mannerisms, stereotypies





* Était le type le plus commun avant. Maintenant rare en Europe et Amerique du nord.

Sx négatifs de la schizophrénie


(prédominent dans la schizophrénie de type déficit )

- Restricted affect,


- diminished emotional range


- speech poverty


- curbing of interests


- diminished sens of purpose


- diminished Social drive



V-F


Le désordre schizoaffectif, plus présent chez la femme, est plus fréquent que la schizophrénie normale

faux,


3x moins que schizophrénie (0.5%).


Mais plus les femmes, par leur plus grande fréquence de dépression

Critères du désordre schizoaffectif

A) Trouble de l'humeur: Critères A de schizo + critères A dépression/ manie


B) Psychose continu au moins 2 semaines sans trouble de l'humeur


C) Trouble de l'humeur majoritairement (50%)


D) Pas autre substance ou maladie causant perturbation


+ bipolaire ou dépressif


+ catatonie


+ premier, multiple, continu, aigue, partielle, totale ou non spécifié


Dans le désordre de délirant:


- incidence


- quel est le sous-type le plus fréquent?


- chez hommes ? / chez femme?

À vie : 0,2%


- Sous-type le plus fréquent : persécutoire



- Hommes (jaloux, persécutoire) = femmes (erotomanie)


- délire de plus d'un mois, juste idées délirantes.


- Fonctionnement normal

Critères d'un désordre délirant

A) Idées délirantes durant plus d'un mois


B) Pas de critère A de schizophrénie


C) Fonctionnement relativement normal


D) Troubles de l'humeur négligeables (manie, dépression)


E) pas attribuable à autre substance ou maladie.


+ types ( Érotomaniaque, grandiose, jaloux, persécution, somatique, mixte, non-spécifié)


+ bizarroïde ?


+ premier, multiple ou continu, aigu, partielle ou totale


+ sévérité des Sx psychotique (0-4) +/-

Critères d'un désordre psychotique bref

A) au moins 1 des Sx A schizo (délire, hallucination, discours, catatonie)


B) plus de 1 jours, moins d'un mois, retour normal


C) pas une dépression ou bipolaire + psychose, ni substance ou condition médicale


+ Stresseur, sans-stresseur ou postpartum


+ catatonie

Critères du désordre schizophréniforme

A) 2 Sx majeurs schizo pendant 1 mois:


- Délire, Hallucinations, Discours,


- comportements désorganisés, Sx négatifs


B) épisode de 1 à 6 mois. (peut être provisoire)


C) troubles de l'humeur négligeable


D) autre condition ou substance


+ bon pronostic: Psychose en 4 sem., confusion, bon fonctionnement pré-morbide, affect pas plat (dépression)


+ mauvais pronostic: absence de 2 facteurs ci-haut


+ catatonie

Incidence/ prévalence d'une psychose induite par une substance/médication.



et ses critères

7-25% des individus avec premier épisode





A) Délire ou/et hallucinations


B) Évidence que Sx après intoxication ou sevrage/ prise médication qui provoque normalement Sx


C) pas par un autre trouble psychotique


D) pas un délirium


E) altération plusieurs sphères du fonctionnement




+ intoxication ou sevrage

Incidence/prévalence d'une psychose induite par une condition médicale



- conditions les plus communes?

- 0,21%-0,54% (Plus de chances chez plus vieux)



Surtout:


-Lupus érythémateux


-Encéphalite auto-immune à récepteurs NMDA


-Épilepsie du lobe temporal : Surtout postictale

Critères d'un désordre psychotique induit par une condition médicale

A) Hallucinations ou délire


B) Perturbation est liée à la pathophysio


C) pas autre trouble mental


D) pas un délirium


E) altération d'une ou plusieurs sphères


+ délire ou hallucination

V-F


La catatonie n'occure que durant une schizophrénie

Faux,


reliée à plusieurs troubles:


Neurodéveloppementaux, Psychotiques, Bipolarité, Dépression et Autres conditions médicales


Tableau clinique de la catatonie (3 ou + / 12 )

1. Stupeur


2. Catalepsie


3. Flexibilité cireuse


4. Mutisme


5. Négativisme


6. Posturing


7. Maniérisme (exagérés)


8. Stéréotypie (répétitifs)


9. Agitation


10. Grimace


11. Écholalie (mots)


12. Échopraxie (mvts)

Sx et signes positifs d'une psychose

1. Hallucinations, illusions,


2. délires


3. idées, langage désorganisés


4. comportements désorganisés

Sx et signes négatifs d'une psychose

1. Émoussemet de l'affect


2. Alogie (réponse brèves, moins communication)


3. Isolement, retrait social


4. Ambivalence affective


5. Perturbation de l'Attention



Sx cognitifs d'une psychose

- Inattention


- Tx de l'information affectée


- Mémoire de travail et mémoire épisodique touchées


- peu d'insight sur condition (auto-critique + introspection) "anosognosie"

Facteurs pré-morbide d'une schizophrénie

- Personnalité schizoïde ou schizotypique


- Peu d’amis, pas d’activités sociales ou de sports d’équipe


- Comportements obsessifs-compulsifs

Facteurs précipitant l'apparition d'une schizophrénie chez personne vulnérable

- Traumatisme émotionnel


- Séparation


- Prise de substance (cannabis)

La phase pro-dromique, avant l'apparition de la première crise psychotique, durant quelques années peut comporter quel Sx

- Céphalées, myalgie, faiblesse, problèmes digestifs


- déclin du fonctionnement, comportement étrange


- affect anormal, discours inhabituel


- idées bizarres, perceptions étranges


- idées philosophiques ou ésotériques

Caractéristiques de l'épisode psychotique de la schizophrénie

- Sx positif, négatifs et cognitifs


- Neurotoxicité, donc détérioration du fonctionnement après chaque psychose


- Avec le temps, atténuation des Sx positifs


- Aggravation des Sx négatifs =Peut mener à isolation sociale, hospitalisation fréquente, itinérance et pauvreté


Caractéristiques de la phase résiduelle de la schizophrénie

- Sx négatifs ou positifs atténués


- dépression suivant psychose (peut être 2 Dx)

Facteurs d'évolution de bon pronostic d'un épisode psychotique

- début tardif et aigu


- facteurs précipitants clairs


- bonnes histoires sociales, sexuelles


- troubles de l'humeur (familial aussi)= affect pas plat


- mariage


- système de support


- Sx positifs (mais plus de risque suicidaire)

V-F


L'évolution d'un épisode psychotique avec des facteurs de bon pronostic peut toutefois prédisposer à un plus grand risque de suicide

vrai

Facteurs d'évolution de mauvais pronostic d'un épisode psychotique

- début précoce et insidieux


- pas de rechutes et/ou rémission sur 3 ans


- pas de facteurs précipitants


- mauvaises histoires sociales, sexuelles


- Retrait, autistique, ATCD schizophrénie, traumatisme périnatal, aggressivité


- solitude (célibataire, divorce, veuf )


- mauvais système de support


- Sx négatifs et neurologiques

types de Tx pharmacologique de la schizophrénie.


(évolution)

Antipsychotiques:


1) Conventionnels ou first-gen (typiques):


- antagonistes des récepteurs à dopamine


- Haldol, Chlorpromazine



2) 2eG: ou atypiques


- serotonine dopamine antagonistes (SDAs)


- Clozapine, risperidone

Sx à contrôler immédiatement lors d'une psychose aiguë.



médicaments efficaces?

- Agitations=


antipsychotiques (haldol, etc...)


et


Benzodiazepines (lorazepam : ativent)

V-F


Une médication n'est pas recommandée lors de la phase de stabilisation d'une schizophrénie

faux,


les recommandations ne sont pas précises, mais il est prouvé qu'une bonne médication d'antipsychotiques peut diminuer le risque de rechutes.


*suivi avec signalement immédiat si rechute est très utile

V-F


La thérapie electroconvulsive (ECT) est plus utile que la psychothérapie dans le Tx de la schizophrénie

Vrai


N.B que la combinaison de ECT avec médications antipsychotiques est très utile selon plusieurs études.

Types de psychothérapies utilisées dans le traitement de la schizophrénie

De soutien: relation thérapeutique ++


- Personelle: Relation vs agents stressants


- éviter psychanalyse..


- Social skills training (analyses,exercices)


- Family-oriented


- Group therapy


- Cognitive behavioral therapy : insight,


- Vocational (retrouver meilleurs atouts)


- Art therapy (forme de communication


- Cognitive training (exercice avec ordinateur)




Quelles normes permettent de classer un nouveau-né comme prématuré, et/ou ayant petit poids à la naissance. (à risque de problèmes émotionnels, comportements, retard mental, dyslexie, abus à l'enfance)
sous 2.5 kg= 5.5 lbs. Prématuré si 34 semaines ou 36 (normal 40)
Test d'APGAR calculé à 'a 1ere, 5e et 10e minute de vie. Quels sont les paramètres?
- couleur de la peau

- réaction aux stimuli


- tonus musculaire


- respiration


- rythme cardiaque


> 8 bon état, entre 5-7 aide respiratoire, < 5 aide requise

Cibles du développement socio-affectif normal de l'enfant:

- identité du genre+ émotions autoévaluative


- sourire exogène


- empathie

- identité du genre+ émotions autoévaluative : 15-24 mois

- sourire exogène: 16 semaines


- empathie: 2 ans

Cibles développementales de l'enfant:

-s'asseoit


- marche


- sauter, faire tricycle

-s'asseoit: 6 mois

- marche: 12 mois


- sauter, faire tricycle: 3 ans

Évolution normale du langage de l'enfant ainsi que les âges associés
Gazouillis: 1 mois à 6 mois

Babillage: 6 à 12 mois


Geste: 9 à 12 mois


1er mots: 1 an


2 words message: 1 à 2 ans


1ere phrases: 2 à 3 ans


synthaxe : 3ans à 5 ans

Dimensions pour évaluer tempérament d'un enfant

+


4 types d'attachement d'un enfant


+


4 parenting styles

- Activité, distractibilité, adaptabilité, attention, intensité, réponse, humeur, rythmicité, approche



- Sécure, Insécure(évitant, ambivalent) , désorganisé




- Autoritaire, permissifs, négligents, démocratique

V-F

Pour les troubles inclus dans le spectre de l'autisme, on ne semble pas y inclure une héritabilité

Faux

-Forte héritabilité (90%) - 15% même à une mutation génétique connue à pénétrance partielle




- Polygénique, mais hypothèse au niveau de la sérotonine plaquettaire, mTOR, GABA, syndrome X fragile, Sclérose tubéreuse, chromosome 2 et 7

Critères des désordres du spectre de l'autisme
A) Déficit dans communication sociale:

- réciprocité émotionnelle


- communication non verbale


- compréhension des contextes sociaux


B) 2 parmi modèle restrictif et répétitif:


- Mvts, objets ou discours répétitifs


- Monotonie, routine


- intérêts limités, fixés, intensité anormale


- hyper ou hypo réactivité


C) Tôt dans le développement


D) Altération significative


E) exclure déficience intellectuelle


+ spécifications (catatonie, condition X associée)


+ sévérité (1-2-3)

Niveau de sévérité des désordres du spectre de l'autisme
Niveau 1: Requiring support (full sentences, lack of interest in social interactions)

Niveau 2: Requiring substantial support (simple sentences, odd interactions )


Niveau 3: Requiring very substantial support (heavy deficits in speech, no interactions)

Ddx fréquents du spectre autistique. (différence majeure si possible)
- Mutisme sélectif (développement N, réciprocité sociale N et pas de répétition)

- Trouble du langage et communication sociale (langage non-verbal normal, pas répétitions)


- déficience intellectuelle sans désordre autistique (âge mental concordant)


- ADHD: fréquente comorbidité


- Schizophrénie avec début durant enfance (plus génétique, psychoses, entre 5 et 12 ans)

En quoi consiste la "Theory of mind", capacité très touchée par les désordres du spectre autistique?
Connaître les émotions des autres. Important pour une bonne communication sociale.
Bons facteurs pronostics des désordres du spectre autistique:
- l’absence d’une déficience intellectuelle

- absence d’une altération du langage


- l’absence de trouble mental additionnel


- environnement familial positif

Buts du Tx biopsychosocial des troubles autistiques
- favoriser comportements sociaux acceptables

- amélioration communication verbale et non-verbale


- dim. comportements maladroits


- dim. comportements perturbateurs (transitions)

Cibles de la pharmacothérapie utilisée dans le cadre des désordres du spectre autistique
- Méthylphénidate (ritalin) = hyperactivité

- Antipsychotiques atyp (risperidone)= irritabilité


- Antidépresseurs, Valproate, ou Antipsy 2e= comportements répétitifs


- Lithium= agressivité et automutilation


* Amantadine (Glut,NDMA) = Irritabilité, aggressivité.

En quoi consiste les CAM approaches dans le cadre du spectre autistique.
Yoga, musique.


Anciens troubles du spectre autistique:

- Rett's


- Asperger

- Rett’s (filles surtout, normal dev.+ encephalopathie progressive, dégradation rapide de l'état, épilepsies),



- Asperger (pas de retard de language)-




maintenant dans spectre...

Parmi les étiologies possibles du trouble déficitaire de l'attention et du désordre de l'hyperactivité (ADHD), touchant 5% des enfants, quels sont les pistes d'un point de vue:

- génétique


- psychosociale

- haute influence génétique prouvée par incidence élevée si proche de 1er degré atteint. on recherche actuellement dans influence de la dopamine et du circuit incluant les lobes préfrontaux.



- Passé émotionnellement instable: bris de l'équilibre familial, évènement stressant

Critères du trouble déficitaire de l'Attention et du désordre de l'hyperactivité

A) 1 ou les 2=

Inattention (6/9)

ou


Hyperactivité(impulsivité) (6/9)




B) présence avant 12 ans


C) gêne fonctionnelle dans 2 domaines


D) Évidence cliniquement significative


E) pas une schizophrénie, ou psychose, ou autre trouble mental


+ spécifications: combinée/inattention / hyperactivité

DDX de ADHD.

En d'autres mots, tout ce qui fait déficit d'attention + niveau d'activité élevée:

- Trouble de l'opposition: comorbidité commune, défiance vs aversion par inattention

- Trouble intermittent explosif: aggression envers les autres


- Autisme: isolation et désengagement de l'autiste


- Anxiété: inattention par rumination


- Humeur (dépression, bipolarité): labilité dans même journée pour ADHD


- Dysruptive mood dysregulation : comorbide


- Troubles de personnalité : Wild (cluster B), semblables

V-f

Environ 85% des enfants avec ADHD auront le trouble à l'âge adulte

faux

40% des cas disparaissent à la puberté


60% vont jusqu'à l'âge adulte.


Hyperactivité peut disparaître laissant plus d'inattention.

V-F

Un adolescent en rémission partielle de ADHD est vulnérable aux comportements antisociaux, troubles liés aux substances et troubles de l'humeur

vrai
Pharmacothérapie du ADHD
A) Stimulants: Méthylphénidate (Ritalin/concerta) Agoniste dopaminergique pour contrer problème d'attention, modulation des émotions

*attention problèmes cardiaques*




B) Non-stimulants:


- Antidépresseurs (Buproprion)- dopa ++


- Recapture NA (atomoxétine)- suractivation sympa - risque suicide


- Agoniste des Ra2 adrenergiques: Clonidine-Kapvay, moins de BPM et BP

Composante psychosociale du traitement du ADHD
- Collaboration avec le personnel de l’école, Amélioration de l’estime, Système de récompense



- Psycho-training des parents pour attentes adaptées: si accomplissement, l’enfant aura estime de soi, sentiment de contrôle

V-F

Dans le syndrome de Gilles de la Tourette, la composante vocale est atteinte avant la composante motrice
Faux,

Motrice vers 7 ans


et vocale vers 11 ans.


1% des jeunes, 2 à 4x plus hommes que femmes

Influences et étiologies dans le syndrome de la Tourette:

- Tempérament:


- Environnement:


- Neuro:


- Génétique:


- Biologique:

-Tempérament: aug. si anxiété, excitation, fatigue

- Environnement: Prob si imitations ou gestes obscènes (*Copra*)


- Neuro: Chaîne des NGC + NT (dopa/NA)


- Génétique: âge paternel plus vieux, tics sévères si mutation dans dopamine receptor genes, transporter, noradrenergic genes, serotoninergic


- Biologique: Complications obstétriques, petit poids, mère fumeuse

Critères du syndrome de Gilles de la Tourette
A) Tics moteur ET Tics vocaux

B) Persistant pour plus d'un an


C) début avant 18 ans


D) pas effets physiologiques d'une substance ou une affection médicale

DDX du syndrome de Gilles de la Tourette
-Si pas de moteur et vocal en même temps: trouble de tics moteurs ou vocaux persistants



- si moins d'un an, trouble provisoire




- TOC si motivation cognitive (difficile à différencier, souvent comorbides)

Pharmacothérapie du syndrome de la Tourette pour supprimer les tics si problèmes émotionnels, dépressifs et isolation.
Antipsychotiques typiques: Halopéridol et pimozide, blocage dopamine et circuit récompense. E.I (extrapyramidaux et dysphorie)



Antipsychotiques atypiques: (dopa, 5-ht) Risperidone, Olanzapine. moins E.I que typiques. (gain de poids, sédation)

Outre la pharmacothérapie, 2 méthodes efficaces dans le Tx biopsychosocial du syndrome de la Tourette.
- CBT (comprehensive behavioral therapy): conscientisation du patient à propos de ses tics et aider à développer des mouvements.

(Habit reversal ou Expose and response prevention)




- Relaxation

V-F

Gilles a le Syndrome de la Tourette, peut-il être diagnostiqué avec un trouble vocal provisoire.

faux,

impossible si déjà Tourette.


Toutefois, différence entre persistant et/ou provisoire est le temps (1 an)


A) Vocaux (plus rares que moteurs) simples ou complexes (copro, palilalie, écholalie)


B) Moteurs simples ou complexes (écho, copro)



À quelle période du développement de l'enfant s'apparente le trouble oppositionnel.
terrible two (2 ans) et le négativisme.



Dans le trouble, ceci perdure et le comportement survient plus fréquemment qu’on ne l’observe habituellement chez des sujets d’âge et de niveau de développement comparables.

Critères du trouble oppositionnel
A) Comportement négativistes, hostiles, provocateurs pour 6 mois, avec 4/8:

- Colère,irritabilité: colère, agacement, ressentiment


- Argumentatif, défiance: contestation, opposition active, embête les autres, responsabilité sur les autres


- vindicatif, malicieux: 2 mois en 6 mois




B) Détresse dans l'individu ou chez les autres. Fonctionnement social, scolaire, professionnel


C) pas dans le cadre d'une psychose, substance, humeur, ni dysruptive dysregulation


+ spec selon contextes: léger, modéré, sévère

DDx du trouble oppositionnel et différences
- Trouble de conduite: plus sévère, agression, pas de dérégulation émotionnelle

- ADHD: comorbide souvent


- Dépression/bipolarité


- dysruptive mood dysregulation: plus sévère, étape suivante dans Dx


- Trouble du langage: incapacité suivre direction


- anxiété sociale

Tx biopsychosocial du trouble de l'opposition


- Intervention familiale: interactions avec enfant, renforcement des bons comportements et découragements comportements oppositionnels



- Thérapie individuelle: pour pratique de réponses adaptées, hausser l'estime de soi par une maîtrise et succès dans les relations sociales

V-F

Il y a presque une équité entre les hommes et les femmes dans les troubles de conduite

+


Théories pour étiologies des troubles

faux,

beaucoup plus les hommes (4 à 12x plus).


Prévalence augmente de l'enfance à l'adolescence par de nouveau Dx.




*une hypothèse génétique incluerait même l'influence du chromosome X*


* une autre incluerait un déficit du système de peur sympathique*


* une théorie a aussi prouvée des différences au niveau de la régulation de l'affect (Frontotemporal-Limbique)*


* théories évidentes sur l'environnement de l'enfant *

Critères des troubles de conduite:
Conduites répétitives bafouant les droits fondamentaux d'autrui.

A) 3/15 au cours de 12 mois incluant 1 dans les 6 derniers mois:


- Agression envers personnes ou animaux (7)


- Destruction de biens matériels (2)


- Fraude ou vol (3)


- Violation de règles établies (3)


B) Altération du fonctionnement social, scolaire, professionnel


C) si 18 ans, pas personnalité antisociale


+ Début enfance, adolescence, non-spécifié


+ absences émotions prosociales (2/4)


+ sévérité (légère, moyen ,sévère)



DDx des troubles de conduite


- Trouble oppositionnel: moins sévère

- ADHD: peuvent coexister, pas violation


- Dépression et bipolarité: peuvent coexister




*attention à l'abus de substance souvent comorbide

Tx biopsychosocial des troubles de conduite:
- Comportemental: récompenser comportements prosociaux

- Environnemental: règles et conséquences à la maison et à l'école


- Psychothérapie individuelle: résolution de problèmes


- Pharmacothérapie antipsychotiques atypiques, stabilisateurs de l'humeur et SSRI.

Pharmacothérapie pour trouble de conduite:
1) Antipsychotiques- Rispéridone (baisse de l’agressivité, surtout atypiques, moins D’E.I, mais quand même sédation, prolactine augmentée, extrapyramidal symptoms, akathisie)



2) Stabilisateur: Lithium, carbamazépine,




3) SSRI pour baisser l’impulsivité, l’irritabilité et la labilité de l’affect. (antidépresseurs, prozac-fluoxetine)

Différence entre un TOC adultes et ceux chez enfants
Contrairement aux adultes, les enfants pensent que leur comportement est normal.



* 25% des tocs sont avant 14 ans


* dans les 2 cas, compulsions atténuant anxiété ou peurs*


+ specifications si insight (fair, poor, absent)

DDX intéressants d'un TOC
TAG

Anxiété de séparation


phobie sociale


spectre autistique


Tourette


Délire





Tx intéressants d'un TOC
CBT + SSRIs (sertraline, fluoxetine, fluvoxamine, clomipramine)
Anxiété vs Peur
- Anxiété peut être un signal d’alerte qui permet d'avertir un danger et de prendre des mesures pour agir envers cette menace qui est inconnue, vague, interne ou conceptuelle (Conscience de sensations+ conscience d'être nerveux)

- La peur est similaire mais est une réponse à une menace extérieure, connue, définie et non-conflictuelle

Manifestations classiques de l'anxiété
- diarrhée

- dizziness


- hyperhidroses


- hyperreflexia


- palpitations


- mydriase


- restlessness


- syncope


- tachycardie


- paresthésies aux extrémités, tremors


- stomach, urinary

V-F

Les hommes sont plus susceptibles à un trouble panique.

faux,

2 ou 3x plus les femmes:




-1-4% pour les troubles, 3-5.6% pour les attaques pour prévalence de 6 mois


- Surtout début âge adulte vers 25 ans, mais peut se développer n’importe quand

Comorbidités fréquentes des troubles panique (91%)
- 10-15% ont une dépression majeure (souvent avant)

- 15-30% de phobie sociale


- 2-20% de phobie spécifique


- 2-10% état de stress post-trauma


- 15-30% anxiété généralisée


- 30% ont un TOC

Étiologies explicatives du trouble panique

Facteurs Biologiques:


Facteurs Génétiques:

- Dérégulation noradrénergique: Syst. Sympa

- NT: baisse gaba, sérotonine dérégul, NA outburst si inhibition A2- Yohimbine


- Plusieurs "Panicogènes" biologiques PCO2




-Génétique: 4-8x si proche 1er degré atteint

Critères d'un trouble panique
A. Attaques de paniques récurrentes et inattendues en quelques minutes. 4 Sx classiques sur 13.

B. 1 mois d'anticipation ou évitement


C. pas à cause d'une substance ou condition


D. Pas un autre trouble mental (Ph.Sociale, Spécifique, TOC, PTSD)

DDx d'un trouble panique
- conditions médicales (Hyperthyroïdie, dysfonction vestibulaire, épilepsie, condition cardio-pulmonaire)

- substance (intoxication stimulants, cannabis, ou retrait d'un dépresseur)


- autre trouble mental: éliminer que les attaques viennent après un autre trouble (SOUVENT PAR MOMENT INCONNUES)

Tx biopsychosocial du trouble panique:

- Pharmacothérapie

Si efficace, continuer le Tx pour 8 à 12 mois:

- ISRS (tous efficaces)


- Benzodiazépines pour calmant rapide (attention, risque d'abus et dépendance)


Alprozolam (xanax) recommandé

Techniques de psychothérapie pour Tx du trouble panique:
- Cognitif (CBT): Changer fausses croyances et informer le patient face aux attaques de panique

- Relaxation appliquée: Contrôle du niveau d’anxiété et Contrôle de l’hyperventilation


- Exposition in vivo: Exposition graduelle à des situations anxiogènes pour désensibiliser


-Thérapie familiale: Psychothérapie introspective

V-F

Il n'est pas rare de voir coexister un trouble panique avec une agoraphobie

Vrai

(50% des cas)




Plusieurs comorbidités dont l'agoraphobie: (84%)


- Dépression très fréquente précédant le trouble

Critères d'un trouble d'agoraphobie
A) Peur ou anxiété dans 2/5 ou aide difficile si arrivait un problème (Transport public, endroit ouvert, endroit fermé, foule, hors de la maison)

B) Car s'enfuir sera difficile ou pas d'aide


C) Anxiété dans presques toutes les situations


D) Évitées si accompagnement


E) hors de proportion face à l'actuel danger


F) depuis au moins 6 mois


G) Altération fonctionnelle


- pas par un autre trouble médicale ou mental

V-F

Il est essentiel de traiter l'agoraphobie si on souhaite aider le trouble panique dans le cas d'une comorbidité.

faux,

souvent trouble panique à l'origine de l'agoraphobie. Ainsi, il faut régler le trouble panique avant.




Le reste du traitement est semblable au trouble panique.

V-F

Par leur anxiété constante, les patients atteints d'une phobie spécifique sont fréquemment en consultation
faux,

incidence technique de 5-10% (2x plus femme), mais serait plus 25% en réalité par manque de consultation

Comment apparaitrait une phobie spécifique si on se fie à la psychologie comportementale?



et en psychanalyse?

- Stimulation conditionnée qui produit de l’anxiété

-Phobie peut demeurer présente sans renforcement répétitif


-Modeling : observation de la réaction de l’autre


-Transfert d’information : personne a été enseignée et prévenue des dangers d’objets spécifiques




en psychanalyse: la création d'une phobie serait un méc. de défense pour contrôler l'anxiété.

Critères pour trouble de phobie spécifique:
A) Peur marquée à propos d'un objet ou d'une situation

B) Exposition provoque presque toujours Rxn


C) Essaie d'être évitée


D) Peur hors de proportion P/R au vrai danger


E) depuis 6 mois


F) Altération au fonctionnement


G) pas un autre trouble mental (TOC, PTSD, ph.sociale, trouble panique)


+ Spécification le lien

V-F

Si le petit Philippe "pète" une crise à sa fête alors qu'il y a un clown, on assiste probablement à une phobie spécifique.
V

Chez les enfants, la peur ou l’anxiété peuvent être exprimées par des pleurs, des crises, un gel ou de l’agrippement.

Spécifications possibles d'une phobie spécifique
- Injection/ sang / blessure:

- Acro : hauteurs


- Ailuro : chat


- Hydro: water


- Claustro: espace fermée


- Cyno: chiens


- Myso: dirt and germs


- Pyro : feu


- Xeno: étrangers


- Zoo: animaux

Tx biopsychosocial d'une phobie spécifique

Psychothérapie:


Pharmacothérapie:

- Désensibilisation systématique: de plus en plus anxiogène

- Exposition intensive (autant qu'il peut tolérer)


- Hypnose, relaxation musculaire




-Anxiolytiques: Benzo, ISRS, antagoniste adré.

V-F

Le trouble de phobie sociale apparait surtout lors de la jeune enfance.

faux

surtout adolescence. Néanmoins, peut aussi apparaître à 5 ans comme 35 ans.

Quel type de personnalité peut être associée à une phobie sociale
Évitante
Critères d'un trouble de phobie sociale
A) Anxiété marquée devant plusieurs situations sociales où il pourrait y avoir embarassement

B) Peur de montrer leur anxiété


C) Exposition sociale cause à tout coup anxiété


D) Détresse intense devant situations de performances


E) Peur hors de proportion P/R au réel danger


F) depuis 6 mois


G) Altération fonctionnelle


H) pas une substance ou condition médicale


I ) pas un autre trouble mental


+ spec si seulement performance

DDX d'une phobie sociale
- Gêne normative

- Personnalité évitante, schizoïde


- Agoraphobie


- TAG


- le trouble panique


- le trouble dysmorphique corporel


- désordre du spectre de l’autisme

V-F

Comme toute phobie, la phobie sociale est traitée par désensibilisation, exposition et pharmacothérapie "d'anxiété" (ISRS, Benzo, antagoniste B-adre)
Vrai
V-F

TAG pourrait touché jusqu'à 8% de la population

vrai

2x plus femme, apparition à l'adolescence.




- 50 à 90% associé à un autre trouble :


phobie sociale, phobie spécifique, crise de panique (25%), dépression

Critères de Dx d'un trouble d'anxiété généralisée
A) Anxiété excessive durant 6 mois devant plusieurs événements.

B) difficulté à contrôler les préoccupation


C) Sx (3/6) depuis 6 mois *1 pour enfant*:


- agitation, fatigabilité, concentration, irritabilité, tension musculaire, sommeil


D) Altération du fonctionnement


E) pas une substance ou cond. médicale ni autre trouble mental

V-F

La plupart des patients consultent directement pour leur TAG.




Faux

-1/3 des patients seulement consulte, si consulte, c'est manifestation somatique de l’anxiété (diarrhée chronique)

DDX d'un TAG
- Medical: Neurologique, endocrinien, metabolique, medication related



-Autres Troubles anxieux: Panic, phobies, OCD, PTSD et/ou dépression majeure

V-F

Dans le cas d'un TAG, la psychothérapie est le choix par excellence.

V

- de choix si le patient est motivé à comprendre les sources de son anxiété




1- CC: Cognitivo (distortions cognitives) - Comportemental (Sx somatiques)


2- Support: rassurer et réconforter patient. bon pour short-term


3- Introspection: pour trouver et régler conflits intérieurs et les forces de l'égo

Le Buspirone est utile dans le Tx d'un TAG



expliquez:






* ne pas oublier utilité pour bipolarité

V

C'est un agoniste sérotoninergique,

- bloque recapture dopa et NA




- Aide à régler les distortions cognitives du TAG.


- Combinaison avec benzo pour effet calmant direct (diminution du benzo ensuite) et pour laisser le temps au buspirone de faire effet (2-3 semaines)

Épidémiologie des TOCs

- 4e trouble le plus commun

- 2-3% à vie

- H=F (mais plus les hommes à l'adolescence)


- apparition de 20-35 ans surtout


- célibataires plus touchés



Comorbidités d'un TOC
- Dépression (67%)

- Phobie sociale (25%)


- Tics (20-30%)


- POC (15-35%) avant d'avoir TOC


- prob alcool, phobie spécifique, panic, trouble alimentaires et de personnalité

Étiologie comportementale d'un TOC
- Obsession : Stimulus comportemental conditionné, JE VEUX LE FAIRE (anxiété)



- Compulsion : comportement que le patient associe à une baisse de l’anxiété en relation avec une idée obsessive. JE DOIS LE FAIRE.




*Souvent ÉGODYSTONE (non-désiré)*

Critères d'un trouble obsessionnel-compulsif (TOC)
A) Obsession ou compulsion ou les deux (75% du temps)

B) Prennent bcp de temps, causent détresse et altération fonctionnement (au moins 1h)


C) Pas l'effet d'une substance ou condition autre


D) Pas un autre trouble mental


+ Spec: insight (absence, pauvre, bon)


+ Tics (avant ou maintenant)



Pattern fréquent de TOCs
1- Contamination

2- Pathological doubt


3- Intrusive thought: pensées obscènes (Aussi sans compulsion) Attention risque suicide comme "compulsion"


4- symmetry




-others: religious, hair and nail, masturbation as compulsive

DDx d'un TOC
- Causes Médicales: Chorée Huntington, Sydenham- hypothèse streptocoques

- Troubles anxieux


- Dépression majeure


- Tics


- POC


- Psychose

V-F

Dans plus de 50% du temps, un TOC suit un événement stressant

Vrai.

- Attente d'environ 5-10 avant consultation


- Constance ou fluctuation ou empire


- 50% du temps accompagné d'une dépression

V-F

Une soumission aux compulsions, un début précoce et être égosyntone sont tous des bons pronostics pour un patient avec un TOC

faux:

Bons = relations sociales, occupations, événements précipitants identifiables, nature épisodique.



Meilleur Tx d'un TOC
ISRS en forte dose + CBT (exposition et désensibilisation) pour combattre anxiété.



autres Rx:


- clomipramine (AHC)


- stabilisateurs humeur: lithium, valproate, carbamazepine

Comorbidités pouvant augmenter la vulnérabilité de développer un PTSD
- Dépression

- Désordres liés à l'utilisation de substances


- Troubles anxieux


- Bipolarité

V-F

Dans le cas d'un PTSD, l'événement traumatique à lui seul explique le désordre.

Faux,

60% des hommes et 50% des femmes ont vécu un trauma, mais seulement 6,7% ont développé un stress post-trauma




- implique autres facteurs de risque :


Trauma, personnalités à risque, réseau de support inadéquat, vulnérabilité génétique, ingestion récente d'alcool excessivement.


- implique réactivation d'un conflit non-résolu


- Régression vers méc de défenses immatures.


- Conditionnement de stimulus associés par trauma


- Vulnérabilité SNA sympathique, Opioïdes, axe HPA



Critères d'un trouble de stress post-traumatique,

débutant quelques semaines ou années après un trauma.

A) exposition à un événement traumatique

B) 1 Sx intrusifs : rêves, sentiment de revivre événement, détresse lors exposition, Réactivité physiologique à exposition


C) Évitement par 1 des critères: Éviter souvenir ou éviter activités ou éléments concrets de rappel


D) Altération négative de la cognition et de l'humeur (2 critères/7) : mémoire, croyances négatives, culpabilité, état émotionnel négatif, intérêt, détachement, perte positivisme


E) Éveil ou réactivité (2/6): hyperréactivité, irritabilité, concentration, sommeil


F) PLUS D'UN MOIS


G) Altération fonctionnement


H) pas autres substance ou condition


+ Dissociatifs(Dépersonnalisation, déréalisation)


+ délai d'expression ( pas avant 6 mois)

V-F

Dans le cas d'un PTSD, il faut absolument consulter, la récupération spontanée est rare

faux

30% récupation spontanée

Bon pronostic de PTSD
- Rapid onset and short lenght

- Bon fct prémorbide et bon réseau social


- absences troubles psychiatriques, médicaux

Tx du PTSD

autant prévention que PTSD

- Psychothérapie (CVT, CC, hypnose) : coping, gestion stress, éducation au trouble, exposition



* Laisser le patient installer le rythme


* Thérapie de groupe sont utiles


* Nouvelle approche: Mvt latéral des yeux




Pharmacothérapie: ISRS (anxiété et vigilance)

DDX d'un PTSD
- attention head injury durant trauma, épilepsie, problème utilisation d’alcool ou autres substances

- difficile de distinguer de trouble panique et TAG


- dépression majeure peut aussi être présente


- borderline personnality


- effets dissociatifs, factiticieux

État de stress aïgu vs PTSD
DURÉE: moins d'un mois pour stress aigu



presque même critères sinon (sauf qu'on dit 9/14) au lieu de 6 en qualifiant les 4 aspect d'une Rxn au trauma:


- Intrusion


- Humeur et cognition


- Évitement


- Éveil

Ddx d'un trouble de stress aigu
- Trouble d'adaptation si critères non-rempli pour type de menace (événement moins grave)



Toutefois, dans trouble adaptation, rumination sont plus volontaires que PTSD ou stress (mémoires intrusives)

V-F

Les classes socio-économiques "supérieures" sont plus touchées par l'anorexie

faux,

plus maintenant.


- toujours les jeunes adolescentes 14-18 ans


- 4% des ados et jeunes adultes


* prédisposition certains milieux (ballet, mannequinat, lutte, homosexuels)

V-F

L'anorexie est habituellement retrouvée seule, sans comorbidités
- Dépression (65%)

- Phobie sociale (34%)


- TOC (26%)

Implications biologiques de l'anorexie
- Opioïdes endogènes contribuant à déni de la faim

- Changements biochimiques (HPA, thyroïde)


- Aménorrhée par déséquilibre hormonal


- implication des NTs et leur déséquilibre

Causes sociales de l'anorexie:
- Relation problématiques parentales, famille hostile chaotique, peu empathique



- Vocation : lutte ou ballet


- orientation sexuelle : garçons homosexuels

Implications psychologiques en cause dans l'anorexie
- demande pour fonctionnement social et sexuel

- substitution de préoccupations adolescentes


- Manque autonomie et identité


- Assurance et indépendance face parents

Critères de l'anorexie
A) Restriction de consommation, poids corporel sous niveau minimum pour poids santé= effets physiologiques

B) Peur de prendre du poids


C) Altération perception de soi


+ restrictif ou hyperphagie/purge


+ rémission partielle si A absent


+ sévérité selon IMC 15-17

V-F

Les anorexiques sous forme hyperphagique/purge ont un meilleur pronostic que les restrictifs

vrai,

selon étude dans Kaplan




*autres études se contredisent dans présence de crises purgatoires sur le pronostic




en général, mauvais pronostic 5-18% mortalité

Facteurs de bon et mauvais pronostics de l'anorexie:
- Bons: Admettre sa maladie et hausse de l’estime de soi, avoir faim



- Mauvais si névrose, conflits parentaux, boulimie, vomissements, laxatifs, behavioral manifestations

DDX de l'Anorexie
- Condition médicale causant perte de poids (tumeur, cancer)

- troubles dépressifs: différence dans la baisse d’appétit d’un dépressif, hypoactivité


- Somatic symptom disorder: sx présent


- schizophrénie : délire en lien avec nourriture.


- boulimie: binge eating, mood dépressif, self-deprecating thoughts, mais meme poids


- problème neurologique du Nerf vague.

Objectif de l'hospitalisation d'un anorexique





+ autres Tx visés

- Restauration du statut nutritionnel (déshydratation, électrolyte)

- Selon le poids, si 30% sous poids santé, pourrait nécessiter 2 à 6 mois d'hospitalisation.


- souvent réticence ou résistance de la part du malade




- CC: coping vs problèmes interpersonnels et reliés à la prise d'aliments.


- Dynamique: relation thérapeutique


- familiale : utile si conflits


- Pharmacothérapie: rien d'officiel, utile si dépression à traiter d'abord.

Boulimie vs anorexie

1) Poids normal du patient (souvent patiente)


, ou même obésité dans boulimie.


2) De plus, boulimie davantage égodystone.


3) Activité sexuelle des boulimiques




2-4% des jeunes femmes, 20% des universitaires

Comorbidités de la boulimie
- dépression

- dépendance à l'alcool

Prédisposition

sociale


biologique


Psychologique




à la boulimie

- Pression sociale et high-achievers.



- Niveau d'endorphine par vomissement, débalancement Na et sérotonine




- Frustration, impulsivité, dépendance à alcool, vol, labilité


- Égodystone de l'hyperphagie


- manque de contrôle sur le moi= pulsions substances et relations sexuelles = objet de transition est leur corps.

Critères de trouble boulimique
A) Survenue de crises de boulimie: beaucoup de nourriture en peu de temps et sentiment de perte de contrôle sur prise de nourriture

B) Comportements compensatoires préventifs à la prise de poids (vomissement, laxatif, diurétique, lavement, médicaments, exercice)


C) A et B = 1 fois semaines pendant 3 mois


D) estime de soi influencée par poids et forme


E) pas seulement si anorexie mentale


+ Rémission partielle ou totale


+ Léger à extrême (selon fréquence crises)



Boulimie a un meilleur pronostic que anorexie
vrai,

mais attention danger si histoire d'abus de substance ou long trouble.

Tx de la boulimie
CBT, Dynamic psychotherapy

+



Pharmacothérapie (SSRI), MAOI, Carbamazepine, lithium (si Bip type I accompagnant)

V-F

Une raison expliquant l'apparition d'un trouble de symptome somatique serait un évitement des obligations, exprimer des émotions ou symboliser une croyance tout en cherchant à être dans un rôle de malade

Vrai

autres étiologies hypothétiques:


- Seuil de tolérance à la douleur très bas (bio)


- Métabolisme lobes frontaux hem non-dom (neuro)


- tempérament à affect dépressif ou anxieux, coping de répression et déplacement (compo)


- niveau socioéconomique bas + Stresseurs (socio)



Critères du somatic symptom disorder
A) Au moins un Sx somatique créant détresse

B) Inquiétudes excessives face Sx: 1/3 = Pensées, Anxiété, dévouement au Sx


C) Inquiétudes (et non Sx), présentes depuis 6 mois


+ DLR prédominante?


+ Persistant


+ sévérité (Selon Sx en B)

DDx du somatic symptom disorder
- Condition médicale (SIDA, endocrino, myasthénie, SEP)

- Dépression: sx somatique


- Illness anxiety disorder: peur d'être maladie, pas de sx


- Trouble de conversion: Sx est perte de fonction


- Délire somatique: croyance fixe, sort de culture, autres Sx psychotiques


- Body dysmorphic: obsession sur apparence


- Facticieux: mentir, tromperie apparente, veulent être patient aussi


- Malingering: avantage recherché


- other specified somatic symptom and related (Sx généraux fatigue, SNA= 6 mois) après stresseur. Pseudocyesis si moins de 6 mois

V-F

Dans le cas d'un somatic symptom disorder, le stress n'influe pas les Sx

faux, stress exacerbe encore plus Sx



- chez enfant: DLR abdo, céphalées, fatigue, nausée


- plus âgés: Sx somatiques, mais autre maladie connue


- apparition soudaine ainsi qu'un bon statut socioéconomique aide

V-F

Le traitement d'un somatic symptom disorder est facile à administrer.

Faux

majorité refuse Tx. Surtout quand on aborde une psychothérapie individuelle (coping), de groupe ou autre (insight, behavior, cognitive, hypnose)


- Pharmaco si condition sous-jacente traitable




Sinon: Visite brèves et fréquentes, considérations des plaintes somatiques comme émotionnelle.

Illness anxiety disorder, ressemblant beaucoup au somatic symptom disorder, diffère en quels points ?
- Ressemble beaucoup, quelques hypochondriaques tombent dans ce Dx

- Pas de Sx somatiques, la peur est seulement d'être malade ou d'avoir une maladie




Étiologies semblable (stresseur, fuite, schème cognitif d'amplification des sensations somatiques)

Critères du Illness anxiety disorder
A) Préoccupation d'avoir une maladie depuis 6 mois

B) Sx somatiques absents ou minimes. Préoccupation disproportionnée


C) Haut niveau d'anxiété P/R statut santé


D) Comportements excessifs ou d'évitement


E) préoccupation depuis 6 mois (même si maladie change)


F) pas somatic Sx disorder, panique, TAG ou TOC


+ Care seeking ou avoidant

DDX du Illness anxiety disorder
- vs (Somatic Sx dis.): pas de Sx, début flou

- vs Conversion: est aigu, transitoire, perte fonction


- vs Pain disorder, plainte de douleurs chroniques


- vs délire qui est plus fixe


- vs TOC a obsessions plus larges + compulsions


- Comorbidité: dépression, troubles anxieux



V-F

Chez un hypochondriaque, il faut éviter les procédures Dx ou thérapeutiques non justifiées

vrai

- combat l'anxiété: thérapie de groupe, examens physiques réguliers, pharmacothérapie

V-F

Trouble de conversion est très rare
faux,

5% des références en neurologie, 5 à 15% des consultations psy. (2x plus femmes)


- n'importe quand dans la vie (10 à 35 ans surtout)

Facteurs à risques ou plutôt étiologies possibles d'un trouble de conversion
- Tempérament: traits maladaptés, antisocial, dépendant, histrionique

- Conflits intérieurs (psychodynamique)


- Abus dans enfance,milieu défavorisé, Stresseurs, (milieux militaires)


- Hypométa du dominant, hyper du non-dom, mauvaise communication ou maladie (neuro/ bio)


- Génétique: Fréquence ds mm famille, jumeaux

Critères du trouble de conversion ou functional neurological symptom disorder
A) Un Sx altérant fct motrices ou sensorielles

B) Incompatibilité selon résultats entre Sx et condition médicale


C) pas autre condition ou trouble mental


D) Altération fonctionnement social, occupation ou autres


+ fonction perdue précisément


+ aigu ou persistant (6 mois)


+ Stresseurs ou non (gain psychologique p-e)

Sx classique du trouble de conversion.



Fonctions motrices:

Moteur: Torticollis, OpisthotonosSeizures, Abnormal gait, Falling, Astasia-abasiaParalysis, Weakness, Aphonia



Sensory :Anesthesia, especially of extremities, Midline anesthesia, Blindness, Tunnel vision, Deafness, Visceral Symptoms, Psychogenic vomiting, Pseudocyesis

Dans le cas d'un trouble de conversion, discutez des gains possibles, de la belle indifférence et de l'identification
- Primary gain: éloigner conflit psychologique

- 2nd gain: avatage d'être malade


- Belle indifférence: indifférent face à l'atteinte majeure


- Identification: Sx d'une personne proche touchée

DDx de trouble de conversion:
- Maladie neurologique: peut coexister (lésion originale ou vrai cause , vérif par hypnose, ativan)

- Somatic symptom disorder: coexistance, mais plus général, pas neuro


- Factice: évidence de feindre


- dépression: comorbidité, sx dépressifs


- Trouble panique: Sx cardiorespiratoire


- TP: histrionique, dépendante


- Troubles sexuels, trouble douleur

V-F

Pour un trouble de conversion, le pronostic est meilleur chez les adultes que les enfants
Faux,

- meilleur chez enfants,


- aussi bon pronostic si petite durée, acceptation du Dx, présence d'un stresseur




- moins bon si plus de 6 mois, si tremblements ou convulsions


- les sx moteurs surtout chez adultes (4e décade)



V-F

Les Sx d'un trouble de conversion se résolvent souvent spontanément

Vrai

- Facilité par thérapie comportementale d'introspection


- relation thérapeutique très importante (stress management et coping), pas de confrontation


- hypnose et relaxation


- anxiolytique : amorbarbital ou lorazépam (ativan)

V-F

Le trouble de symptômes somatiques est plus fréquent que les facteurs psychologiques affectant d'autres conditions médicales
faux,

très fréquent qu'une condition médicale soit aggravées par facteurs psychologiques.


Théorie du stress et ses effets sur:


- SNA: sympa


- NT (NA, 5-HT, dopa)


- HPA (CRF=ACTH = Glucocorticoides (Surrénales)= suppression immunisation





Critères pour évaluer si facteurs psychologiques affectent une condition médicale
A) condition médicale ou Sx présents (G-I, cardio, respiratoire, endocrino, peau, musculo, céphalées)

B) Effets néfastes en au moins une façon (1/4):


- association temporelle / interférence au Tx / risque additionnel établi / pathophysio, précipitants /


C) pas par autre trouble mental




+ sévérité: Léger à extrême selon risque sur santé

DDX des facteurs psychologiques affectant condition médicale
- Trouble mental par condition médicale

- Sx par autre trouble mental: conversion


- Exagération des Sx: somatic symptom


- plaintes physiques associées à troubles mentaux: dysthymie


- plaintes physiques par trouble substance: toux, tabac


- Trouble adaptation: subtil, stresseur moins important

V-F

Dans tous les cas, la pharmacothérapie est bénéfique dans un trouble de facteurs psychologiques (stress) influençant une condition médicale

faux,

exemple: donner un antidépresseur tricyclique (TCA, stimulant) pour reflux gastroesophagien n'est pas bon. Néanmoins, on peut en donner un pour diminuer motilité intestinale.




* Toutefois, la psychothérapie (de relaxation, support, hypnose, cognitive ) aide.

Étiologies ou origines possibles d'un trouble factice d'un point de vue psychosocial
- histoire familiale, échappatoire si difficile ou permet de recréer si over-attachement

- Masochisme, imitation d'un pair touché




utilisation de coping: répression, identification, régression, symbolisation

Critères d'un trouble factice imposé à soi-même
A) Falsification d'une condition médicale, avec tromperie identifiée

B) Autoprésentation comme malade, faible


C) tromperie évidente même si absence de gain


D) pas autre trouble mental, délire ou autre




+ Unique ou récurrent (> ou =2)

Critères d'un trouble factice imposé à quelqu'un



exemple parfait: mère amplifiant maladie de son enfant. * Veut aussi être dans corps médical, voir même empathie ou rôle malade parallèlement *

A) Falsification d'une condition médicale, avec tromperie identifiée chez un autre

B) Présentation d'un proche comme malade, faible


C) tromperie évidente même si absence de gain


D) pas autre trouble mental, délire ou autre




+ Unique ou récurrent (> ou =2)



DDx d'un trouble factice

- Autre condition médicale ou tromble mental : présente également (humeur, substance)

- Somatic symptom : recherche de Tx et attention, mais pas mensonges, pas acharnement

- Malingering: gain personnel, aspect volontaire


- Conversion: pas de tromperie


- TP: Antisocial? pas hospitalisation usually


Histrionique (pas flashy), borderline (moins chaotique ou dérangée)


- Schizophrénie: croyance plus fixe

V-F

Les débuts d'un trouble factice sont souvent inattendus, sans événement déclancheur

faux,

souvent après première hospitalisation (elle-même, ou autre). Début âge adulte, épisodes intermittentes, rarement chronique ou unique.




* danger de mort par opérations non-nécessaires.

V-F

Le pronostic d'un trouble factice est favorable si un trouble de personnalité est présent aussi

vrai

- dépressive (et masochiste)


- borderline (fonctionnelle)


- antisocial avec Sx minimes

V-F

La pharmacothérapie reste un Tx efficace des troubles factices

faux,

pas de tx spécifique et efficace. Il faut empêcher procédures et Dx dangereuses, être présent pour besoins émotionnels ou Dx psychiatriques sous-jacents.




Il ne faut pas oublier d'assurer la légalité des comportements du patient. (surtout si proxy)

L'incidence d'anxiété de séparation est la plus grande chez le enfants.
Vrai,

une étude témoigne que 10-27% des enfants ET adolescents témoigneraient d'anxiété de séparation.




* Normal de 9 à 18 mois, diminue à 2 ans, entrée scolaire


*bisexuel, mais surtout femmes chez adultes

V-F

Le style de parenting est très relié à la survenue d'anxiété de séparation

V

Parents surprotecteurs




Autres facteurs étiologiques:


- après un stress, surtout perte, ou séparation


- imitation behavioral des parents


- héritabilité (36-75%)


- tempérament de l'Enfant : behavioral inhibition + physiologiacal hyperarousal


- sensibilité accrue à la stimulation respiratoire



Quelle est la triade de comorbidité de troubles anxieux chez l'enfant:
Anxiété de séparation

Phobie sociale


TAG (le plus présent)




60% de chances d'en avoir 2/3.

Critères d'un trouble de l'anxiété de séparation
A) 3/8 de comportements de peur lors de séparation : - détresse récurrente par anticipation ou expérience de séparation maison ou attachement majeur / peurs de perdre ou dommage à figure / peurs d'un événement causant séparation / refus de sortir de la maison / peur d'être seul à la maison / refus de dormir à l'extérieur/ cauchemars / plaintes de Sx physique

B) au moins 4 semaines chez enfant, 6 mois ou plus chez adultes.


C) altération fonctionnement (social, acad, ocup)


D) pas autre trouble mental (autisme, psychose, agoraphobie, TAG, illness anxiety disorder)

V-F

Un trouble anxieux de séparation peut entraîner la venu de Sx somatiques de stress (GI surtout) ou exacerber Sx anxiété (cardio-respiratoire)





Vrai
DDX d'un trouble anxieux de séparation
- normale vs trouble anxieux de séparation

- Dinstinction : TAG, phobie sociale, Séparation


- Dépression: co-morbidité possible


- Trouble panic + agoraphobie (plus tard, adulte)


- Spectre de l'autisme


- Psychose: autres Sx


- Illness anxiety disorder: centrée sur la maladie

V-F

Le traitement combiné de CBT et pharmacothérapie est recommandé pour trouble anxieux de séparation à tout coups
Faux, uniquement pour atteinte fonctionnelle sévère et pas efficace pour enfant.



Dans ce cas-ci, on ajoute:


- ISRS (Sertraline, Fluoxetine)


- Tricycliques (non recommandé, E.I cardiaques)


- Benadryl pour troubles du sommeil


- Alprazolam (Sx d'anxiété)


Sinon


-CBT avec exposition graduelle pour coping.


- family psychosocial and psychoeducation



Quels sont les 2 troubles d'attachement d'un enfant découlant directement d'une carence de soins, d'attention, confort et de protection de la part du ou des parents ?
Trouble d'attachement réactif

Trouble de désinhibition de l'engagement social




* au moins 9 mois pour DX


* Mis en lumière par Strange Situation de Mary Ainsworth

Critères du trouble d'attachement réactif
A) Retrait émotionnel face aux adultes aidants: 1- ne recherche pas d’aide si en détresse et 2- pas réconfortable



B) Dérangement émotionnel: (2/3): 1- Réponse émotionnelle et sociale limitées aux autres 2- rare positivisme 3- irritabilité non-explicable lors intéractions avec adultes




C) Expériences de lacunes en "soins" (1/3): 1. Négligence des ressources aidantes 2. Changements fréquents de ressources aidantes 3. expériences limitant attachement dans environnement




D) C explique A


E) Pas du à un désordre du spectre autistique


F) évident avant 5 ans


G) au moins 9 mois


+ Persistant (12 mois)


+ sévère (si exprime tous les symptômes très fortement)

Critères du trouble de désinhibition de l'engagement social
A) Approche activement des adultes étrangers (2/4): 1. absence de réticence 2. Agissement physique ou verbaux 3. pas de vérification lors « d’aventure » dans environnement inconnues 4. Prêt à suivre un adulte inconnu



B) (A) n’est pas du à de l’impulsivité d’un ADHD, mais inclus un comportement socialement désinhibé




C)Expériences de lacunes en "soins" (1/3): 1. Négligence des ressources aidantes 2. Changements fréquents de ressources aidantes 3. expériences limitant attachement dans environnement




D) C explique A


E) Au moins 9 mois


+ persitant (si 12 mois)


+ sévère (si exprime) tous les Sx très fortement)



Comment nomme-t-on le phénomène par lequel la tristesse et le manque d'attachement en jeune âge peut donner resteindre la croissance de l'enfant.

Nanisme psychologique




*implication de la malnutrition également (marasme)

DDX des troubles d'attachement ( attachement réactif ou désinhibition de l'engagement social)
- Autisme: Nutrition, réactivité augmentée, déficience intellectuelle plus sévère.



Influence prise en charge nutritionnelle, comportementale et émotionnelle

3 bases de psychothérapie pour aider à tisser liens parent-enfant et prendre en charge des troubles d'attachement
1) Viser le parent pour promouvoir interaction positive avec enfant



2) Travailler avec le parent et l’enfant pour du renforcement positif en même temps (idéal)




3) Juste l’enfant




* Évaluation de la sécurité de l’enfant, de son « niveau de soins ». Hôpital ou encore à la maison ? Mesures légales ?

Interventions psychosociales utiles dans les troubles d'attachement (attachement réactif ou désinhibition de l'engagement social) ?




1) support psychosocial ou environnemental (maison)

2) Interventions psychothérapeutiques (thérapie individuelle ou familiale)


3) Services de conseil éducationnel (groupe, apprentissage parent-enfant)


4) Suivi de la progression de l’enfant (bien-être émotionnel et physique)




* Ultimement peut nécessiter un placement de l'enfant dans un foyer d'accueil.



Le trouble de la douleur, maintenant comme spécification du trouble de symptôme somatique, se définit comment ?



*important: la douleur est réelle*

- Présence et "focus" sur la douleur à un ou plusieurs site du corps. Grosse détresse et altération du fonctionnement

- Accompagné de dépression ou dysthymie dans presque tous les cas. (60-100%)


- Différencier de douleur chronique parce que la psychogénique de varie peu, même si distraction ou analgésie.


-Tx par psychoéducation (psy, neuro), psychodynamique (conflits), TCC (positivisme)


- ISRS (sérotonine) ou amphétamine (analgésique)

Critères du jeu pathologique



- Loto, Machines, Bingo, Casino, Sports


( %1 chez population, surtout homme)

A) sur 12 mois, 4/9 des critères de jeu:

- Besoin de jouer avec qté d’argent croissante pour garder l’excitation


- Irritable si essaie d’arrêter


- Essaie sans succès d’arrêter


- Pense constamment au jeu (revit les événements, planifie prochain jeux)


- Joue quand préoccupé


- Jouer pour rattraper les pertes


- Mensonges pour cacher étendue des problèmes


- Mise en péril de relations par le jeu


- Se fier sur l’argent des autres pour sortir du pétrin




B) n'est pas dans un épisode maniaque




+ episodic ou persistent


+ Early remission ( 3mois) ou sustained remission (rien depuis 12 mois)


+ sévérité : mild (4-5), moderate (6-7), severe (8-9)

Différencier un comportement de jeu par une manie ou le jeu pathologique
Sx d'épisode maniaque arrive avant le désir et la joie de victoire



Autres comorbidités:


- Abus de substances


- TP (narcissique, antisociale, borderline)



Tx de jeu pathologique:
1) Thérapie de groupe ( Gambler Anonyme )

2) Pharmacologique :


- Antidépresseurs: ISRS


- Stabilisateur de l'humeur


- Anticonvulsivants


- Antipsychotiques atypiques


- Opioïdes

Outre les effets androgènes et la masculinisation par l'utilisation excessive de Stéroïdes anabolisants (AAS), à quoi s'expose 3-12% des jeunes hommes.
- Effets indésirables: CV(LDL), hépatique, reproductif (atrophie testiculaire,stérilité), dermatologique (acnée, calvitie)



- Effets psychologiques (avec un délai): Hyperactivité et euphorie renforçant usage. + agressivité, irritabilité, hostilité, anxiété, somatisation, dépression (si arrêt) à long terme




* Risque de 2-15% de manie ou hypomanie (pouvant comporter rarement psychose)




*autres: troubles anxieux (panic, social), usage comblant autre dépendance



Tx pour dépendance aux AAS ou stéroïdes anabolisants
- Abstinence de AAS

- Régler trouble d’une substance associé + thérapie de support lors de sevrage (risque suicidaire).


- Antidépresseurs possibles si vraiment dépression après plusieurs semaines (ISRS).


- AINS pour douleur et céphalées

Critères d’usage d’une substance autre
A) Une substance inhabituelle, sur 12 mois, (2/10):

- Perte de contrôle (1-4)


- Dysfonction sociale (5-7)


- Prise de risque (8-9)


- Tolérance à la substance: qté en augmentation ou effet diminué si même qté


- Sevrage: créé ou évité


+ rémission hâtive: aucun depuis 3-12 mois


+ rémission soutenue: 12 mois sans critères


+ controlled environment


+ sévérité selon critère